Guides d'orientation : tout savoir sur une filière
groupe d'advisors

Témoignages École de commerce

Il existe 1001 façons de choisir sa filière, mais ce n'est pas toujours évident de s'y retrouver au milieu de toutes ces informations 🔎, et de savoir si on a fait le bon choix !

Les témoignages de nos Advisors sont là pour t'aider à y voir plus clair 💡.

Si tu veux en savoir plus sur leurs parcours, prends RDV avec eux 🤳 !

77 résultats correspondants :

Emma, 22 ans

Orthophonie

Je suis actuellement étudiante en première année d'orthophonie, quelle chance ! Mais y parvenir n'a pas été si facile que ça... Laissez moi donc vous raconter ces longs mois de galère qu'ont été la prépa. Oui, pour pouvoir accéder aux études d'orthophonie, il y a un concours à réussir (3% de réussite accrochez-vous bien), c'est pourquoi il est vraiment recommandé de passer par une prépa. Parlons-en un peu... Vocabulaire, culture G, grammaire (8h par semaine...), biologie, tests psychotechniques, épreuves rédactionnelles (résumés, commentaires, dissertations, une passion), il faut aimer la langue française, ou du moins la maîtriser. Le concours d'orthophonie est un concours très littéraire dont le but n'est pas que vous réussissiez, bien au contraire... Des milliers de candidats face à vous, et finalement seulement 25, 35, 45, 90 ou 100 d'entre eux seront gardés. Alors vous avez intérêt de vous accrocher, de travailler, mais surtout d'être très motivé. Très très motivé. Vous devrez travailler à fond toute l'année, et pour cela je vous conseille d'être bien entouré (amis, familles, tous ces gens qui croient en vous et qui vont vous permettre de garder le moral malgré les premiers échecs). Vous allez ensuite commencer votre série de concours, qui sera parfois suivie par une série d'échecs (oui, ceux qui réussissent à avoir tous les concours auxquels ils se présentent ne sont pas si nombreux que ça gardez bien ça en tête) mais il faut savoir passer outre les échecs et se concentrer sur les succès à venir, c'est ce qui fera votre force ! Et lorsque vous aurez enfin décroché cet écrit dont vous rêvez, il ne faudra pas baisser les bras car l'oral encore vous attendra ! Et quel bonheur, quand vous verrez enfin votre nom écrit sur la liste finale. Admissible en école d'orthophonie !! Mais même si ce n'est pas le cas, et que vous échouez une première fois, surtout ne baissez pas les bras, car il suffit d'une fois !! Je vous souhaite à tous de réussir dans tout ce que vous entreprendrez, et que vous serez heureux quoi que vous fassiez.

Mathilde, 25 ans

Médecine

Je suis en 3ème année d'études de sage femme à Lille. Comme vous le savez sans doute il faut passer par la fameuse PACES pour accéder aux études de sage femme. Une année très difficile mais pas insurmontable non plus sinon nous ne serions pas la!! C'est une année à consacrer aux études mais ensuite on commence quelque chose de plus spécialisé, on sait pourquoi on bosse et surtout on va en stage! Ca c'est génial, on apprend plus vite, on découvre réellement le métier, on devient professionnel. En plus de tout ça les sages femme ce sont des étudiant(e)s soudé(e)s, où règne la bonne humeur et la bonne ambiance tant en intra quand inter promo! Si tu veux plus d'informations n'hésite pas à prendre rendez vous :)

Christophe, 21 ans

SciencesPo Paris est une école formidable. Les enseignements dispensés au sein du Programme du Collège Universitaires sont passionnants. L'avantage de cette formation est la pluridisciplinarité de la première année d'études. Avant de se spécialiser, à travers le choix d'une majeur en deuxième année, nous pouvons étudier de nombreux domaines et mieux discerner nos préférences. D'ailleurs, l'administration de l'école accompagne vraiment ses étudiants et les encadre en toute bienveillance. Si tu souhaites en savoir plus, à propos de cette école, n'hésite surtout pas à me contacter ! À très vite !

