Guides d'orientation : tout savoir sur une filière
groupe d'advisors

Témoignages École de commerce

Il existe 1001 façons de choisir sa filière, mais ce n'est pas toujours évident de s'y retrouver au milieu de toutes ces informations 🔎, et de savoir si on a fait le bon choix !

Les témoignages de nos Advisors sont là pour t'aider à y voir plus clair 💡.

Si tu veux en savoir plus sur leurs parcours, prends RDV avec eux 🤳 !

24 résultats correspondants :

Mélina, 18 ans

BTS Assistant de gestion PMI PME à référentiel européen (AG)

Je fais en ce moment un Bts gpme à l'IFAG je suis une personne qui aime découvrir plein de choses différentes je suis très curieuse et j'ai une facilité d'adaptation à différents profils je peux donc vous aider sur enormemen de chose et si vous souhaiter faire un bts tels qu'ils ou bien si vous êtes en recherche d'alternance n'hésitez pas à me contacter avec mon numero de téléphone et prendre rdv je suis à votre dispo les PIOUPIOUSS !!

Léo, 24 ans

Langues étrangères appliquées (LEA)

La licence de l.e.a (langues étrangères appliquées) est une licence assez complète mais peu professionnalisante. Elle offre une ouverture à certaines écoles et formations: master, école spécialisée dans divers secteurs : traduction, tourisme, commerce international, logistique, etc. Nous avons des cours de civilisation, de méthodologie, de traduction, d'initiation à la langue, de ppp, de droit, de culture g. Le grand bémol de cette licence pour moi, c'est que les langues ne soient pas appliqués. C'est à dire que nous apprenons des verbes par coeur bêtement un peu comme au lycée et au final c'est plus de la théorie que de la pratique. On connait du vocabulaire mais nous sommes incapables de parler et de faire des phrases sans réfléchir. Nous apprenons plus sur le pays que la langue en elle même. Pour m'expliquer, vous connaîtrez mieux l'histoire des présidents des états-unis, avec leurs noms, leurs histoires, la constitution... que l'anglais en lui même si vous choisissez cette langue. C'est pourquoi, selon moi, il faut avoir un très bon niveau dans les langues choisis Cependant ça reste une bonne licence.

Jeanne, 23 ans

Ostéopathie, Chiropractie

Aaaaaaah les écoles d’ostéopathie animale… Il en existe un paquet! Comment s’y retrouver? L’ostéopathie animale est régit par le code rural et de pêche maritime (CRPM) et est une pratique définit comme : une médecine manuelle, qui vise à comprendre les causes des symptômes du patient à partir d'une analyse des différents systèmes du corps humain dans leur ensemble. Il s'agit d'une approche dite « systémique » qui permet d’agir sur les troubles fonctionnels et sur les symptômes. Pour être ostéopathe animalier il faut passer par une école en 5 ans puis passer l’examen du CNOV (conseil national de l’ordre des vétérinaire) qui permet d’exercer légalement en France. Cela consiste en un examen théorique (QCM) et si vous le réussissez vous passez l’examen pratique où vous faites une séance d’ostéopathie devant un jury composé de vétérinaires et d’ostéopathes, vous pouvez tomber sur chien, cheval ou vache (animal tiré au sort). Si vous êtes déjà ostéopathe humain il existe des passerelles et des formations en 2 ans et vous devez ensuite passer l’examen du CNOV également. Les écoles doivent vous préparez au mieux à l’examen du CNOV qui est décisif pour exercer plus tard. Pour cela vous devez aborder au moins en théorie 5 animaux qui sont les chevaux, les chiens et chats, les chevaux et les lapins. N’hésitez pas à prendre rendez vous pour que je vous parle de mon école pour vous guidez dans vos choix. Je me ferais un plaisir de vous parler de mon quotidien à l’école, organisation des cours, cours pratique etc… Belle journée!!

