Guides d'orientation : tout savoir sur une filière
groupe d'advisors

Témoignages École de commerce

Il existe 1001 façons de choisir sa filière, mais ce n'est pas toujours évident de s'y retrouver au milieu de toutes ces informations 🔎, et de savoir si on a fait le bon choix !

Les témoignages de nos Advisors sont là pour t'aider à y voir plus clair 💡.

Si tu veux en savoir plus sur leurs parcours, prends RDV avec eux 🤳 !

78 résultats correspondants :

Fanny, 22 ans

Prépa ECS

Qu'est-ce que la prépa ? La prépa c'est une classe dans laquelle tu te trouves pour préparer des concours à de grandes écoles. Il en existe plusieurs : les intégrées, celles qui ne le sont pas, les privées, les publiques ... Et pour plusieurs spécialités / domaines : commerce, mathématiques, sciences biologiques ou physiques, littéraires, etc, bref il y en a pour tous les goûts. Dans ces prépas, les cours sont adaptés à leur spécialité : pour exemple si tu choisis une prépa mathématiques tes cours seront majoritairement des maths et des sciences (mais les autres matières ne sont pas négligées, tu auras quand même de la culture générale et des langues); en revanche si tu choisis une prépa littéraire tu auras quasiment que des cours de lettres, de philo, de langues, d'histoire ... Bref tu choisis selon tes préférences. Attention certaines prépas ne sont pas accessibles à tous, en effet cela dépend de ta filière choisie au lycée (désormais de tes spécialités choisies donc accordes-y du temps et de l'importance), je m'explique : tu veux intégrer une prépa ESC (économique et sociale) il te faudra impérativement avoir la spécialité maths dans tes deux spécialités de terminal. De plus d'autres prépas ne ferment pas complétement leurs portes mais en fonction de tes deux spécialités tu seras plus ou moins haut(e) dans le classement. Oui toute cette histoire est bien complexe .. En tout cas, ces prépas, on les intègre, comme pour les autres études post-bac, par parcoursup. Donc ne t'y prend pas au dernier moment, ça prend du temps ;)

Kelina, 33 ans

Management, Management international

A la suite de mon BTS NRC je voulais continuer car je savais qu'un bac+2 était insuffisant. Et je me suis dit pourquoi arrêter alors que je peux continuer à travailler et à étudier en même temps. J'ai donc entendu parler de cette école qui proposait un bachelor Bac+3. J'ai été aux portes ouvertes , j'ai aimé le concept de l'école. J'ai cherché par moi même mon entreprise, que j'ai trouvé par du bouche à oreille sur Facebook. J'ai donc fais mon alternance chez Metro en tant que chargée de communication.

Salomé, 22 ans

Webmarketing, Community Manager

Si tu lis cet article c'est que tu cherches une école pour ton avenir professionnel, ou peut être juste que l'univers du web marketing te tente ... Enchanté, moi, c'est Salomé, j'ai 20 ans et je suis en dernière année de web marketing à Epitech Digital (l'école va changer de nom, les infos se trouvent sur ce site ). Lorsque j'étais au lycée, je ne savais absolument pas vers quoi me tourner, entre le journalisme, vétérinaire, traducteur, monteur de vidéo, beaucoup d'option s'offraient à moi, et même beaucoup trop. Je ne savais plus où donner de la tête. C'est pourquoi j'ai effectué plusieurs salons de l'étudiant jusqu’à connaître l'univers du digital. Encore une fois, BEAUCOUP d'écoles, bon il fallait faire un GRAND tri pour choir la meilleure selon moi. J'ai donc effectuer plusieurs entretiens et une seule m'a attirer. Et c’est donc l’école où je suis actuellement en dernière année. Pour mieux vous expliquer le cursus, c’est une école qui forme à un bachelor en 3 ans, c’est un diplôme (Manager de projet web) reconnu par l’état. Pour entrer dans l’école, il faut seulement le bac et beaucoup de motivation, par la suite, vous aurez un entretien pour déterminer si vous êtes admis. Ensuite, Koh Lanta peut commencer, on a 3 semaines intensives pour voir chaque filière proposer par le bachelor, une fois ces 3 semaines finies, on doit choisir quelle filière nous convient le mieux, pour les 3 années à suivre. Pour ce qui se passe après, vous pouvez toujours me joindre et je me ferais un plaisir de répondre à chaque petites questions qui vous trottent dans la tête. À bientôt :) PS : pour ce qui est des campus : Paris, Caen, Lille, Tours, Lyon

