Guides d'orientation : tout savoir sur une filière
groupe d'advisors

Témoignages École de commerce

Il existe 1001 façons de choisir sa filière, mais ce n'est pas toujours évident de s'y retrouver au milieu de toutes ces informations 🔎, et de savoir si on a fait le bon choix !

Les témoignages de nos Advisors sont là pour t'aider à y voir plus clair 💡.

Si tu veux en savoir plus sur leurs parcours, prends RDV avec eux 🤳 !

78 résultats correspondants :

Emma Loise, 21 ans

Numérique, Digital

Bonjour, je suis actuellement en deuxième année et Epitech m'a apporté beaucoup de chose. Je ne savais pas quoi faire je voulais toucher à plusieurs domaines et j'ai découvert la filière digitale que je vous recommande. À la fois tech, mais aussi en voyant tout ce qui l'entour avec le design, le marketing… Nous avons le recule sur nos projets et pouvons choisir ce qu'il nous plait. N'hésitez pas à me contacter si vous désirez plus d'informations.

Solyne, 24 ans

Je viens d'intégrer le master architecture intérieure à lim'art j'en suis très contente même si c'est pas facile tous les jours avec le covid et venant d'un BTS design despace la marche était assez haute mais je pense qu'en travaillant et surtout en s'organisant on peu y arriver. Ce que j'ai le plus dans cette formation ce sont les profs tous des professionnels passionnés qui nous racontent leur anecdotes leur astuce en tant qu'architcte qu'on aurait pas eu avec de simple prof. Les projets sont des projets réels bien concrets que nos profs (1 prof différent à chaque projet) nous partage ce sont leur projet qui sont en train de réaliser ou qu'ils ont realiser on peut donc visiter le lieu lorsqu'il sagit de rénovation nos cours sont assez complets et précis on a aussi pleins d'intervenants sur l utilisation de la lumière dans notre projet de scénographie, sur les habitats écologiques (work shop) et surtout cette ecole propose des ateliers pratique sur differentes thématiques : ceramique, bois, decoupe laser, bricolage, art floral ... suivant les année les atliers changent. On a 2 ateliers par an tous les mercredi en bachelor et 1 par an sur 1mois en master. Le master pouvant être fait en alternance comme moi et c'est très formateur

Dounia, 26 ans

Le DCG vous forme à être les comptables de demain avec une approche théorique, beaucoup de nouvelles notions à assimiler, un profil motivé, sérieux et organisé est recommandé. Cette formation demande un travail personnel important, des examens ont lieu chaque année.

Eva, 24 ans

Droit

Salut, Aujourd'hui je vais te faire partager mon expérience d'une année en fac de Droit! Je voulais travailler dans le droit, je me suis donc renseigné et j'ai participer à plusieurs portes ouvertes. Par la suite j'ai choisit l'Université de Bretagne Sud à Vannes. Comment ça c'est passé? De manière générale, le droit demande énormément de travail, comme partout mais encore + en droit il faut savoir être autonome et vraiment MOTIVE! Ce sont des études très intéressante qui te permette de découvrir de nombreuses chose que tu peux faire ou non dans notre société, mais il faut s'accrocher car le système de la fac te demandera beaucoup de travail ! Mais ne te décourage pas, si tu as trouvé ta voix et que les métiers/les études en droit t'intéresse fonce, avec de la persévérance tu peux le faire !

Juliette, 24 ans

BTS Communication (COM)

Je ne m'étais que très peu renseigné au sujet du BTS communication. Voici ce que j'aurai aimé que l'on me dise au préalable : - Le BTS communication comporte une dimension commerciale très importante (cours de relation commerciale) - L'examen du BTS comporte plusieurs écrits en fonction des matières, mais également d'oraux dont 2 très important et qui ont le plus haut coefficient. Si vous n'êtes pas à l'aise à l'oral, profitez des nombreux projets que vous aurez à élaborer au cours des 2 ans de BTS pour vous entraîner. - Les cours sont très scolaires. Et il le faut car c'est le plus efficace pour bien apprendre les bases. - Une approche professionnalisante : de nombreux projets et compétitions seront mis en place, ce qui vous permets de montrer de quoi vous êtes capable ! C'est lors de ces moments que vous pourrez trouver vers quoi vous orienter (création, stratégie, digital, ect...) - Il faut faire preuve de RIGUEUR. En effet 2 dossiers à préparer sur les 2 ans de BTS, seront à faire valider par vos professeurs afin de le présenter lors des oraux finaux. - Après un BTS on peut tout à fait entrer directement en troisième année dans une autre école ! Le BTS ne ferme aucune porte. Si vous avez des questions plus approfondies sur les matières ou sur les épreuves de BTS n'hésitez pas à me contacter :)