Irina, 21 ans

Psychomotricité

Lors de la séance de TP de rentrée, les formatrices nous ont dit "on n'arrive pas en psychomotricité par hasard..." Après une année passée au sein de ces études si particulières, je comprends maintenant mieux ce qu'elles voulaient dire... Je vous propose ainsi de vous partager mon parcours, ma découverte de la psychomotricité et l'organisation du cursus en général (avec les spécificités de l'IFP d'Orléans). Bonne lecture ! 1. Une découverte plutôt tardive de la psychomotricité (mais comme on dit souvent mieux vaut tard que jamais !) Depuis toute petite, je rêve de faire un métier pour apaiser les souffrances des gens, pour trouver des solutions à leurs problèmes... C'est ainsi que de mes 8 ans jusqu'à mes 18 ans j'étais décidée à devenir psychologue. Mais ces dix années ont filé, et du jour au lendemain je me retrouve en terminale à devoir valider mon choix final. C'est à ce moment précis que tout se trouve chambouler en moi, que tout y compris ce rêve devient incertain... C'est alors que je tombe par hasard sur le métier de psychomotricien en naviguant sur mon PC... Je comprends que c'est un professionnel de santé du paramédical, axé sur la place du corps et son image dans les différents troubles. Je comprends qu'il essaye de ré instaurer les liens corps-esprits, pour rétablir une harmonie au sein du patient... J'ai alors un flash de moi en train d'exercer ce métier (alors que je n'en savais pas encore grand chose oui je sais !). Je commence des recherches plus poussées, et l'IFP d'Orléans devient mon nouvel objectif. A l'époque, on pouvait faire une fac de sciences (science de la vie/chimie) pour avoir plus de chance d'entrer à l'IFP. Ayant besoin de plus de temps pour réfléchir à ce projet, et ayant toujours envie de découvrir l'ambiance de l'Université, je décide donc d'entrer en L1 sciences de la vie/ chimie à Orléans. Après une année intense marquée par le confinement, je valide la double L1 et je suis acceptée à l'IFP d'Orléans : c'est le début d'une nouvelle aventure pour moi ! 2. Pourquoi le métier de psychomotricien me correspond ? Tout simplement car il me permet de pouvoir être dans le soin, ce fameux "care", en abordant les patients de façon globale. J'aime le fait qu'on prenne en compte aussi bien l'importance du support organique de l'Homme, son corps (pôle neuromusculaire), que son psychisme/esprit (pôle cognitif), et enfin la part émotive, sensible (pole psycho-affectif). Ainsi c'est un métier riche d'outils, de techniques, où notre créativité, notre imagination nous accompagne dans chaque prise en charge. Ainsi, les psychomot' aiment beaucoup jouer ! Ce que je trouve également intéressant en psychomotricité, c'est le côté ludique qu'on met en place, quelque soit l'âge du patient d'ailleurs. On essaie de valoriser leurs ressources et leurs capacités au maximum. Cela se retrouve dans la relation de confiance et de co-construction qu'on établit avec le patient : on n'oublie jamais que ce dernier a toujours quelque chose à apporter dans le processus thérapeutique. 3. L'organisation des études en psychomotricité Tout comme le métier, le cursus est riche (on ne s'ennuie jamais !) et se compose de trois grands temps d'enseignement : - les cours théoriques (qu'ils traitent de psychomotricité en tant que tel, de psychologie, psychiatrie, etc...) - les TP (travaux pratiques) qui permettent d'expérimenter corporellement certains concepts théoriques, de se former à certaines techniques (relaxation, toucher thérapeutique, bilans psychomoteurs...), d'appréhender des cas cliniques, et enfin d'apprendre à mieux se connaitre ! - les stages. En 1ère année ils visent à observer le développement psychomoteur (normal) de 0 à 6 ans. Ils deviennent cliniques à partir de la deuxième année. On pratique alors sur différentes populations et dans différentes lieux en 2ème et 3ème année. Le cursus se passe donc en 3 ans, avec la validation d'un DE (ou diplôme d'état) à la fin. 4. Les plus de l'IFP d'Orléans On y est 25 par promo, ce qui permet de se former au mieux, de manière presque personnalisée finalement. On peut poser toutes les questions qu'on a en tête, à tout moment. On se connait tous et toutes, et l'entraide est très présent entre nous. Tout au long de l'année, on est accompagné de manière individuelle via des entretiens pédagogiques pour voir si on se sent toujours bien au sein de la formation, du métier, dans notre vie en général... Si on a des doutes, ou si on rencontre des difficultés les formatrices sont là pour nous écouter et nous aiguiller au mieux. Côté vie étudiante, le BDE (bureau des étudiants) est très organisé et assez actif ! Des évènements nous sont très régulièrement proposés... pour ceux qui aiment s'amuser et sortir en parallèle des études c'est l'idéal ! Ces particularités permettent de créer une vrai ambiance de travail, plutôt chaleureuse et détendue. 5. Mon ressenti sur ma 1ère année de DE Au final, je ne regrette pas d'avoir quitté la fac ! Ni la psycho ! Je sais maintenant qu'il m'aurait manqué quelque chose en psychologie : cette approche globale de la psychomotricité, le plaisir et l'utilité des médiations corporelles. Avant je n'aimais pas du tout le sport, je n'aimais pas bouger mon corps, je me laissée accaparer par les vicissitudes de mon esprit. Aujourd'hui, l'image que j'ai de mon corps et de moi a changé et c'est en partie grâce à mes études. En psychomotricité, on ne se forme par seulement à un métier, on apprend à se développer personnellement. Je suis également heureuse de toutes les expériences que j'ai vécu en seulement un an... Le souvenir de l'équithérapie par exemple résonne encore en moi... tout comme les TP d'expression corporelle pour ne citer que quelques exemples. Côté travail et résultats, j'avais peur de ne pas réussir à suivre, notamment en anatomie ou en neurophysiologie (n'ayant pas fait médecine avant). Mais finalement en s'y mettant, en fournissant un minimum d'efforts (inhérents au principe des études), et avec la patience des enseignements et des systèmes d'entraide (entre étudiants dans la promo + cours en plus pour revenir sur certaines notions) on y arrive (même en sortant du bac d'ailleurs) ! Vous l'aurez compris mes études me passionnent et m'aident à m'épanouir... J'espère que ce témoignage vous aura parlé, appris des choses, peut être même intrigué... Si vous vous posez encore des questions, n'hésitez pas à me contacter via la plateforme, je serais enchantée de prendre le temps de vous écouter ! ;)