Mathilde, 22 ans

Architecture, urbanisme, paysage

J'ai obtenu un bac S option Sciences de l'Ingénieur en 2019. Un peu plus tôt dans l'année il a fallu mettre des vœux sur Parcoursup. Le problème ? Je n'avais aucune idée de ce que je voulais faire pour le reste de ma vie ! Et c'est bien normal ! Avec une retraite à 64 ans, qui peut choisir à 18 ans ce qu'il va faire jusque là ? Mais l'échéance arrivait et il fallait faire un choix ! Comme on l'entend souvent en entretiens "j'aime les sciences, j'aime le dessin, alors pourquoi pas archi ?". J'avais quelques connaissances en ENSA, je savais à quoi m'attendre alors allons y ! Quelques mois plus tard je commence ma première année en architecture à Versailles. Je suis complètement à la ramasse, comme dans un monde parallèle. Tous les étudiants ont un architecte préféré, un avis sur tout, parlent de choses que je ne comprends pas. De ma vision de campagnarde arrivée là par chance et hasard, ce que je savais citer à ce stade c’était le vieil Orléans, sa cathédrale et les châteaux de la Loire, je n’ai même pas réussi à retenir les architectes du FRAC Centre que j’avais pourtant cité en long en large et en travers lors de mes entretiens. Le souvenir le plus fort que je garderai de ma licence est mon tout premier workshop. Dès les premières semaines nous avons été mis dans le bain : par 6 nous avons dû nous lancer dans la construction d’une maison en carton à l’échelle une. C’est là qu’on a commencé à apprendre. Le premier travail de groupe, les premiers croquis, les premières idées, interrogations et maquettes, les premiers questionnements structurels, les premières charrettes, les premières défaites, les premières victoires. Mais par-dessus tout, alors que nos professeurs étaient persuadés que le toit de notre structure allait s’effondrer, ce fut la satisfaction de voir notre œuvre achevée qui m’a fait réaliser que j’étais bel et bien lancée dans le cursus et qui m’a fait entrevoir que j’avais peut être finalement bien ma place ici. Le retard que j'avais l'impression d'avoir n'était finalement pas si grand. de toutes façons nos connaissances évaluées étaient basées sur les cours magistraux que nous avions tous et pour les cours de projets nous partions tous du même point. En parlant du cours de projet : il a été très déstabilisant. Au premier semestre nous étions frustrés de ne pas réellement faire projet. On a fait une coupe et un peu de programmation mais rien de ce que nous attendions réellement de cet enseignement. Le deuxième semestre a été déstabilisant d'une autre manière, nous avons du concevoir sans connaitre les codes. Nous n'avions aucune notion technique donc très peu de contraintes et nous avons du nous les imposer nous mêmes pour concevoir probable sans vraiment comprendre les limites de réalisme que nous devions avoir. Ce sentiment est resté au semestre 3 pour petit à petit s'effacer. En troisième année, la difficulté était tout autre. Mes camarades et moi nous sommes vite retrouvés face à une charge de travail dépassant tout ce que nous avions connu. La quantité et la qualité des documents requis avait drastiquement augmenté, je me suis à deux reprises retrouvée à présenter 3 projets complets avec documents finis dans la même semaine. L’exigence des maquettes avait aussi augmenté, mais ayant passé deux semestres loin de l’école, ses ateliers et son fablab, il ne nous avait été demandé aucune maquette depuis plus d’un an (à cause des confinements successifs). Mais ce n’était pas un argument, les difficultés m’ont permis de me débrouiller par moi-même et de me dépasser. Cette troisième année a été un réel sacrifice. Je me suis consacrée corps et âme dans le projet, je n’avais plus de temps pour faire autre chose, je ne voyais même plus mes amis qui travaillaient pourtant dans la même école que moi, je me contentais d’échanges brefs avec ceux assis à la même table, j’y ai laissé beaucoup de cartouches de sommeil ; encore aujourd’hui je récupère certaines heures sacrifiées lors des derniers rendus du premier semestre. Il a été moralement et psychologiquement dur : lorsqu’on se consacre autant à son travail, tout devient personnel et la critique est plus dure à digérer. Lorsque j'ai écris ces mots dans mon rapport de