Anaëlle, 23 ans

Prépa ENS Économie et Gestion D1

Je suis la formation de CPGE en droit et économie, appelée prépa ENS D1 au lycée Jean Mermoz à Montpellier. Ces années sont très enrichissantes, avec un cursus suivi à la fois en faculté de droit et en classe préparatoire. En effet, cette prépa a l'avantage d'allier heures de prépa et cours de faculté, permettant de valider une L1 puis L2 de Droit à la prestigieuse faculté de Montpellier, avec à côté une préparation aux concours souhaités (ENS, écoles de commerce, IEP notamment) en prépa. Ce double cursus représente évidemment une charge de travail très conséquente (devoirs surveillés et khôlles chaque semaine, partiels, TD à préparer) mais l'ambiance chaleureuse qui y règne et la motivation globale des étudiants nous aide à garder le cap. J'ai pour objectif personnellement, à défaut d'obtenir l'ENS, d'intégrer un IEP ou le magistère de relations internationales à la Sorbonne (MRIAE). Prends gratuitement rendez-vous avec moi et je pourrais t'expliquer plus en détails mon expérience en prépa D1.

Irina, 21 ans

Psychomotricité

Lors de la séance de TP de rentrée, les formatrices nous ont dit "on n'arrive pas en psychomotricité par hasard..." Après une année passée au sein de ces études si particulières, je comprends maintenant mieux ce qu'elles voulaient dire... Je vous propose ainsi de vous partager mon parcours, ma découverte de la psychomotricité et l'organisation du cursus en général (avec les spécificités de l'IFP d'Orléans). Bonne lecture ! 1. Une découverte plutôt tardive de la psychomotricité (mais comme on dit souvent mieux vaut tard que jamais !) Depuis toute petite, je rêve de faire un métier pour apaiser les souffrances des gens, pour trouver des solutions à leurs problèmes... C'est ainsi que de mes 8 ans jusqu'à mes 18 ans j'étais décidée à devenir psychologue. Mais ces dix années ont filé, et du jour au lendemain je me retrouve en terminale à devoir valider mon choix final. C'est à ce moment précis que tout se trouve chambouler en moi, que tout y compris ce rêve devient incertain... C'est alors que je tombe par hasard sur le métier de psychomotricien en naviguant sur mon PC... Je comprends que c'est un professionnel de santé du paramédical, axé sur la place du corps et son image dans les différents troubles. Je comprends qu'il essaye de ré instaurer les liens corps-esprits, pour rétablir une harmonie au sein du patient... J'ai alors un flash de moi en train d'exercer ce métier (alors que je n'en savais pas encore grand chose oui je sais !). Je commence des recherches plus poussées, et l'IFP d'Orléans devient mon nouvel objectif. A l'époque, on pouvait faire une fac de sciences (science de la vie/chimie) pour avoir plus de chance d'entrer à l'IFP. Ayant besoin de plus de temps pour réfléchir à ce projet, et ayant toujours envie de découvrir l'ambiance de l'Université, je décide donc d'entrer en L1 sciences de la vie/ chimie à Orléans. Après une année intense marquée par le confinement, je valide la double L1 et je suis acceptée à l'IFP d'Orléans : c'est le début d'une nouvelle aventure pour moi ! 2. Pourquoi le métier de psychomotricien me correspond ? Tout simplement car il me permet de pouvoir être dans le soin, ce fameux "care", en abordant les patients de façon globale. J'aime le fait qu'on prenne en compte aussi bien l'importance du support organique de l'Homme, son corps (pôle neuromusculaire), que son psychisme/esprit (pôle cognitif), et enfin la part émotive, sensible (pole psycho-affectif). Ainsi c'est un métier riche d'outils, de techniques, où notre créativité, notre imagination nous accompagne dans chaque prise en charge. Ainsi, les psychomot' aiment beaucoup jouer ! Ce que je trouve également intéressant en psychomotricité, c'est le côté ludique qu'on met en place, quelque soit l'âge du patient d'ailleurs. On essaie de valoriser leurs ressources et leurs capacités au maximum. Cela se retrouve dans la relation de confiance et de co-construction qu'on établit avec le patient : on n'oublie jamais que ce dernier a toujours quelque chose à apporter dans le processus thérapeutique. 