Solenn, 23 ans

D'après mon expérience en école d'architecture, voici ce que j'en retiens : c'est une formation extrêmement complète qui fait intervenir tant des qualités plastiques et créatives que orales. On apprends beaucoup sur soi, à travailler en groupe, et à acquérir un esprit de synthèse par exemple. On ressens très vite quand on commence les études que bien s'exprimer à l'oral et pouvoir synthétiser tout son travail en trois lignes c'est primordial. Au niveau des matières, ce sont des études "touchent à tout", du moins de mon point de vue. On étudie l'histoire, l'histoire de l'art, l'urbanisme, la politique urbaine, l'économie des territoires, les mutations sociétales qui ont influencées les villes, les comportements humains qui entrent en jeu quand on parle d'habiter un espace... Tout cela nous ouvre l'esprit sur ce qui nous entoure et nous fait voir le monde d'une autre manière. C'est peut être une phrase bateau, je vous l'accorde, mais elle est terriblement juste quant il s'agit des enseignements qui nous sont donnés. L'architecte conçoit et construit l'environnement donc en tant que futurs architectes nous devons avoir en main un éventail de connaissances sur le monde dans lequel nous allons exercer. Alors oui, ce sont des études fastidieuses et très souvent démoralisantes mais on se rend compte de tellement de choses qu'on a envie de continuer !