Ludivine, 23 ans

Étudier à Sciences Po Paris, c'est comment ? Depuis le mois d'août 2018, j'étudie à Sciences Po Paris sur le campus de Reims en première année. En effet, la première chose à savoir sur Sciences Po est qu'il existe 7 campus différents, chacun orientés vers une zone géographique en particulier : - le campus de Reims, qui a deux programmes : Amérique du Nord (appelé plus couramment Euram par les étudiants) et Afrique (appelé Euraf) - le campus de Menton orienté vers le Moyen-Orient et la Méditerranée - le campus de Dijon, orienté vers l'Europe Centrale et Orientale - le campus du Havre, orienté vers l'Asie - le campus de Poitiers, orienté vers l'Amérique Latine, l'Espagne et le Portugal - le campus de Nancy, avec un programme Franco-Allemand - et enfin le campus de Paris, qui n'a pas de zone géographique particulière. À quoi réfère ces zones géographiques ? Dans chaque programme spécialisé dans une zone particulière, les enseignements sont orientés sur l'études plus poussées de ces zones. Par exemple, faisant partie du programme Europe-Amérique du Nord, les exemples de cours sont souvent basés sur le modèle américain ou canadien. De la même façon, les étudiants du programme Europe-Asie du Havre auront des exemples plutôt tournés vers les pays asiatiques. De plus, il faut savoir que tous les cours de Sciences Po ne sont pas dispensés en français ! En effet, le programme Europe-Amérique du Nord propose uniquement des cours en anglais, tout comme le programme Europe-Asie. Pour les autres programmes, suivant la région vers laquelle ils sont tournés, certains enseignements sont proposés en anglais ou dans la langue associée à la région du monde (espagnol pour le campus de Poitier, allemand pour le campus de Nancy par exemple). Concernant les enseignements, les trois premières années à Sciences Po sont très générales. Le but est d'acquérir des connaissances dans des domaines variés afin d'obtenir un bagage culturel important pour la poursuite des études en Master. Ainsi, le premier semestre de première année est composé d'économie, de droit constitutionnel, d'histoire du XIXème siècle, de mathématiques, de philosophie (qui est également dispensée pendant le deuxième semestre) et de cours de langue (eux aussi dispensés durant le deuxième semestre). Le deuxième semestre est quant à lui fait de sociologie, de sciences politiques, d'un séminaire d'exploration cette année basé sur la liberté et la sécurité, de statistiques, d'un cours d'art (à choisir parmi une liste de choix très variée), et des cours de philosophie et de langues dans la continuité du premier semestre. Mon ressenti : En arrivant sur le campus de Reims, je me suis sentie un peu perdue. Il faut avouer que passer d'un petit lycée de 600 élèves à un campus de 1300 étudiants venant du monde entier, c'est plutôt dépaysant. En effet, 97 nationalités se côtoient sur ce campus, ce qui lui donne une dimension très internationale. En plus de cette variété de personne, j'ai aussi été très vite confrontée à la barrière de la langue. En effet, alors que la plupart des étudiants étaient déjà bilingue ou parlaient couramment anglais, je n'étais absolument pas dans leur cas. J'ai en fait été placée dans le cours d'anglais au niveau le plus bas de disponible, c'est-à-dire B1. Pour être tout à fait honnête, mon premier semestre a été difficile: non seulement j'ai dû m'habituer à avoir tous mes cours en anglais, mais j'ai en plus du apprendre à mettre en place une organisation de travail. L'organisation, c'est d'ailleurs le plus important qu'un étudiant doit acquérir afin de réussir ses études supérieures. En effet, il n'y a plus de devoirs à proprement parler. On doit apprendre ses cours régulièrement, et on a les dates de nos exposés donnés au début du semestre, ce qui implique de prendre de l’avance dans son travail. Enfin, il est aussi important de parler de la vie associative foisonnante à Sciences Po. Dans chaque campus, on retrouve diverses associations, en rapport à la politique, la protection de l’environnement, le débat, des causes solidaires, etc. Via ces associations, on peut s’épanouir en dehors des cours, et acquérir des compétences qui ne sont absolument pas au programme. Ainsi, faisant partie de l’association les Cordées de la Réussite, qui est un programme mettant en place des partenariats entre des étudiants de Sciences Po et des élèves de troisième, j’ai pu être tutrice d’une dizaine d’élèves pendant un an. J’ai partagé avec eux mon expérience à Sciences Po, fait office de grande sœur pour certains, et surtout mis en place des ateliers variés afin de leur faire découvrir et prendre conscience de certains phénomènes d’actualité, comme la protection de l’environnement. En bref, Sciences Po a été pour moi : - Une nouvelle langue - Un défi - Un grand changement - Des découvertes Et l’aventure ne fait que commencer…

