Guides d'orientation : tout savoir sur une filière
groupe d'advisors

Témoignages Université (Master)

Il existe 1001 façons de choisir sa filière, mais ce n'est pas toujours évident de s'y retrouver au milieu de toutes ces informations 🔎, et de savoir si on a fait le bon choix !

Les témoignages de nos Advisors sont là pour t'aider à y voir plus clair 💡.

Si tu veux en savoir plus sur leurs parcours, prends RDV avec eux 🤳 !

37 résultats correspondants :

Perrine, 18 ans

Psychologie

Étant dans la seule école de psychologie reconnue par l'État c'est totalement différent de la fac. Si tu veux tout savoir sur mon école et connaître les différences école/fac n'hésites pas à me contacter. Je pourrai te donner des astuces pour le concours d'entrée, le rythme scolaire, les cours donnés, les partiels...

Marion, 21 ans

Psychologie

Cet article vise à décrire les différentes phases de la plateforme MonMaster, ainsi que les dates clefs de cette sélection 2023-2024. - 29 janvier 2024 : Publication de l'offre de formation pour 2024 Vous pourrez consulter les différents masters ouverts en 2024. - 26 février - 24 mars : Phase de dépot des candidatures en formation initiale/alternance Vous pourrez remplir votre espace personnel sur MonMaster ainsi que vos candidatures (notes, lettres motivations, documents complémentaires...). N'oubliez pas de valider vos voeux. - 2 avril - 28 mai : phase d'examen des candidatures Les différentes écoles auront accès à vos candidatures et les examineront. C'est durant cette phase que vous pouvez avoir des entretiens (présentiel ou distanciel selon la formation). Attention à bien être disponible du lundi au vendredi. - 4 juin - 24 juin : phase principale d'admission Vous recevrez des OUI - LISTE D'ATTENTE - REFUS. Il faudra se décider rapidement. Vous ne pouvez accepter qu'un voeu par un voeu. - 25 juin - 31 juillet : phase complémentaire Nouvelles candidatures et admission, sorte de 2e chance.

Paul, 27 ans

Management et commerce international

Mon parcours académique à l'étranger a été une expérience inoubliable qui a profondément enrichi ma vie personnelle et professionnelle. Lorsque j'ai décidé de poursuivre mes études à l'étranger, le choix de l'université et du programme était d'une importance cruciale. J'ai opté pour le programme de Management et Commerce International, car il semblait être le choix parfait pour développer mes compétences et ma compréhension du commerce mondial. Ma décision de quitter mon pays natal pour poursuivre ces études à l'autre bout du monde, à l'université d'Hobart en Tasmanie, a été l'une des meilleures que j'ai jamais prises. L'université d'Hobart m'a offert un environnement académique stimulant et diversifié. Les professeurs étaient hautement qualifiés et engagés, et ils ont partagé leur expertise dans divers domaines du management et du commerce international. J'ai particulièrement apprécié la manière dont les cours étaient conçus pour combiner la théorie avec des études de cas pratiques, ce qui m'a permis d'acquérir une perspective approfondie et holistique du commerce international. Une autre facette exceptionnelle de mon expérience à l'étranger a été l'opportunité de travailler avec des étudiants du monde entier. La diversité culturelle de ma classe a enrichi nos discussions en classe et nos projets de groupe. J'ai pu comprendre les nuances et les défis du commerce international à partir de multiples perspectives culturelles, ce qui est une compétence précieuse dans le monde globalisé d'aujourd'hui. En dehors des cours, j'ai également eu l'occasion de participer à des stages et à des événements de réseautage qui ont renforcé ma compréhension pratique du commerce international. Ces expériences m'ont aidé à développer des compétences essentielles en gestion, en négociation et en communication, qui seront inestimables dans ma future carrière. En résumé, mon expérience en Management et Commerce International à l'université d'Hobart a été une période de croissance personnelle et professionnelle. J'ai acquis une solide base académique, des compétences interculturelles et une perspective mondiale qui m'ont préparé pour un avenir prometteur dans le domaine de la finance et du commerce international. Je recommande vivement cette expérience à tous ceux qui cherchent à élargir leurs horizons et à se lancer dans une carrière passionnante dans le monde du commerce mondial.