Lola, 23 ans

Journalisme

Bonjour à tous, je m'appelle Lola, et je suis actuellement étudiant en journalisme. Aujourd'hui, je partage avec vous un aperçu de mon parcours au cœur du monde passionnant de la presse et de la communication. Tout a commencé avec une fascination pour les histoires. Les histoires de personnes, de lieux, d'événements. Le journalisme m'a appelé, m'a attiré avec la promesse de donner une voix à ceux qui n'en ont pas, de raconter des récits qui méritent d'être entendus. C'est cette passion qui m'a conduit à plonger tête première dans les études de journalisme. Les cours ont été, sans aucun doute, captivants. Des enseignants qui sont eux-mêmes des professionnels chevronnés, partageant non seulement des théories, mais aussi leurs expériences du terrain. Les défis étaient présents à chaque coin de rue, que ce soit en rédaction, en reportage sur le terrain ou même en conception graphique. Mais chaque défi a été une opportunité d'apprentissage. Les délais sont sacrés dans le monde du journalisme. Rédiger un article dans un délai serré, réaliser un reportage sur le vif, sentir l'adrénaline monter avant une interview cruciale - tout cela fait partie du quotidien. C'est une pression stimulante qui pousse à donner le meilleur de soi-même. L'un des aspects les plus enrichissants a été les pratiques sur le terrain. Sortir de la salle de classe et se retrouver sur le terrain, à la rencontre de personnes réelles, à fouiller des sujets intrigants. C'est là que la théorie se transforme en réalité. Le journalisme évolue avec la technologie, et c'est passionnant. Apprendre à utiliser les outils numériques, maîtriser l'art de la vidéo, comprendre les médias sociaux - c'est une aventure qui intègre le meilleur de l'ancien et du nouveau. Ce qui m'a vraiment marqué, c'est l'esprit de communauté. Les collègues deviennent une sorte de famille journalistique. On se soutient, on s'encourage mutuellement, et ensemble, on grandit en tant que futurs conteurs de l'actualité. En somme, les études de journalisme sont une aventure en constante évolution. C'est un parcours où l'on apprend, où l'on se confronte, où l'on grandit. Si vous avez une passion pour raconter des histoires, pour être le témoin de l'Histoire, alors le journalisme est un chemin qui vous ouvrira des horizons insoupçonnés. En somme, les études de journalisme sont une aventure en constante évolution. C'est un parcours où l'on apprend, où l'on se confronte, où l'on grandit. Si vous avez une passion pour raconter des histoires, pour être le témoin de l'Histoire, alors le journalisme est un chemin qui vous ouvrira des horizons insoupçonnés.

Léa, 24 ans

Droit international

J'ai eu la chance de suivre un Master 2 spécialisé droit international des affaires à l'Université Paris V, et je dois dire que cela a été l'une des expériences les plus enrichissantes de ma vie. Le programme était intense et exigeant, mais également très stimulant et intéressant. Nous avons étudié un large éventail de sujets liés au droit international des affaires, allant de la fiscalité internationale à la résolution des conflits commerciaux internationaux. Les cours étaient dispensés par des enseignants qualifiés et expérimentés de facs internationales (Cornell..), qui ont su rendre les concepts juridiques complexes accessibles et compréhensibles. Le Master 2 nous a également offert des occasions de développer nos compétences pratiques, notamment grâce à des exercices de négociation, des études de cas et des simulations de procès. Nous avons également eu la chance de rencontrer des professionnels de différents secteurs, comme des avocats, des juges et des représentants de grandes entreprises internationales, qui nous ont apporté leur expérience et leur savoir-faire. Dans l'ensemble, je recommande vivement ce Master 2 à tous ceux qui cherchent à développer leurs compétences juridiques et à s'immerger dans le monde complexe et fascinant du droit des affaires international. C'est une année qui m'a beaucoup appris sur le droit, sur les affaires et qui m'a préparé de manière optimale pour traiter des dossiers de droit des affaires au sein de cabinets d'avocats.