Léa, 23 ans

Droit international

J'ai eu la chance de suivre un Master 2 spécialisé droit international des affaires à l'Université Paris V, et je dois dire que cela a été l'une des expériences les plus enrichissantes de ma vie. Le programme était intense et exigeant, mais également très stimulant et intéressant. Nous avons étudié un large éventail de sujets liés au droit international des affaires, allant de la fiscalité internationale à la résolution des conflits commerciaux internationaux. Les cours étaient dispensés par des enseignants qualifiés et expérimentés de facs internationales (Cornell..), qui ont su rendre les concepts juridiques complexes accessibles et compréhensibles. Le Master 2 nous a également offert des occasions de développer nos compétences pratiques, notamment grâce à des exercices de négociation, des études de cas et des simulations de procès. Nous avons également eu la chance de rencontrer des professionnels de différents secteurs, comme des avocats, des juges et des représentants de grandes entreprises internationales, qui nous ont apporté leur expérience et leur savoir-faire. Dans l'ensemble, je recommande vivement ce Master 2 à tous ceux qui cherchent à développer leurs compétences juridiques et à s'immerger dans le monde complexe et fascinant du droit des affaires international. C'est une année qui m'a beaucoup appris sur le droit, sur les affaires et qui m'a préparé de manière optimale pour traiter des dossiers de droit des affaires au sein de cabinets d'avocats.