fin de licence, je sentais un note d'aigreur en moi. J'avais sacrifié un peu de ma vie pour des cours... Je me suis souvent dit que "les études ce n'est pas ta vie entière, pense un peu à toi" et je ne l'avait pas fait une fois. Cependant, avec le recul, ce sacrifice m'a au moins donné la tranquillité d'esprit de me dire que j'avais donné tout ce que j'avais à donner et que le projet n'aurait pas pu être mieux. Mais malgré tout, ce que je trouve dommage c’est que pour cette matière j’ai dû mettre de côté certains enseignements annexe par manque de temps ; j’assistais aux cours mais mon cerveau ne pensait que projet ou se mettais en off pour récupérer un peu de temps de repos. Cette année nous avions un professeur de droit passionnant et il m'est arrivé plusieurs fois de somnoler pendant ses cours à cause de la fatigue accumulée alors que ce que j'avais en face de moi intéressait vraiment. Dans notre cursus nous avons une grande pluralité d’enseignements autre que le projet et qui se rapproche plus ou moins de notre potentiel futur métier. En premier il y a la construction. Venant d’un bac SI, j’avais déjà quelques wagonnets d’avances qui m’ont permis de ne pas écouter la première année et de m’en sortir assez correctement. La deuxième et troisième année les choses se sont corsées, plus de calculs, plus de notions, on entrait dans le côté architectural de la matière. Les quatre heures consécutives hebdomadaires de cette matière ne m’ont guère tenue en éveil bien qu’elles semblaient intéressantes. Mais la fatigue du projet n’aidant pas j’ai eu du mal à m’y accrocher et encore plus à m’y mettre par la suite. Sont venues aussi les matières manuelles. En premier lieu nous avons eu des cours de représentations. J’ai beaucoup aimé ces cours. J'en garde un souvenir très agréable. Je mets dans le même lot les modules d’art plastique. 3 jours, deux fois par semestre pendant 2 ans. A l’époque je râlais beaucoup car je n’en voyais pas le sens, mais aujourd’hui j’en tire la joie d’avoir manipulé, expérimenté, et de travaillé sans me prendre la tête. Et sans eux cette année, j’ai pu me rendre compte qu’ils offraient une pause profitable au milieu du semestre de projet. Ces matières ont comblé mon amour du travail manuel, tout comme mon stage de première année. J’ai effectué ce stage dans une menuiserie-charpenterie du Loiret et j’ai passé deux formidables semaines à vagabonder à faire des planchers, des terrasses... J’ai pris plaisir à avoir mes yeux sur autre chose qu’un écran et avoir des mouvements plus amples que ceux du dessin et du travail sur ordinateur. Durant ces 3 ans j’ai aussi découvert des matières plus littéraires. L’histoire de l’architecture qui m’a immédiatement passionnée mais la longueur des cours ont eu raison de ma concentration. J’ai adoré les cours de première année sur les racines de l’architecture, et si j’ai eu un peu plus de mal avec l’architecture moderne explorée en L2 c’est avec plaisir que je l’ai retrouvée mêlée au patrimoine lors de ma troisième année. J’ai trouvé ces cours très intéressants et j’ai tout particulièrement apprécié l’enseignement d'une de mes professeures qui nous a appris à voir l’architecture autrement et y développer un réel esprit critique par le biais de son discours mais également des débats qu’elle organisait. Nous avons également eu des cours de droit, et si ils m’ont peu intéressés en L2, les cours de L3 était nettement différents. J’ai grandement apprécié aussi d’avoir eu l’occasion d’élargir le domaine de l’architecture à travers de sujets plus inattendus tels que la philosophie ou l’anthropologie ainsi que le cinéma. Je suis actuellement en Master. Je regrette presque que ces trois années soient passées si vite. La licence, même si elle est éprouvante, est la période de l'architecture libre, créative, émotionnelle... On s'amuse, on expérimente. Le master est là pour appliquer toute l'expérience accumulée pendant ses 3 ans, il est plus sérieux, plus appliqué. Ce contraste m'aide beaucoup sur ma vision de l'architecture que je veux pratiquer plus tard. J'ai envie de retrouver cette pratique "fun". Je pense que c'est quelque chose que je pourrais potentiellement trouver dans la scénographie ou le maquettisme... Affaire à suivre...