Mathilde, 22 ans

Architecture, urbanisme, paysage

J'ai obtenu un bac S option Sciences de l'Ingénieur en 2019. Un peu plus tôt dans l'année il a fallu mettre des vœux sur Parcoursup. Le problème ? Je n'avais aucune idée de ce que je voulais faire pour le reste de ma vie ! Et c'est bien normal ! Avec une retraite à 64 ans, qui peut choisir à 18 ans ce qu'il va faire jusque là ? Mais l'échéance arrivait et il fallait faire un choix ! Comme on l'entend souvent en entretiens "j'aime les sciences, j'aime le dessin, alors pourquoi pas archi ?". J'avais quelques connaissances en ENSA, je savais à quoi m'attendre alors allons y ! Quelques mois plus tard je commence ma première année en architecture à Versailles. Je suis complètement à la ramasse, comme dans un monde parallèle. Tous les étudiants ont un architecte préféré, un avis sur tout, parlent de choses que je ne comprends pas. De ma vision de campagnarde arrivée là par chance et hasard, ce que je savais citer à ce stade c’était le vieil Orléans, sa cathédrale et les châteaux de la Loire, je n’ai même pas réussi à retenir les architectes du FRAC Centre que j’avais pourtant cité en long en large et en travers lors de mes entretiens. Le souvenir le plus fort que je garderai de ma licence est mon tout premier workshop. Dès les premières semaines nous avons été mis dans le bain : par 6 nous avons dû nous lancer dans la construction d’une maison en carton à l’échelle une. C’est là qu’on a commencé à apprendre. Le premier travail de groupe, les premiers croquis, les premières idées, interrogations et maquettes, les premiers questionnements structurels, les premières charrettes, les premières défaites, les premières victoires. Mais par-dessus tout, alors que nos professeurs étaient persuadés que le toit de notre structure allait s’effondrer, ce fut la satisfaction de voir notre œuvre achevée qui m’a fait réaliser que j’étais bel et bien lancée dans le cursus et qui m’a fait entrevoir que j’avais peut être finalement bien ma place ici. Le retard que j'avais l'impression d'avoir n'était finalement pas si grand. de toutes façons nos connaissances évaluées étaient basées sur les cours magistraux que nous avions tous et pour les cours de projets nous partions tous du même point. En parlant du cours de projet : il a été très déstabilisant. Au premier semestre nous étions frustrés de ne pas réellement faire projet. On a fait une coupe et un peu de programmation mais rien de ce que nous attendions réellement de cet enseignement. Le deuxième semestre a été déstabilisant d'une autre manière, nous avons du concevoir sans connaitre les codes. Nous n'avions aucune notion technique donc très peu de contraintes et nous avons du nous les imposer nous mêmes pour concevoir probable sans vraiment comprendre les limites de réalisme que nous devions avoir. Ce sentiment est resté au semestre 3 pour petit à petit s'effacer. En troisième année, la difficulté était tout autre. Mes camarades et moi nous sommes vite retrouvés face à une charge de travail dépassant tout ce que nous avions connu. La quantité et la qualité des documents requis avait drastiquement augmenté, je me suis à deux reprises retrouvée à présenter 3 projets complets avec documents finis dans la même semaine. L’exigence des maquettes avait aussi augmenté, mais ayant passé deux semestres loin de l’école, ses ateliers et son fablab, il ne nous avait été demandé aucune maquette depuis plus d’un an (à cause des confinements successifs). Mais ce n’était pas un argument, les difficultés m’ont permis de me débrouiller par moi-même et de me dépasser. Cette troisième année a été un réel sacrifice. Je me suis consacrée corps et âme dans le projet, je n’avais plus de temps pour faire autre chose, je ne voyais même plus mes amis qui travaillaient pourtant dans la même école que moi, je me contentais d’échanges brefs avec ceux assis à la même table, j’y ai laissé beaucoup de cartouches de sommeil ; encore aujourd’hui je récupère certaines heures sacrifiées lors des derniers rendus du premier semestre. Il a été moralement et psychologiquement dur : lorsqu’on se consacre autant à son travail, tout devient personnel et la critique est plus dure à digérer. Lorsque j'ai écris ces mots dans mon rapport de