3. L'organisation des études en psychomotricité Tout comme le métier, le cursus est riche (on ne s'ennuie jamais !) et se compose de trois grands temps d'enseignement : - les cours théoriques (qu'ils traitent de psychomotricité en tant que tel, de psychologie, psychiatrie, etc...) - les TP (travaux pratiques) qui permettent d'expérimenter corporellement certains concepts théoriques, de se former à certaines techniques (relaxation, toucher thérapeutique, bilans psychomoteurs...), d'appréhender des cas cliniques, et enfin d'apprendre à mieux se connaitre ! - les stages. En 1ère année ils visent à observer le développement psychomoteur (normal) de 0 à 6 ans. Ils deviennent cliniques à partir de la deuxième année. On pratique alors sur différentes populations et dans différentes lieux en 2ème et 3ème année. Le cursus se passe donc en 3 ans, avec la validation d'un DE (ou diplôme d'état) à la fin. 4. Les plus de l'IFP d'Orléans On y est 25 par promo, ce qui permet de se former au mieux, de manière presque personnalisée finalement. On peut poser toutes les questions qu'on a en tête, à tout moment. On se connait tous et toutes, et l'entraide est très présent entre nous. Tout au long de l'année, on est accompagné de manière individuelle via des entretiens pédagogiques pour voir si on se sent toujours bien au sein de la formation, du métier, dans notre vie en général... Si on a des doutes, ou si on rencontre des difficultés les formatrices sont là pour nous écouter et nous aiguiller au mieux. Côté vie étudiante, le BDE (bureau des étudiants) est très organisé et assez actif ! Des évènements nous sont très régulièrement proposés... pour ceux qui aiment s'amuser et sortir en parallèle des études c'est l'idéal ! Ces particularités permettent de créer une vrai ambiance de travail, plutôt chaleureuse et détendue. 5. Mon ressenti sur ma 1ère année de DE Au final, je ne regrette pas d'avoir quitté la fac ! Ni la psycho ! Je sais maintenant qu'il m'aurait manqué quelque chose en psychologie : cette approche globale de la psychomotricité, le plaisir et l'utilité des médiations corporelles. Avant je n'aimais pas du tout le sport, je n'aimais pas bouger mon corps, je me laissée accaparer par les vicissitudes de mon esprit. Aujourd'hui, l'image que j'ai de mon corps et de moi a changé et c'est en partie grâce à mes études. En psychomotricité, on ne se forme par seulement à un métier, on apprend à se développer personnellement. Je suis également heureuse de toutes les expériences que j'ai vécu en seulement un an... Le souvenir de l'équithérapie par exemple résonne encore en moi... tout comme les TP d'expression corporelle pour ne citer que quelques exemples. Côté travail et résultats, j'avais peur de ne pas réussir à suivre, notamment en anatomie ou en neurophysiologie (n'ayant pas fait médecine avant). Mais finalement en s'y mettant, en fournissant un minimum d'efforts (inhérents au principe des études), et avec la patience des enseignements et des systèmes d'entraide (entre étudiants dans la promo + cours en plus pour revenir sur certaines notions) on y arrive (même en sortant du bac d'ailleurs) ! Vous l'aurez compris mes études me passionnent et m'aident à m'épanouir... J'espère que ce témoignage vous aura parlé, appris des choses, peut être même intrigué... Si vous vous posez encore des questions, n'hésitez pas à me contacter via la plateforme, je serais enchantée de prendre le temps de vous écouter ! ;)