Kiara, 20 ans

Sciences pour la santé

Il y a seulement 3 ans, tu étais perdu. Depuis toujours, tu t’étais fixé un objectif de vie. Être vétérinaire et parcourir les campagnes pour aller à la rencontre des éleveurs et soigner leurs animaux. Tout en sachant la difficulté des études, tu donnes le meilleur de toi-même en cours pour parvenir à intégrer une classe préparatoire en BCPST. En Terminale, lors du choix d’orientation, c’était très clair, tu veux être vétérinaire, mais à quel prix ? Tes professeurs sont partagés à l’idée de t’envoyer en classes préparatoires. Pendant le confinement, tu t’interroges sur ton avenir, tu doutes de tes capacités, tu cherches des métiers plus « accessibles ». Tu as alors l’idée de te réorienter dans un secteur similaire comme l’ostéopathie animale, assistant vétérinaire… Mais finalement, tu as l’impression que ça ne mène à rien parce que tu sais au fond de toi ce que tu veux. Un soir, tu craques. Tu prends ton ordinateur et tu commences à faire toutes les recherches possibles et inimaginables sur les études vétérinaires à l’étranger. C’est là que tu recommences à avoir de l’espoir. L’Europe t’offre tellement d’opportunité d’être vétérinaire. Et là, tu t’interroges « mais pourquoi je n’y ai pas pensé plus tôt ? », « pourquoi personne ne m’a dit que c’était possible ? », « pourquoi la France rend ces études tellement inaccessibles avec si peu de place. » Tu commences à en parler à ta famille. Allez étudier à l’étranger après le BAC, dans un pays inconnu, devenir complètement indépendante du jour au lendemain. C’est impressionnant mais aussi très excitant. Tu as peur que ce soit un rêve encore irréalisable, mais tu ne veux pas baisser les bras ! Tous les jours, tu remplis un tableau Excel pour le présenter à ta famille ; avec chaque école en Europe, leurs prix, le nombre d’études à faire, le prix de la vie, le moyen de s’y rendre (avion, voiture…). Tu te rends compte que tout ça est très utopique. C’est là que tu penses à la plateforme Study Advisor. Une case de ton tableau contient maintenant ton avis sur l’école selon le témoignage de différentes personnes. Une fois avoir réuni les informations, tu les compares entre elles. Tu as une préférence pour une école en Espagne, l’université CEU Cardinal Herrera qui propose un cursus en français les 2 premières années. Elle te semble parfaite ! le problème ? LE PRIX. Le prix te fait peur, tu ne veux pas imposer ça à tes parents… Tu hésites même à leur en parler. Tu décides de prendre contact avec encore plus de personnes pour avoir encore plus d’avis. Tu tombes sur une personne qui avait la même peur que toi. Elle te rassure et te dit que beaucoup de personnes ne peuvent pas s’offrir des études aussi chères et l’option du prêt étudiant est parfois inévitable. Tu te questionnes alors si tu veux être vétérinaire au prix d’être endetté de plus de 70 000 euros à la fin de tes études. Tous tes espoirs de pouvoir intégrer ces écoles s’effacent peu à peu. Avant d’abandonner, tu en parles à ta famille… Ils se rendent compte de l’importance pour toi de faire ce métier et te conforte à l’idée que si c’est ce que tu veux, il faut que tu le fasses. Tu commences à créer ton dossier pour postuler dans l’école de tes rêves, tu fais une lettre de motivation qui te ressemble et qui montre l’importance pour toi d’être vétérinaire. Et là, tu attends. Tu essayes de te préparer à toute possibilité, être déçu, contente, triste, euphorique… Mais en attendant, tu ne peux pas rester sans plan B. Nous sommes seulement en janvier, tu dois te concentrer sur la BAC S pour essayer de viser les classes préparatoires. Le moment tant attendu arrive, tu as la réponse de ton mail et tu lis « nous regrettons de vous informer que vous n’avez pas été présélectionné pour l'année académique 2020-2021 à l'Université CEU Cardenal Herrera. » Maintenant, tu ranges ta déception dans un tiroir et tu passes au plan B en continuant tes recherches dans une école véto à l’étranger. (à l’époque, je ne savais pas que je pouvais postuler pour le cursus anglais et espagnol !!). Un jour comme les autres, en terminale, au mois de Mars, tu reçois un appel ou il y a affiché un numéro commençant par +34 avec écrit « Valence ». Tu ne comprends pas et le temps que tu réfléchisses si tu dois sortir pour prendre l’appel ou pas, tu n’as pas pu répondre. Le même numéros rappel 5 minutes plus tard. Tu n’hésites pas et tu demandes de sortir pour décrocher. Tu parles avec une personne de l’administration qui s’excuse car il y a eu une erreur dans la réponse de ta présélection. Tu lui demandes de répéter parce que tu as du mal à y croire…. Tu rentres en classes en étant super perturbé et la prof te demande si tout va bien. Tu lui dis que tu vas être vétérinaire. Aujourd’hui je suis en troisième année vétérinaire et je n’en reviens toujours pas. Le temps passe si vite. Les études sont difficiles mais ce sont que des cours aussi passionnant les uns que les autres. C’est la première fois de ma vie que j’étudie avec envie. Je sais que je n’aurais jamais pu rêver mieux. Je remercie ma famille de m’avoir soutenu dans ce projet. N'abandonne pas tes rêves. AIE CONFIANCE EN TOI...