Kiara, 21 ans

Sciences pour la santé

Il y a seulement 3 ans, tu étais perdu. Depuis toujours, tu t’étais fixé un objectif de vie. Être vétérinaire et parcourir les campagnes pour aller à la rencontre des éleveurs et soigner leurs animaux. Tout en sachant la difficulté des études, tu donnes le meilleur de toi-même en cours pour parvenir à intégrer une classe préparatoire en BCPST. En Terminale, lors du choix d’orientation, c’était très clair, tu veux être vétérinaire, mais à quel prix ? Tes professeurs sont partagés à l’idée de t’envoyer en classes préparatoires. Pendant le confinement, tu t’interroges sur ton avenir, tu doutes de tes capacités, tu cherches des métiers plus « accessibles ». Tu as alors l’idée de te réorienter dans un secteur similaire comme l’ostéopathie animale, assistant vétérinaire… Mais finalement, tu as l’impression que ça ne mène à rien parce que tu sais au fond de toi ce que tu veux. Un soir, tu craques. Tu prends ton ordinateur et tu commences à faire toutes les recherches possibles et inimaginables sur les études vétérinaires à l’étranger. C’est là que tu recommences à avoir de l’espoir. L’Europe t’offre tellement d’opportunité d’être vétérinaire. Et là, tu t’interroges « mais pourquoi je n’y ai pas pensé plus tôt ? », « pourquoi personne ne m’a dit que c’était possible ? », « pourquoi la France rend ces études tellement inaccessibles avec si peu de place. » Tu commences à en parler à ta famille. Allez étudier à l’étranger après le BAC, dans un pays inconnu, devenir complètement indépendante du jour au lendemain. C’est impressionnant mais aussi très excitant. Tu as peur que ce soit un rêve encore irréalisable, mais tu ne veux pas baisser les bras ! Tous les jours, tu remplis un tableau Excel pour le présenter à ta famille ; avec chaque école en Europe, leurs prix, le nombre d’études à faire, le prix de la vie, le moyen de s’y rendre (avion, voiture…). Tu te rends compte que tout ça est très utopique. C’est là que tu penses à la plateforme Study Advisor. Une case de ton tableau contient maintenant ton avis sur l’école selon le témoignage de différentes personnes. Une fois avoir réuni les informations, tu les compares entre elles. Tu as une préférence pour une école en Espagne, l’université CEU Cardinal Herrera qui propose un cursus en français les 2 premières années. Elle te semble parfaite ! le problème ? LE PRIX. Le prix te fait peur, tu ne veux pas imposer ça à tes parents… Tu hésites même à leur en parler. Tu décides de prendre contact avec encore plus de personnes pour avoir encore plus d’avis. Tu tombes sur une personne qui avait la même peur que toi. Elle te rassure et te dit que beaucoup de personnes ne peuvent pas s’offrir des études aussi chères et l’option du prêt étudiant est parfois inévitable. Tu te questionnes alors si tu veux être vétérinaire au prix d’être endetté de plus de 70 000 euros à la fin de tes études. Tous tes espoirs de pouvoir intégrer ces écoles s’effacent peu à peu. Avant d’abandonner, tu en parles à ta famille… Ils se rendent compte de l’importance pour toi de faire ce métier et te conforte à l’idée que si c’est ce que tu veux, il faut que tu le fasses. Tu commences à créer ton dossier pour postuler dans l’école de tes rêves, tu fais une lettre de motivation qui te ressemble et qui montre l’importance pour toi d’être vétérinaire. Et là, tu attends. Tu essayes de te préparer à toute possibilité, être déçu, contente, triste, euphorique… Mais en attendant, tu ne peux pas rester sans plan B. Nous sommes seulement en janvier, tu dois te concentrer sur la BAC S pour essayer de viser les classes préparatoires. Le moment tant attendu arrive, tu as la réponse de ton mail et tu lis « nous regrettons de vous informer que vous n’avez pas été présélectionné pour l'année académique 2020-2021 à l'Université CEU Cardenal Herrera. » Maintenant, tu ranges ta déception dans un tiroir et tu passes au plan B en continuant tes recherches dans une école véto à l’étranger. (à l’époque, je ne savais pas que je pouvais postuler pour le cursus anglais et espagnol !!). Un jour comme les autres, en terminale, au mois de Mars, tu reçois un appel ou il y a affiché un numéro commençant par +34 avec écrit « Valence ». Tu ne comprends pas et le temps que tu réfléchisses si tu dois sortir pour prendre l’appel ou pas, tu n’as pas pu répondre. Le même numéros rappel 5 minutes plus tard. Tu n’hésites pas et tu demandes de sortir pour décrocher. Tu parles avec une personne de l’administration qui s’excuse car il y a eu une erreur dans la réponse de ta présélection. Tu lui demandes de répéter parce que tu as du mal à y croire…. Tu rentres en classes en étant super perturbé et la prof te demande si tout va bien. Tu lui dis que tu vas être vétérinaire. Aujourd’hui je suis en troisième année vétérinaire et je n’en reviens toujours pas. Le temps passe si vite. Les études sont difficiles mais ce sont que des cours aussi passionnant les uns que les autres. C’est la première fois de ma vie que j’étudie avec envie. Je sais que je n’aurais jamais pu rêver mieux. Je remercie ma famille de m’avoir soutenu dans ce projet. N'abandonne pas tes rêves. AIE CONFIANCE EN TOI...

