Il existe 1001 façons de choisir sa filière, mais ce n'est pas toujours évident de s'y retrouver au milieu de toutes ces informations 🔎, et de savoir si on a fait le bon choix !
Les témoignages de nos Advisors sont là pour t'aider à y voir plus clair 💡.
Si tu veux en savoir plus sur leurs parcours, prends RDV avec eux 🤳 !
Actuellement, je suis en 3ème année d'une Licence de Psychologie à l'Institut National Universitaire Champollion, à Albi. Ce que j'ignorais avant d'entrer à la fac, c'est l'étendue des possibilités et des opportunités qui peuvent construire notre parcours étudiant. Je vais centrer mon témoignage sur les stages et autres expériences à valoriser durant les 3 années de Licence. En première année, j'avais une idée assez fixe de ce que je voulais poursuivre après la licence, j'ai donc centré mon attention sur ce "vœux", y compris dans mes travaux universitaires. J'ai eu ensuite mon premier job étudiant en travaillant au McDonald's juste avant l'été. Cette première expérience, bien que banale, peut mettre en valeur des compétences chez moi. En seconde année, je me suis concentrée sur mes passions personnelles, j'ai donc pris un enseignement d'ouverture tourné sur l'écriture et j'ai commencé mon travail (toujours actuel) de tutrice de français. Ces activités ont éveillé en moi des envies nouvelles, celles de l'enseignement. En même temps, j'ai effectué une mission de bénévolat pendant 2 mois auprès d'un centre d'appels qui lutte contre la maltraitance des personnes âgées et handicapées. J'ai également suivi différents MOOCs certifiants sur une plate-forme lors de mes temps libres. N'ayant pas pensé plus tôt à mes envies d'enseignement, j'ai loupé l'opportunité de m'inscrire dans le Parcours VPE de ma licence, ce parcours permet d'aborder des notions du Master MEEF, Master auquel je souhaite candidater. Je me retrouve alors actuellement en 3ème année de Psychologie, avec un stage en Addictologie qui sera effectué à partir de janvier 2022. J'ai alors décidé d'avoir un entretien avec la conseillère d'orientation de mon université, et au-delà de mettre en valeur mes expériences, elle m'a guidée pour que je trouve une expérience à faire dans l'enseignement. J'ai alors commencé à chercher une nouvelle mission de bénévolat à effectuer dans une école. Après quelques péripéties, je vais finalement effectuer un stage en Formation Ouverte (disponible dans mon université, sous conditions pour moi) dans une école afin d'observer et de m'interroger sur une problématique en lien avec l'enseignement. Qu'il s'agisse de jobs, de stages, de bénévolat ou encore de cours en ligne, une multitude d'options existent pour valoriser votre parcours et vous mettre en avant. Les notes, bien qu'importantes, sont loin d'être les seuls éléments pris en compte dans une candidature en Master. C'est un dernier semestre chargé de deux stages à effectuer, d'un mini mémoire à rédiger et de mes cours à l'université, que je suis prête à vivre à fond avec l'envie de poursuivre mes études.