fin de licence, je sentais un note d'aigreur en moi. J'avais sacrifié un peu de ma vie pour des cours... Je me suis souvent dit que "les études ce n'est pas ta vie entière, pense un peu à toi" et je ne l'avait pas fait une fois. Cependant, avec le recul, ce sacrifice m'a au moins donné la tranquillité d'esprit de me dire que j'avais donné tout ce que j'avais à donner et que le projet n'aurait pas pu être mieux. Mais malgré tout, ce que je trouve dommage c’est que pour cette matière j’ai dû mettre de côté certains enseignements annexe par manque de temps ; j’assistais aux cours mais mon cerveau ne pensait que projet ou se mettais en off pour récupérer un peu de temps de repos. Cette année nous avions un professeur de droit passionnant et il m'est arrivé plusieurs fois de somnoler pendant ses cours à cause de la fatigue accumulée alors que ce que j'avais en face de moi intéressait vraiment. Dans notre cursus nous avons une grande pluralité d’enseignements autre que le projet et qui se rapproche plus ou moins de notre potentiel futur métier. En premier il y a la construction. Venant d’un bac SI, j’avais déjà quelques wagonnets d’avances qui m’ont permis de ne pas écouter la première année et de m’en sortir assez correctement. La deuxième et troisième année les choses se sont corsées, plus de calculs, plus de notions, on entrait dans le côté architectural de la matière. Les quatre heures consécutives hebdomadaires de cette matière ne m’ont guère tenue en éveil bien qu’elles semblaient intéressantes. Mais la fatigue du projet n’aidant pas j’ai eu du mal à m’y accrocher et encore plus à m’y mettre par la suite. Sont venues aussi les matières manuelles. En premier lieu nous avons eu des cours de représentations. J’ai beaucoup aimé ces cours. J'en garde un souvenir très agréable. Je mets dans le même lot les modules d’art plastique. 3 jours, deux fois par semestre pendant 2 ans. A l’époque je râlais beaucoup car je n’en voyais pas le sens, mais aujourd’hui j’en tire la joie d’avoir manipulé, expérimenté, et de travaillé sans me prendre la tête. Et sans eux cette année, j’ai pu me rendre compte qu’ils offraient une pause profitable au milieu du semestre de projet. Ces matières ont comblé mon amour du travail manuel, tout comme mon stage de première année. J’ai effectué ce stage dans une menuiserie-charpenterie du Loiret et j’ai passé deux formidables semaines à vagabonder à faire des planchers, des terrasses... J’ai pris plaisir à avoir mes yeux sur autre chose qu’un écran et avoir des mouvements plus amples que ceux du dessin et du travail sur ordinateur. Durant ces 3 ans j’ai aussi découvert des matières plus littéraires. L’histoire de l’architecture qui m’a immédiatement passionnée mais la longueur des cours ont eu raison de ma concentration. J’ai adoré les cours de première année sur les racines de l’architecture, et si j’ai eu un peu plus de mal avec l’architecture moderne explorée en L2 c’est avec plaisir que je l’ai retrouvée mêlée au patrimoine lors de ma troisième année. J’ai trouvé ces cours très intéressants et j’ai tout particulièrement apprécié l’enseignement d'une de mes professeures qui nous a appris à voir l’architecture autrement et y développer un réel esprit critique par le biais de son discours mais également des débats qu’elle organisait. Nous avons également eu des cours de droit, et si ils m’ont peu intéressés en L2, les cours de L3 était nettement différents. J’ai grandement apprécié aussi d’avoir eu l’occasion d’élargir le domaine de l’architecture à travers de sujets plus inattendus tels que la philosophie ou l’anthropologie ainsi que le cinéma. Je suis actuellement en Master. Je regrette presque que ces trois années soient passées si vite. La licence, même si elle est éprouvante, est la période de l'architecture libre, créative, émotionnelle... On s'amuse, on expérimente. Le master est là pour appliquer toute l'expérience accumulée pendant ses 3 ans, il est plus sérieux, plus appliqué. Ce contraste m'aide beaucoup sur ma vision de l'architecture que je veux pratiquer plus tard. J'ai envie de retrouver cette pratique "fun". Je pense que c'est quelque chose que je pourrais potentiellement trouver dans la scénographie ou le maquettisme... Affaire à suivre...