Mathilde, 22 ans

Architecture, urbanisme, paysage

J'ai obtenu un bac S option Sciences de l'Ingénieur en 2019. Un peu plus tôt dans l'année il a fallu mettre des vœux sur Parcoursup. Le problème ? Je n'avais aucune idée de ce que je voulais faire pour le reste de ma vie ! Et c'est bien normal ! Avec une retraite à 64 ans, qui peut choisir à 18 ans ce qu'il va faire jusque là ? Mais l'échéance arrivait et il fallait faire un choix ! Comme on l'entend souvent en entretiens "j'aime les sciences, j'aime le dessin, alors pourquoi pas archi ?". J'avais quelques connaissances en ENSA, je savais à quoi m'attendre alors allons y ! Quelques mois plus tard je commence ma première année en architecture à Versailles. Je suis complètement à la ramasse, comme dans un monde parallèle. Tous les étudiants ont un architecte préféré, un avis sur tout, parlent de choses que je ne comprends pas. De ma vision de campagnarde arrivée là par chance et hasard, ce que je savais citer à ce stade c’était le vieil Orléans, sa cathédrale et les châteaux de la Loire, je n’ai même pas réussi à retenir les architectes du FRAC Centre que j’avais pourtant cité en long en large et en travers lors de mes entretiens. Le souvenir le plus fort que je garderai de ma licence est mon tout premier workshop. Dès les premières semaines nous avons été mis dans le bain : par 6 nous avons dû nous lancer dans la construction d’une maison en carton à l’échelle une. C’est là qu’on a commencé à apprendre. Le premier travail de groupe, les premiers croquis, les premières idées, interrogations et maquettes, les premiers questionnements structurels, les premières charrettes, les premières défaites, les premières victoires. Mais par-dessus tout, alors que nos professeurs étaient persuadés que le toit de notre structure allait s’effondrer, ce fut la satisfaction de voir notre œuvre achevée qui m’a fait réaliser que j’étais bel et bien lancée dans le cursus et qui m’a fait entrevoir que j’avais peut être finalement bien ma place ici. Le retard que j'avais l'impression d'avoir n'était finalement pas si grand. de toutes façons nos connaissances évaluées étaient basées sur les cours magistraux que nous avions tous et pour les cours de projets nous partions tous du même point. En parlant du cours de projet : il a été très déstabilisant. Au premier semestre nous étions frustrés de ne pas réellement faire projet. On a fait une coupe et un peu de programmation mais rien de ce que nous attendions réellement de cet enseignement. Le deuxième semestre a été déstabilisant d'une autre manière, nous avons du concevoir sans connaitre les codes. Nous n'avions aucune notion technique donc très peu de contraintes et nous avons du nous les imposer nous mêmes pour concevoir probable sans vraiment comprendre les limites de réalisme que nous devions avoir. Ce sentiment est resté au semestre 3 pour petit à petit s'effacer. En troisième année, la difficulté était tout autre. Mes camarades et moi nous sommes vite retrouvés face à une charge de travail dépassant tout ce que nous avions connu. La quantité et la qualité des documents requis avait drastiquement augmenté, je me suis à deux reprises retrouvée à présenter 3 projets complets avec documents finis dans la même semaine. L’exigence des maquettes avait aussi augmenté, mais ayant passé deux semestres loin de l’école, ses ateliers et son fablab, il ne nous avait été demandé aucune maquette depuis plus d’un an (à cause des confinements successifs). Mais ce n’était pas un argument, les difficultés m’ont permis de me débrouiller par moi-même et de me dépasser. Cette troisième année a été un réel sacrifice. Je me suis consacrée corps et âme dans le projet, je n’avais plus de temps pour faire autre chose, je ne voyais même plus mes amis qui travaillaient pourtant dans la même école que moi, je me contentais d’échanges brefs avec ceux assis à la même table, j’y ai laissé beaucoup de cartouches de sommeil ; encore aujourd’hui je récupère certaines heures sacrifiées lors des derniers rendus du premier semestre. Il a été moralement et psychologiquement dur : lorsqu’on se consacre autant à son travail, tout devient personnel et la critique est plus dure à digérer. Lorsque j'ai écris ces mots dans mon rapport de