Diandra, 26 ans

Prépa PCSI

Bonjour, je ne sais pas si tu te reconnaîtras dans mon histoire partiellement ou totalement, mais je te parlerais de mon expérience en CPGE. De base je suis issue d’un baccalauréat S (option biologie-physique-chimie), je suis venue faire mes études en France après avoir obtenue mon baccalauréat. En effet j’avais 18 ans et demi quand j’ai quitté, mon cocon pour venir commencer ma nouvelle vie à Caen, dans une CPGE en option Physique-Chimie-Sciences de l’ingénierie (PCSI). Le premier jour je me sentais confiante, parce que mes années de Lycée dans une école catholique de renom m’avait donné cette force d’affronter chaque chose. Le premier mois était très intéressant, je me rendis compte qu’on abordait des notions que j’avais vu durant ma période de Lycée, mais de manière un peu plus poussée. Ce qui n’était pas très alarmant c’était plutôt excitant. Arriva le 1Er DM en mathématiques, une de mes matières favorites, je m’en suis sortie avec un 15/20; ça allait mais bof j’étais dessus de mes performances. Puis vînt le premier contrôle, 10/20 😳 là je me suis dit c’est la « cata ! qu’est-ce que c’est que ce truc ! ». Je me suis reprise assez vite, mais plus le temps passait, plus je me demandais si vraiment j’étais faite pour la prépa. J’avais beau réviser à fond les notes n’étaient pas extraordinaires, des 14, 12, 10, 8, 5 j’étais passée par tout (en fonction des matières scientifiques, les langues ça allait 😒 heureusement). J’en arrivais à un moment où je me demandais si j’allais y arriver. Ce que je trouvais étonnant c’était que les commentaires des professeurs ne reflétaient pas mes notes, je recevais des compliments lorsque j’avais parfois des notes inférieures ou même égales à 10, plus on avançait. C’est après que j’ai compris que plus on avançait, plus le niveau montait d’un cran et plus l’attention était portée sur notre capacité à garder le cap ou à évoluer. J’ai compris qu’en fait les professeurs s’arrangent à nous donner des sujets interminables et difficiles pour qu’on puisse dépasser nos limites et donner le meilleur de nous sans forcément exploser le livre des scores. Oui ! Les notes on de l’importance, mais ce qui compte aussi c’est la persévérance, l’effort fournit et la motivation. Après mes deux ans en prépa, sachant que nous avions à peu près tous craqués sous la pression, nos concours s’étaient bien déroulé, et pour ma part j’avais eu ce que je voulais. Je suis ressortie de cette expérience encore plus forte, qu’au lycée. Je suis plus apte à gérer le stresse, à travailler en équipe (parce que nous n’étions que 18 en classe donc nous étions comme une famille), à se dépasser et à être plus mature. C’est une expérience que j’ai aimé vivre dans un certain sens. Et si vous êtes en CPGE ou emmené à l’être, n’oubliez pas que « La Terre Promise est toujours de l’autre côté du désert. » 😉 Vous y arriverez !!

Ronan, 28 ans

Mécanique

Après avoir passer le concours ATS en 2016, j'ai été admis à l'école d'ingénieur en mécanique et en chimie (fusion entre l'ENSCCF ET l'IFMA) à SIGMA CLERMONT, le cursus ingénieur se fait en 3 ans et requiert la validation préalable d'un BAC +2. Cette école propose une formation généraliste. Pour ce qui est de la formation en mécanique, trois spécialisations sont possibles à l'issue de la première année qui fait principalement office de remise à niveau étant donnée la diversité des formations par lesquelles cette école est accessible. Voici ces 3 spécialisations : - Conception de machines industrielles et de systèmes mécanique (bureau d'études ; CAO (CATIA) ; cinématique machines ; robotique) - Matériau (Etudes de résistance, propriétés, laboratoire) - Systèmes Industriels et logistique (Supply Chain ; Logistique ; Simulation de flux ; ingénierie industrielle ; Méthodes ; 5S, Lean Management), spécialisation que j'ai choisie Un autre point au centre de cette école et de la plupart des écoles d'ingénieurs est la possiblilité de prendre part à de multiples projets grâce au grand choix d'associations auxquelles l'étudiant ingénieur est très fortement incité à adhérer, principalement pour son développement personnel. Enfin, un aspect qui a été pour moi extrêment important et plaisant est le nombre de partenariats entre cette école et des universités étrangères ainsi que la possibilité d'effectuer une année de césure à l'étranger. De plus, l'étudiant est totalement soutenu dans des démarches de stages et d'études à l'étranger, l'école ne s'oppose en rien à cela, bien au contraire, il est donc possible de faire une grande partie de son cursus ingénieur à l'étranger. Durée de la formation : 3 ans Exemples de débouchés : Chef de projet, Ingénieur matériau, Ingénieur méthodes, thèse, etc. N'hésite pas à prendre RDV avec moi si tu souhaites discuter avec moi de cette foramtion en particulier ou tout simplement de mon parcours en général et/ou de mes diverses expériences professionnelles. Je répondrai avec plaisir à toutes tes questions!