Léa, 24 ans

Droit international

J'ai eu la chance de suivre un Master 2 spécialisé droit international des affaires à l'Université Paris V, et je dois dire que cela a été l'une des expériences les plus enrichissantes de ma vie. Le programme était intense et exigeant, mais également très stimulant et intéressant. Nous avons étudié un large éventail de sujets liés au droit international des affaires, allant de la fiscalité internationale à la résolution des conflits commerciaux internationaux. Les cours étaient dispensés par des enseignants qualifiés et expérimentés de facs internationales (Cornell..), qui ont su rendre les concepts juridiques complexes accessibles et compréhensibles. Le Master 2 nous a également offert des occasions de développer nos compétences pratiques, notamment grâce à des exercices de négociation, des études de cas et des simulations de procès. Nous avons également eu la chance de rencontrer des professionnels de différents secteurs, comme des avocats, des juges et des représentants de grandes entreprises internationales, qui nous ont apporté leur expérience et leur savoir-faire. Dans l'ensemble, je recommande vivement ce Master 2 à tous ceux qui cherchent à développer leurs compétences juridiques et à s'immerger dans le monde complexe et fascinant du droit des affaires international. C'est une année qui m'a beaucoup appris sur le droit, sur les affaires et qui m'a préparé de manière optimale pour traiter des dossiers de droit des affaires au sein de cabinets d'avocats.

Julia, 25 ans

Droit pénal et sciences criminelles

Le master droit privé et sciences criminelles à la faculté Catholique de Lille est une formation que je conseille fortement! Pour ceux qui souhaitent se destiner à la préparation des examens et concours pour devenir magistrats, greffiers, avocats ou notaires, ce master est idéal. Il permet l’étude d’un large panel de matières balayant le droit privé et le droit pénal. Elle offre également des cours de culture générale et des entraînements à la note de synthèse dès le M1! La note de synthèse qui est la bête noire des élèves préparant les concours et laquelle n’est pas forcément étudiée dans tous les masters de droit!

Léa, 24 ans

Droit des affaires

J'ai effectué ce master en gardant un souvenir et une richesse dans l'apprentissage imparable. Les professeurs de renom, les conférences et les colloques permettent de faire des rencontres et mieux appréhender le monde des affaires. Il s'agit d'une porte d'entrée vers le monde professionnel en côtoyant juristes et avocats. Les enseignements permettent d'acquérir des connaissances solides en droit des affaires notamment pour passer le CRFPA.

Océane, 24 ans

Communication, publicité

La direction artistique c'est quoi ? C'est tout ce que j'aime ! La direction artistique est un métier créatif. Le directeur artistique ou bien DA travaille généralement en agence. Il travaille souvent en équipe auprès d'un Concepteur-Rédacteur, de graphistes, et de créatifs en général. Il s'occupe de la partie visuelle de la stratégie de communication. Il peut trouver les idées puis ensuite aider ses équipes à les traduire par l'image. Le DA fait aussi souvent le lien entre le client et l'équipe de créa. Le DA doit être rigoureux, organisé et passionné !

Coralie, 24 ans

Administration, gestion et médiation culturelle

2 années de master en direction de projets ou établissements à l'institut Denis Diderot à Dijon. Une première année intense avec beaucoup de cours et beaucoup de notions : droit, comptabilité, budget, communication, marketing... Ce master permet d'acquérir l'ensemble des compétences pour travailler dans la culture à tous les niveaux (administration, relations publiques...). Les rencontres avec les professionnels nous aide à connaître le monde de la culture ainsi que de commencer à établir un réseau. Le stage en master 1 dure entre 4 et 6 mois, il permet d'affiner nos ambitions. La deuxième année de master est en alternance. Le rythme est de 2 semaines de cours, 2 semaines d'entreprises.

Laetitia, 25 ans

Tourisme

Arrivant d'une licence LEA et souhaitant m'orienter dans le tourisme, le Master Management des Activités Hôtelières et Touristiques (MAHT) de l'IAE de La Rochelle m'a paru être le meilleur chemin. Me voilà aujourd'hui en deuxième année de Master et en plus en alternance. J'ai énormément appris durant ma première année, beaucoup de théorie mais également des études de cas qui rendent le travail encore plus concrets et intéressant !