J'ai effectué mon DUT Génie Mécanique et Productique à l'IUT de Besançon entre 2013 et 2015. Sortant d'un bac S-SVT, cette formation a été pour moi l'occasion de découvrir un environnement très technique et très pratique, ce qui m'a tout de suite beaucoup plu. De plus, étant dans une promo d'environ 100 étudiants, ce qui est communément appelé une ambiance de promo se forme très très vite et des notions de cohésion, d'amitié ainsi que d'entraide sont mises en avant très rapidement. L'aspect technique et le nombre de séances de Travaux Pratiques ont été des facteurs clé à ma réussite de par mon intérêt sucité par ce genre d'activité. En effet, un atelier comprenant un important parc machines (à commandes numériques ou traditionnelles) est mis à notre disposition et il est très facile d'apprendre les notions de bases en productique mais aussi en mécanique en étudiant la cinématique d'une machine par exemple. L'enseignement est de plutôt bonne qualité et les sujets sont assez variés, avec environ autant de pratique que de théorie et toujours dans la bonne humeur, j'entends principalement par là, peu de pression mais pas mal de travail personnel à fournir tout de même. Enfin, le stage de fin de DUT m'a été très utile afin d'avoir une première expérience dans le monde professionnel et découvrir les débouchés possibles d'une telle formation. Suite à cette formation, mon dossier étant trop juste pour entrer en école d'ingénieurs, j'ai décidé de passer par la filière que sont les classes préparatoires ATS afin de "réhausser" mon niveau scientifique et ainsi être admis en école d'ingénieurs l'année suivante. Débouchés du DUT GMP : Ecole d'ingénieurs (3 ans, domaines divers, possibilité de passer des concours) ; Licence professionnelle (1 an, statut de technicien supérieur) ; Embauche en tant que technicien supérieur (Intérim, CDD, CDI) N'hésite pas à prendre RDV avec moi si tu veux discuter de cette formation et me poser des questions à propos de cette formation en particulier ou tout simplement à propos de mon parcours et de mes expériences professionnelles.
A la sortie du lycée et après l'obtention de mon BAC j'ai fait des études de droit. J'adore le droit et je voulais devenir avocate. Malheureusement je n'étais pas bien accompagné, et je n'étais pas quelqu'un d'autonome pour pouvoir faire des études de droit. Le niveau était soutenu et les élèves pas très coopératifs. J'ai donc abandonné ce rêve. J'ai toujours eu des difficulté en cours et j'avais entendu parlé du BTS Négociation et relation client, je me suis renseignée et les matières et débouchés me donnaient envie. Le problème c'est que je ne voulais pas retrouver un système école classique , alors j'ai découvert le système de l'alternance 2 jours école 3jours entreprise. Ce compromis me correspondais parfaitement, je suis allé dans des salons et aux portes ouvertes pour en savoir +. Et à mon inscription grace à leur aide et à ma determination j'ai décroché un emploi (j'avais 21ans et uniquement de l'expérience dans la restauration) j'ai pu trouvé une entreprise pour m'accueillir ainsi faire mes 2ans d'études ( bac+2). Très facilement et j'étais vraiment à l'aise, j'avais de bonne note. J'ai même eu lors des examens finaux 20/20 à mon projet d'entreprise, la matières avec le plus gros coeff ( 5 dans mes souvenirs) .
La classe préparatoire BCPST est une formation à double-tranchant. Que l'on réussise ou pas les 2/3 années: - On peut soit en sortir grandi, plus solide : en connaissances de ses propres forces et faiblesses, de ses limites, avec un groupe de personnes avec qui on vit des moments forts ce qui lie rapidement les personnes. - Ou l'on peut en sortir affaibli, moins sûr de soi-même, avec beaucoup de doutes sur ses propres capacités. Personnellement, malgré la non-réussite de ma première année (que je ne considère pas comme un échec). J'ai adoré mon expérience : j'y ai rencontré des personnes formidables avec qui je suis toujours en contact 7ans après. On a galéré mais on a avancé ensemble. On s'est vus évoluer durant l'année et le soutien et l'entraide ont beaucoup participé à rendre l'expérience agréable. Ce que j'en ai retenu, c'est que le système d'apprentissage proposé ne me permettait pas d'exprimer mon potentiel et faisait que je ne "réussisais pas". Cela m'a juste donné plus de courage pour aller chercher ailleurs ce dont j'avais besoin pour m'épanouir. Aujourd'hui je suis ingénieure et je commence un doctorat, alors tout est possible ! Je conseille cette formation à ceux qui sont prêts à se challenger et tester leurs limites. Vous apprendrez rapidement sur vous que vous réussissiez ou non la formation !