fin de licence, je sentais un note d'aigreur en moi. J'avais sacrifié un peu de ma vie pour des cours... Je me suis souvent dit que "les études ce n'est pas ta vie entière, pense un peu à toi" et je ne l'avait pas fait une fois. Cependant, avec le recul, ce sacrifice m'a au moins donné la tranquillité d'esprit de me dire que j'avais donné tout ce que j'avais à donner et que le projet n'aurait pas pu être mieux. Mais malgré tout, ce que je trouve dommage c’est que pour cette matière j’ai dû mettre de côté certains enseignements annexe par manque de temps ; j’assistais aux cours mais mon cerveau ne pensait que projet ou se mettais en off pour récupérer un peu de temps de repos. Cette année nous avions un professeur de droit passionnant et il m'est arrivé plusieurs fois de somnoler pendant ses cours à cause de la fatigue accumulée alors que ce que j'avais en face de moi intéressait vraiment. Dans notre cursus nous avons une grande pluralité d’enseignements autre que le projet et qui se rapproche plus ou moins de notre potentiel futur métier. En premier il y a la construction. Venant d’un bac SI, j’avais déjà quelques wagonnets d’avances qui m’ont permis de ne pas écouter la première année et de m’en sortir assez correctement. La deuxième et troisième année les choses se sont corsées, plus de calculs, plus de notions, on entrait dans le côté architectural de la matière. Les quatre heures consécutives hebdomadaires de cette matière ne m’ont guère tenue en éveil bien qu’elles semblaient intéressantes. Mais la fatigue du projet n’aidant pas j’ai eu du mal à m’y accrocher et encore plus à m’y mettre par la suite. Sont venues aussi les matières manuelles. En premier lieu nous avons eu des cours de représentations. J’ai beaucoup aimé ces cours. J'en garde un souvenir très agréable. Je mets dans le même lot les modules d’art plastique. 3 jours, deux fois par semestre pendant 2 ans. A l’époque je râlais beaucoup car je n’en voyais pas le sens, mais aujourd’hui j’en tire la joie d’avoir manipulé, expérimenté, et de travaillé sans me prendre la tête. Et sans eux cette année, j’ai pu me rendre compte qu’ils offraient une pause profitable au milieu du semestre de projet. Ces matières ont comblé mon amour du travail manuel, tout comme mon stage de première année. J’ai effectué ce stage dans une menuiserie-charpenterie du Loiret et j’ai passé deux formidables semaines à vagabonder à faire des planchers, des terrasses... J’ai pris plaisir à avoir mes yeux sur autre chose qu’un écran et avoir des mouvements plus amples que ceux du dessin et du travail sur ordinateur. Durant ces 3 ans j’ai aussi découvert des matières plus littéraires. L’histoire de l’architecture qui m’a immédiatement passionnée mais la longueur des cours ont eu raison de ma concentration. J’ai adoré les cours de première année sur les racines de l’architecture, et si j’ai eu un peu plus de mal avec l’architecture moderne explorée en L2 c’est avec plaisir que je l’ai retrouvée mêlée au patrimoine lors de ma troisième année. J’ai trouvé ces cours très intéressants et j’ai tout particulièrement apprécié l’enseignement d'une de mes professeures qui nous a appris à voir l’architecture autrement et y développer un réel esprit critique par le biais de son discours mais également des débats qu’elle organisait. Nous avons également eu des cours de droit, et si ils m’ont peu intéressés en L2, les cours de L3 était nettement différents. J’ai grandement apprécié aussi d’avoir eu l’occasion d’élargir le domaine de l’architecture à travers de sujets plus inattendus tels que la philosophie ou l’anthropologie ainsi que le cinéma. Je suis actuellement en Master. Je regrette presque que ces trois années soient passées si vite. La licence, même si elle est éprouvante, est la période de l'architecture libre, créative, émotionnelle... On s'amuse, on expérimente. Le master est là pour appliquer toute l'expérience accumulée pendant ses 3 ans, il est plus sérieux, plus appliqué. Ce contraste m'aide beaucoup sur ma vision de l'architecture que je veux pratiquer plus tard. J'ai envie de retrouver cette pratique "fun". Je pense que c'est quelque chose que je pourrais potentiellement trouver dans la scénographie ou le maquettisme... Affaire à suivre...