Mathilde, 25 ans

Agriculture

En septembre a commencé ma dernière année en école d'ingénieurs. Malgré le contexte particulier lié à la crise sanitaire, tout se passe presque comme prévu. Après avoir fait 2 ans de prépa intégrée (INSA Lyon) où j'étais en filière internationale (ce qui me permettait de conserver 2 langues vivantes, de partir en stage à l'étranger et de partager mes cours avec la moitié de mes camarades de pays étrangers), je suis rentrée au département de spécialité Génie Civil et Urbanisme. Les années de prépa restent assez théoriques même si l'INSA met en place de nombreuses heures de Travaux Pratiques pour appliquer les notions théoriques. En entrée en département de spécialité, les choses changent un peu car nous avons beaucoup plus de projets, seul ou en groupe, l'objectif étant d'appliquer sur un cas concret ce qui a été vu en cours. Les écoles d'ingénieurs te donnent aussi la possibilité de partir à l'étranger. C'est ainsi une vraie chance que de pouvoir partir à la découverte d'autres cultures au travers de ses études. Mon semestre en Suède a été une aventure formidable et m'a permis de me donner quelques pistes sur ce que je voulais faire ou non. Pendant tes 5 ans d'études, tu as aussi l'occasion de faire des stages (3 pour ma part), de durée différente, qui te permettent de découvrir le monde de l'entreprise, de te familiariser avec les missions qui pourraient t'être confiées à la sortie de l'école ou encore apprendre en pratiquant. L'avantage d'une prépa intégrée par rapport à une prépa classique est que tu n'as pas le stress des concours. Tu peux continuer à faire du sport, de la musique ou toute autre activité de loisirs tout en apprenant. Chacun se soutient et l'objectif est que chacun valide ses partiels pour passer en année supérieure. Avec du recul, 5 ans, ça passe très très vite! Et on apprend beaucoup, sur la vie, sur soi-même, sur ses limites et sur ses envies!

Fanny, 22 ans

Prépa ECS

Qu'est-ce que la prépa ? La prépa c'est une classe dans laquelle tu te trouves pour préparer des concours à de grandes écoles. Il en existe plusieurs : les intégrées, celles qui ne le sont pas, les privées, les publiques ... Et pour plusieurs spécialités / domaines : commerce, mathématiques, sciences biologiques ou physiques, littéraires, etc, bref il y en a pour tous les goûts. Dans ces prépas, les cours sont adaptés à leur spécialité : pour exemple si tu choisis une prépa mathématiques tes cours seront majoritairement des maths et des sciences (mais les autres matières ne sont pas négligées, tu auras quand même de la culture générale et des langues); en revanche si tu choisis une prépa littéraire tu auras quasiment que des cours de lettres, de philo, de langues, d'histoire ... Bref tu choisis selon tes préférences. Attention certaines prépas ne sont pas accessibles à tous, en effet cela dépend de ta filière choisie au lycée (désormais de tes spécialités choisies donc accordes-y du temps et de l'importance), je m'explique : tu veux intégrer une prépa ESC (économique et sociale) il te faudra impérativement avoir la spécialité maths dans tes deux spécialités de terminal. De plus d'autres prépas ne ferment pas complétement leurs portes mais en fonction de tes deux spécialités tu seras plus ou moins haut(e) dans le classement. Oui toute cette histoire est bien complexe .. En tout cas, ces prépas, on les intègre, comme pour les autres études post-bac, par parcoursup. Donc ne t'y prend pas au dernier moment, ça prend du temps ;)