Actuellement, je suis à l’ECPM, une des formations en école d’ingénieur chimie les plus plébiscités. Les gros plus de la formations : * Un cursus trilingue (cours en anglais) : plus cours deLV1 (anglais obligatoire) et LV2 (Espagnol confirmé, Allemand débutant ou confirmé, Français pour les étudiants étrangers) * Beaucoup d’étudiants étrangers (Espagne, Allemagne, Pays-Bas, Mexique, Argentine, Chine, Malaisie...) * Des semaines entières consacrés au travaux pratiques avec jusqu’à 2 semaines sur le même sujet * Des missions avec le monde en lien avec industrielle * Un diplôme d’ingénieur en chimie polymère et matériaux * Un grand choix de spécialité (5 et bientôt 6 avec un et bientôt deux parcours spéciaux) : chimie moléculaire ( c’est de la chimie organique globalement et des procédés), chimie analytique, polymère et matéraiux. Et 1 filière spécifique actuellement : chembio (Biologie et Chimie partenariat entre ECPM et ESBS) et la deuxième qui devrait commencer d’ici 2020 c’est chimieinfo (IA, informatique et chimie partenariat entre ECPM et TPS ( à vérifier rentrée 2020)). * Beaucoup d’enseignants chercheurs * Frais d’inscription de l’université * Accès aux ressources de l’université de Strasbourg (Bibliothèque, SUAPS...) * une équité garçon/fille environ (40-55%/45-60% selon les années) Les points noirs : *Les enseignants chercheurs sont parfois très peu pédagogue * Des cours en langue étrangère parfois difficile à suivre * Un niveau minimum au TOEFL de 800 pour validé le diplôme d‘ingénieur contre 785 sur toutes les formations d’école d’ingénieur chimie que je connais (ENSCR, ENSCM, ENSCL...) * Les cours sont dispensé à l’aide d’un IPAD aux frais de l’étudiant (prévoir environ 400€) * Un campus excentré au nord du centre ville * Un système informatique vieux et peu focntionnel
Le DUT GEA (Gestion des Entreprises et des Administrations) est un diplôme très général. S'engager dans cette voie après le lycée ne vous spécialise pas directement ce qui vous laisse encore du temps pour réfléchir à votre orientation tout en vous donnant accès à un enseignement qualitatif et très enrichissant. Le DUT GEA est une formation qui vous permet de voir comment fonctionne une entreprise dans sa globalité que ce soit dans les domaines juridiques, financiers, sociaux (RH notamment) ou du marketing et management. Le lieu dans lequel vous évoluez pendant un DUT c'est l'IUT. L'IUT c'est un mix entre la FAC (+ d'autonomie) et le lycée (un encadrement toujours présent), ce qui permet une transition en douceur vers les études supérieures. À partir de la rentrée 2021, il est possible que le DUT ne s'étalera plus sur 2 années mais vous délivrera un diplôme Bac+3. Les débouchés de ce DUT sont très larges, entre écoles privées ou publiques (FAC), entre commerce, droit, communication, marketing ou comptabilité, le choix est important !
Le concours PACES n'est pas une situation insurmontable mais elle demande beaucoup beaucoup d'investissement surtout quand vous n'avez pas de facilitées dans la mémorisation et/ou l'apprentissage. C'est un concours qui demande beaucoup d'organisation, de rigueur et d'autonomie dans ses révisions. Si vous n'arrivez pas à vous "brider", en quelque sorte, ou en tout cas à vous donner une ligne directive et à la tenir, cela commence mal pour vous. Heureusement, il existe des prépas en dehors de l'Université qui proposent leur aide pour "superviser" les étudiants dans leurs révisions et leur apporter du soutien. A la faculté de Médecine et Maieutique de l'Université Catholique de Lille, il n'est pas nécessaire de payer une prépa pendant le concours. Car l'école est payante mais aussi parce que la fac met en place un réseau étudiant de 2e et 3e année en médecine, pharma et autre pour accompagner les étudiants en PACES et leur proposer des cours de tutorat dans toutes les matières (appelées "Unités d'Enseignements) enseignées pendant l'année. De même, dès le début vous vous retrouvez avec un parrain ou une marraine qui sera là tout le long de votre année pour vous soutenir et vous aider dans les révisions (ils donnent leurs anciens cours ;)). Enfin, cette faculté propose un environnement de travail vraiment agréable pour ce type de concours comparé à d'autres universités où l'esprit de compétition se fait moins ressentir et où l'entraide entre étudiants est davantage présent.