Solenn, 22 ans

D'après mon expérience en école d'architecture, voici ce que j'en retiens : c'est une formation extrêmement complète qui fait intervenir tant des qualités plastiques et créatives que orales. On apprends beaucoup sur soi, à travailler en groupe, et à acquérir un esprit de synthèse par exemple. On ressens très vite quand on commence les études que bien s'exprimer à l'oral et pouvoir synthétiser tout son travail en trois lignes c'est primordial. Au niveau des matières, ce sont des études "touchent à tout", du moins de mon point de vue. On étudie l'histoire, l'histoire de l'art, l'urbanisme, la politique urbaine, l'économie des territoires, les mutations sociétales qui ont influencées les villes, les comportements humains qui entrent en jeu quand on parle d'habiter un espace... Tout cela nous ouvre l'esprit sur ce qui nous entoure et nous fait voir le monde d'une autre manière. C'est peut être une phrase bateau, je vous l'accorde, mais elle est terriblement juste quant il s'agit des enseignements qui nous sont donnés. L'architecte conçoit et construit l'environnement donc en tant que futurs architectes nous devons avoir en main un éventail de connaissances sur le monde dans lequel nous allons exercer. Alors oui, ce sont des études fastidieuses et très souvent démoralisantes mais on se rend compte de tellement de choses qu'on a envie de continuer !

Shamy, 23 ans

Sage-femme

Après avoir passé un bac ES - Economie & Social -, me voilà, plongé dans mon rêve d'adolescent : la filière Sage-Femme. Aussi loin que je puisse me souvenir, ce travail a toujours été une vocation en moi. Certain.e.s auraient préféré la médecine générale, d'autres la pédiatrie... Mais l'entre-deux, quand le médical se mêle à l'accompagnement, l'écoute, la bienveillance, la douceur : c'est la filière Sage-Femme qui se démarque. Chaque année d'apprentissage me fait aimer davantage mon futur métier. Mes projets fleurissent à foison : ouvrir un cabinet ? Faire du domicile ? Exercer en hôpital ? Il faut continuer d'avancer et écouter ses désirs pour le savoir. En Sage-Femme, tout est possible. Tu peux te spécialiser ; décider de consacrer une partie de ta vie à l'hôpital, et l'autre en libéral. Tu peux te contenter de ton diplôme, ou bien les collectionner : échographie, gynécologie, conseiller.e en lactation... Le panel de spécialisation est presque infini. Tu verras que ce métier est un assemblage de plusieurs : soins infirmiers, psychologie, sociologie, gynécologie... Et non pas que des accouchements ! Personnellement, ce que je trouve le plus beau dans ce travail, c'est participer à l'accompagnement des familles qui se construisent. Qui se reconstruisent. Qui apprennent. Qui aiment, qui chérissent... C'est commencer avec elles, un chemin si long à l'avenir. Les guider dans leur rôle de parents, qui durera - nous l'espérons -, toute leur vie. Et me voilà, à 21 ans, en troisième année déjà. Dans un autre pays, apprenant des choses tout à fait différentes du mien. France et Belgique sont voisins, pourtant les modalités sont tout aussi variables ; et c'est ce qui m'enrichi davantage. Etudes en Belgique, stages en France. Diplôme reconnu dans toutes l'UE. Quelle sera la suite ? ;)

Claire, 25 ans

Médecine

Si vous voulez étudier en médecine, il est préférable de commencer par une prépa. Il existe plusieurs prépa concours médecine, à différents prix. Je conseillerais d'avoir un bon PC, type Mac pour pouvoir avoir le plus de facilité à taper vos cours. Pour simplifier votre année, être en binôme est une bonne solution, l'un prend les schémas et l'autre tape le cours. Il faut être motivé, ne pas compter ses heures de travail. C'est une année compliquée avec beaucoup de compétitivité mais si c'est votre vocation, foncez !