Manon, 21 ans

Webdesigner

Hello tout le monde, et bienvenue sur mon premier article ! :) Aujourd'hui, je me suis dis pourquoi pas vous parlez un peu de mon parcours. Il faut savoir que j'ai toujours été un peu perdue concernant mon futur durant mon adolescence, je pense un peu comme tout le monde. Lorsque j'étais au lycée, mes profs étaient assez stressant par rapport aux notes, aux spécialités qu'il fallait qu'on prenne pour ne pas se fermer des portes pour notre futur etc. Finalement ils avaient pas tord mais bon, on était quand même jeune pour penser à tout ça. En terminal, c'est la que les choses se sont corsées de mon côté. En première, j'ai choisi comme spécialité : Maths Physique-Chimie SVT, un bac S en gros, je devais donc choisir quel spécialité abandonnée pour la terminal. Ayant eu des bonnes notes en Maths, j'étais sur de la garder, mais pour SVT et Physique-Chimie le choix était un peu plus dur... La Physique-Chimie m'intéressait, je me donnais à fond pour avoir des bonnes notes mais malheureusement je n'en avais pas, je n'y arrivais pas. À l'inverse de la SVT qui ne m'intéressait pas forcément, mais je ne travaillais pas vraiment mais j'arrivais facilement à avoir un peu plus que la moyenne. Malheureusement mon choix s'est porté sur la SVT pour être sur d'obtenir mon BAC, car si je choisissais Physique-Chimie je n'étais pas aussi sur que ça de l'avoir. Après ce choix, l'attention se portait sur Parcoursup, un enfer! On commençait à faire nos choix tout en continuant nos études, puis viens le moment de savoir si on a été pris, si on est en liste d'attente ou encore si on est refusé. Habitant entre Grenoble et Lyon, je dépendais de l'académie de Grenoble, mais c'était hors de question pour moi d'aller à Grenoble (je n'aime pas vraiment la ville et les transports étaient vraiment très compliqué ne pouvant pas avoir un appartement directement sur place faute de moyen). Donc cela allait être encore plus compliqué de trouver une école sur Lyon n'étant pas prioritaire. Malheureusement, lors des résultats, j'ai été soit refusé, soit sur liste d'attente... C'est à partir de ce moment la qu'on commence à paniquer pour son avenir et à se demander ou s'est qu'on va bien pouvoir faire l'année prochaine. Bien évidemment, l'école que je voulais le plus, était l'école où j'étais le plus loin dans la liste d'attente. Le temps passa et nous voilà déjà en août, 1mois avant la rentrée et n'ayant toujours pas d'école. Après quelques semaines de réflexion, je pris la décision avec l'aide de mes parents de faire une année de césure, c'est-à-dire une année de "pause" entre le BAC et les études, pour partir aux USA apprendre l'anglais. J'avais comme projet d'aller dans l'informatique, et n'ayant vraiment pas un bon niveau en anglais ce qui est nécéssaire pour l'informatique, je me suis dis que c'était une bonne idée. Les recherches avança et voilà que le voyage est organisé : 4mois aux USA, à San Diego plus précisément. Pendant ce voyage, j'apprenais bien l'anglais tout en continuant mes recherches pour mon école et aussi un travail pour les 6mois qui restait avant la rentrée. Enfin rentrée de ce voyage, je travaille et je trouve mon école assez rapidement, en janvier/février : Ynov. Cette école m'a tout de suite plu car elle dure 5 ans : 3 années de Bachelor puis 2 année de Master, et puis elle me permettait les deux premières années de voir l'Informatique en général puis ensuite choisir la spécialité vers laquelle je voulais me tourner. Me voilà maintenant dans cette école, étant contente d'avoir pris cette année de césure et ne regrettant pas mon choix d'école ! :) Si l'envie vous prend d'avoir plus d'information à mon sujet ou bien au sujet de mon école, je suis disponible pour vous répondre lorsque vous le souhaitez ! N'hésitez pas à prendre un rendez vous avec moi :) Manon.