Manon, 20 ans

Webdesigner

Hello tout le monde, et bienvenue sur mon premier article ! :) Aujourd'hui, je me suis dis pourquoi pas vous parlez un peu de mon parcours. Il faut savoir que j'ai toujours été un peu perdue concernant mon futur durant mon adolescence, je pense un peu comme tout le monde. Lorsque j'étais au lycée, mes profs étaient assez stressant par rapport aux notes, aux spécialités qu'il fallait qu'on prenne pour ne pas se fermer des portes pour notre futur etc. Finalement ils avaient pas tord mais bon, on était quand même jeune pour penser à tout ça. En terminal, c'est la que les choses se sont corsées de mon côté. En première, j'ai choisi comme spécialité : Maths Physique-Chimie SVT, un bac S en gros, je devais donc choisir quel spécialité abandonnée pour la terminal. Ayant eu des bonnes notes en Maths, j'étais sur de la garder, mais pour SVT et Physique-Chimie le choix était un peu plus dur... La Physique-Chimie m'intéressait, je me donnais à fond pour avoir des bonnes notes mais malheureusement je n'en avais pas, je n'y arrivais pas. À l'inverse de la SVT qui ne m'intéressait pas forcément, mais je ne travaillais pas vraiment mais j'arrivais facilement à avoir un peu plus que la moyenne. Malheureusement mon choix s'est porté sur la SVT pour être sur d'obtenir mon BAC, car si je choisissais Physique-Chimie je n'étais pas aussi sur que ça de l'avoir. Après ce choix, l'attention se portait sur Parcoursup, un enfer! On commençait à faire nos choix tout en continuant nos études, puis viens le moment de savoir si on a été pris, si on est en liste d'attente ou encore si on est refusé. Habitant entre Grenoble et Lyon, je dépendais de l'académie de Grenoble, mais c'était hors de question pour moi d'aller à Grenoble (je n'aime pas vraiment la ville et les transports étaient vraiment très compliqué ne pouvant pas avoir un appartement directement sur place faute de moyen). Donc cela allait être encore plus compliqué de trouver une école sur Lyon n'étant pas prioritaire. Malheureusement, lors des résultats, j'ai été soit refusé, soit sur liste d'attente... C'est à partir de ce moment la qu'on commence à paniquer pour son avenir et à se demander ou s'est qu'on va bien pouvoir faire l'année prochaine. Bien évidemment, l'école que je voulais le plus, était l'école où j'étais le plus loin dans la liste d'attente. Le temps passa et nous voilà déjà en août, 1mois avant la rentrée et n'ayant toujours pas d'école. Après quelques semaines de réflexion, je pris la décision avec l'aide de mes parents de faire une année de césure, c'est-à-dire une année de "pause" entre le BAC et les études, pour partir aux USA apprendre l'anglais. J'avais comme projet d'aller dans l'informatique, et n'ayant vraiment pas un bon niveau en anglais ce qui est nécéssaire pour l'informatique, je me suis dis que c'était une bonne idée. Les recherches avança et voilà que le voyage est organisé : 4mois aux USA, à San Diego plus précisément. Pendant ce voyage, j'apprenais bien l'anglais tout en continuant mes recherches pour mon école et aussi un travail pour les 6mois qui restait avant la rentrée. Enfin rentrée de ce voyage, je travaille et je trouve mon école assez rapidement, en janvier/février : Ynov. Cette école m'a tout de suite plu car elle dure 5 ans : 3 années de Bachelor puis 2 année de Master, et puis elle me permettait les deux premières années de voir l'Informatique en général puis ensuite choisir la spécialité vers laquelle je voulais me tourner. Me voilà maintenant dans cette école, étant contente d'avoir pris cette année de césure et ne regrettant pas mon choix d'école ! :) Si l'envie vous prend d'avoir plus d'information à mon sujet ou bien au sujet de mon école, je suis disponible pour vous répondre lorsque vous le souhaitez ! N'hésitez pas à prendre un rendez vous avec moi :) Manon.