J'ai choisi de faire une prépa scientifique après mon bac S car je ne savais pas quoi faire. Je savais qu'il me fallait encore du temps pour trouver ce qui me plaisait. J'ai donc choisi la prépa, car je me voyais pas du tout à la fac : j'étais bien trop scolaire pour être "lâchée dans la nature", il fallait que j'ai une classe, des profs et une structure qui m'encadre. Je tiens quand même à prévenir que j'ai eu l'opportunité de faire une classe prépa car j'avais un bon niveau et l'habitude de travailler, sans ça : j'aurais décroché, vu la cadence et la quantité de travail personnel à fournir. Pour information, j'avais hésité entre prépa économique et scientifique car je commençais à sentir que je n'étais pas plus attirée que ça par les sciences dures (surtout la physique chimie) et que je voulais un côté plus humain : travailler sur le relationnel, le monde etc (ce que j'aurais pu retrouver dans la prépa économique). Finalement, sur les conseils d'une conseillère d'orientation, j'ai choisi la prépa scientifique en numéro 1. En effet, la réflexion était : si je choisissais la prépa économique, je ne pourrais jamais plus travailler dans le domaine des sciences car je ne pourrais pas rattraper le niveau de sciences des deux ans de prépa. Alors que si je choisissais prépa scientifique, j'avais encore l'opportunité de me réorienter ensuite vers les sciences humaines. (c'est exactement ce qui m'arrive en ce moment car je suis en année de césure pour me réorienter à la fin de mon diplôme d'ingénieur : même si je ne regrette absolument pas car ce sont les cours de mon école d'ingénieur qui m'ont enfin guidé vers ce que je voulais faire). Pour finir, je n'ai pas regretté mon choix car au bout de deux ans d'efforts intenses, j'ai pu choisir une école généraliste qui me laisserait les portes ouvertes, peu importe le secteur que je choisirai à la fin. Aujourd'hui, je conseille volontiers la prépa, seulement, je ne peux pas dire à votre place si vous en avez les capacités et l'endurance pour suivre les deux années.
En terminale, j’avais des idées pleins la tête et la volonté d’aider des famille: JE VOULAIS ÊTRE ASSISTANTE SOCIALE. Mais tout ne c’est pas passé comme prévu ... Je réussi les concours d’entrée à L’ESPE, un miracle car réviser le bac et un concours c’est pas tout simple cette histoire. Mais en créant mon dossier pour parcours sup, j’apprends que quand on rentre à l’ESPE on ne peut pas prétendre à une bourse du Crous (Sans quoi je ne pourrait pas vivre). Je prends donc la décision de me réorienter, je choisi la psychologie et c’est un déclic ! Pendant ma première année je cherchais la débouchée qui me plairait et je reviens sur mes idées d’orientation de seconde, je veux devenir professeur des écoles. La licence de psychologie me permet d’apprendre plus sur le fonctionnement de l’enfant tout en apprenant sur les méthodes d’éducation grâce aux UE libres et de pré orientation: Professorat des écoles.
Un jour, on m'a dit qu'aller en sciences de l'éducation pour être professeure des écoles était une très mauvaise idée. De nombreuses rumeurs sous-entendent que les sciences de l'éducation vont nous ramollir le cerveau !!(oui j'ai déjà entendu ça). Mais depuis que je suis dans cette licence j'adore mes études !! Chaque jour apprendre de nouvelles choses en éducation, sur les enfants (mais aussi sur la formation des adultes) je trouve ça passionnant. De plus, à Jean Monnet à Saint Etienne on commence à parler des SDE(sciences de l'éducation ;) ) dès le début de la L1. Et on ne trouve pas ça partout ! Tout ça pour vous dire, futurs professeur.es, éducateurs.rices, formateurs.rices, n'écoutez pas les mauvaises langues et si vous voulez vraiment aller en sciences de l'éducation, lancez vous la tête la première !