Audrey, 23 ans

Prépa Concours Educateur spécialisé

Cette année j’ai intégré une classe préparatoire sanitaire et social pour me préparer aux concours de moniteur éducateur et d’éducatrice spécialisé. Avec tous les clichés et vision qu’on peut avec sur une année de prépa, je ne m’attendais pas du tout à ça. La prépa dans le milieu du travailleur social et très différent des prépas en commerce ou autres.Premièrement les 6 mois de formation passent à une vitesse folle. Alterner entre les stages (2 fois 4 semaines), les cours théoriques et les oraux qui prennent généralement 1 journée entière, qui nous apportent beaucoup de connaissances en méthodologie de l’écrit et oral et avec les sorties bénévoles sur les territoires qui nous fond acquérir des expériences bénévole. Mais surtout on apprend le vivre ensemble, la dynamique de groupe, cette dynamique qui te donne envie d’aller en centre de formation pour travailler et échanger avec les autres étudiants qui partagent le même centre d’intérêt que toi. On apprend de soi mais aussi des autres grâce à la richesse du groupe ( certaines sortes du bac et d’autres viennent tout droit d’une licence). Les formateurs et intervenants ( éducateurs, chef de service....) qui travaillent toute l’année avec nous sont à l’écoute et toujours disponible, ce sont un peu nos « agents » comme on dit maintenant. Notre petit nombre de 15 étudiants permet à tous d’avoir un accompagnement individuel même en classe entière. Nous sommes quelquefois mélangé avec les santés ( aide-soignant, auxiliaire de puériculture) ce qui nous permet d’avoir un autre point de vu et plus de connaissances dans ce secteur. Personnellement pour avoir tenté les concours l’année dernière, je vois une nette amélioration sur mon aisance à l’oral, comme à l’écrit, ainsi que dans le contenu de mon vocabulaire professionnel que j’utilise. Les stages mon permis de commencer à me construire une identité professionnelle et de me présenter aux oraux avec déjà une expérience du terrain. Si tu as la moindre question concernant le déroulement d’une classe préparatoire n’hésite pas à me contacter.

Pauline, 26 ans

Lettres

J'ai toujours eu une attirance pour les lettres et l'art littéraire, il était donc évident pour moi de poursuivre en licence de lettres après mon bac littéraire. J'avais une idée bien précise du parcours que je souhaitais prendre : commencer par une licence de lettres modernes, pour acquérir des bases solides de méthodologie de rédaction et d'analyse ainsi qu'une culture littéraire solide, pour ensuite me diriger en master métiers du livres. Mes cours étaient très intéressants et variés : de l'ancien français, de la linguistique, du journalisme, de l'écriture de fan fiction, de l'analyse du passage de faits divers aux romans, et d'autres plus intéressants les uns que les autres. Malheureusement je n'ai pas réussi à m'intégrer dans l'école et à m'épanouir pleinement dans ces études. Mais je ne regrette en rien ces trois années passées en faculté de lettres, j'ai atteints les objectifs que je m'étais fixé, à savoir la méthodologie nécessaire, ainsi qu'une base solide de culture littéraire.

Ronan, 28 ans

Prépa ATS (Adaptation Technicien Supérieur)

Après avoir effectué un DUT en Génie Mécanique et Productique et donc validé un BAC+2, j'ai voulu suivre un cursus ingénieur en intégrant une école d'ingénieurs, et j'ai décidé de faire une classe préparatoire ATS au Lycée Gustave Eiffel, à Dijon (21). Cette formation en 1 an est accessible suite à un DUT ou à un BTS avec une dominante technique et liés à l'industrie en général (Exemples : DUT Génie Civil, BTS spécialisé en conception, BTS génie climatique, DUT Mesures Physiques, etc.). Personellement, mon dossier de DUT étant trop juste pour prétendre à être admis en école d'ingénieurs, j'ai décidé de faire cette formation qui s'est révélée très bénéfique. Elle a pour principal but de préparer les étudiants au Concours ATS qui a lieu à la fin du cursus et qui donne accès à un large panel d'écoles d'ingénieurs. Le contenu et le "fonctionnement" de la formation est tout à fait similaire aux classes préparatoires dites "classiques" qui s'étalent elles sur deux ans. Cela inclut donc énormément de travail et un emploi du temps très chargé ainsi que des devoirs surveillés presque chaque samedi matin. Il faut donc être très motivée mais cela peut très vite devenir une année charnière pour votre avenir, comme ça l'a été pour moi. Les matières étudiées sont les suivantes : Mathématiques, Physique, Mécanique, Electronique & Electricité, Anglais, Français. ces matières sont étudiées de manière intensive afin d'acquérir un maximum de connaissances et ce, le plus rapidement possible. Cette formation m'a permis d'accéder à une école d'ingénieurs très respectable avec un meilleur bagage scientifique et de bonnes méthodes de travail. N'hésite pas à prendre RDV avec moi si tu souhaites parler de cette formation en particulier avec moi ou tout simplement de mon parcours et de mes diverses expériences professionnelles. Je répondrai avec plaisir à toutes les questions que tu te poses!

Andréa, 21 ans

Psychologie

Actuellement, je suis en 3ème année d'une Licence de Psychologie à l'Institut National Universitaire Champollion, à Albi. Ce que j'ignorais avant d'entrer à la fac, c'est l'étendue des possibilités et des opportunités qui peuvent construire notre parcours étudiant. Je vais centrer mon témoignage sur les stages et autres expériences à valoriser durant les 3 années de Licence. En première année, j'avais une idée assez fixe de ce que je voulais poursuivre après la licence, j'ai donc centré mon attention sur ce "vœux", y compris dans mes travaux universitaires. J'ai eu ensuite mon premier job étudiant en travaillant au McDonald's juste avant l'été. Cette première expérience, bien que banale, peut mettre en valeur des compétences chez moi. En seconde année, je me suis concentrée sur mes passions personnelles, j'ai donc pris un enseignement d'ouverture tourné sur l'écriture et j'ai commencé mon travail (toujours actuel) de tutrice de français. Ces activités ont éveillé en moi des envies nouvelles, celles de l'enseignement. En même temps, j'ai effectué une mission de bénévolat pendant 2 mois auprès d'un centre d'appels qui lutte contre la maltraitance des personnes âgées et handicapées. J'ai également suivi différents MOOCs certifiants sur une plate-forme lors de mes temps libres. N'ayant pas pensé plus tôt à mes envies d'enseignement, j'ai loupé l'opportunité de m'inscrire dans le Parcours VPE de ma licence, ce parcours permet d'aborder des notions du Master MEEF, Master auquel je souhaite candidater. Je me retrouve alors actuellement en 3ème année de Psychologie, avec un stage en Addictologie qui sera effectué à partir de janvier 2022. J'ai alors décidé d'avoir un entretien avec la conseillère d'orientation de mon université, et au-delà de mettre en valeur mes expériences, elle m'a guidée pour que je trouve une expérience à faire dans l'enseignement. J'ai alors commencé à chercher une nouvelle mission de bénévolat à effectuer dans une école. Après quelques péripéties, je vais finalement effectuer un stage en Formation Ouverte (disponible dans mon université, sous conditions pour moi) dans une école afin d'observer et de m'interroger sur une problématique en lien avec l'enseignement. Qu'il s'agisse de jobs, de stages, de bénévolat ou encore de cours en ligne, une multitude d'options existent pour valoriser votre parcours et vous mettre en avant. Les notes, bien qu'importantes, sont loin d'être les seuls éléments pris en compte dans une candidature en Master. C'est un dernier semestre chargé de deux stages à effectuer, d'un mini mémoire à rédiger et de mes cours à l'université, que je suis prête à vivre à fond avec l'envie de poursuivre mes études.

Ronan, 28 ans

BUT génie mécanique et productique

J'ai effectué mon DUT Génie Mécanique et Productique à l'IUT de Besançon entre 2013 et 2015. Sortant d'un bac S-SVT, cette formation a été pour moi l'occasion de découvrir un environnement très technique et très pratique, ce qui m'a tout de suite beaucoup plu. De plus, étant dans une promo d'environ 100 étudiants, ce qui est communément appelé une ambiance de promo se forme très très vite et des notions de cohésion, d'amitié ainsi que d'entraide sont mises en avant très rapidement. L'aspect technique et le nombre de séances de Travaux Pratiques ont été des facteurs clé à ma réussite de par mon intérêt sucité par ce genre d'activité. En effet, un atelier comprenant un important parc machines (à commandes numériques ou traditionnelles) est mis à notre disposition et il est très facile d'apprendre les notions de bases en productique mais aussi en mécanique en étudiant la cinématique d'une machine par exemple. L'enseignement est de plutôt bonne qualité et les sujets sont assez variés, avec environ autant de pratique que de théorie et toujours dans la bonne humeur, j'entends principalement par là, peu de pression mais pas mal de travail personnel à fournir tout de même. Enfin, le stage de fin de DUT m'a été très utile afin d'avoir une première expérience dans le monde professionnel et découvrir les débouchés possibles d'une telle formation. Suite à cette formation, mon dossier étant trop juste pour entrer en école d'ingénieurs, j'ai décidé de passer par la filière que sont les classes préparatoires ATS afin de "réhausser" mon niveau scientifique et ainsi être admis en école d'ingénieurs l'année suivante. Débouchés du DUT GMP : Ecole d'ingénieurs (3 ans, domaines divers, possibilité de passer des concours) ; Licence professionnelle (1 an, statut de technicien supérieur) ; Embauche en tant que technicien supérieur (Intérim, CDD, CDI) N'hésite pas à prendre RDV avec moi si tu veux discuter de cette formation et me poser des questions à propos de cette formation en particulier ou tout simplement à propos de mon parcours et de mes expériences professionnelles.