Guides d'orientation : tout savoir sur une filière
groupe d'advisors

Témoignages Université (Licence)

Il existe 1001 façons de choisir sa filière, mais ce n'est pas toujours évident de s'y retrouver au milieu de toutes ces informations 🔎, et de savoir si on a fait le bon choix !

Les témoignages de nos Advisors sont là pour t'aider à y voir plus clair 💡.

Si tu veux en savoir plus sur leurs parcours, prends RDV avec eux 🤳 !

58 résultats correspondants :

Allan, 23 ans

Sciences et techniques des activités physiques et sportiv...

Bonjour, j'ai effectué mes 3 ans de licence STAPS à l'université polytechnique des Hauts De France, à Valenciennes. Ces 3 années se sont très bien passées en terme d'études et de relationnel. En effet, les enseignants sont plutôt compréhensifs et aident les étudiants (surtout lorsque l'on évolue dans la formation). Les structures sont plutôt bien équipées notamment pour la pratique de sport ! Beaucoup de soirées et de festivités sont organisées au sein du campus ce qui peut être un atout majeur d'intégration. En ce qui concerne la partie administration, il y a encore quelques progrès à faire notamment dans le gestion des emploi du temps et de la communication souvent tardive. Cependant, j'ai passé 3 bonnes années et je recommande cet établissement.

Line, 23 ans

Sciences de la vie et de la terre

J’avais d’abord visé la licence SVT de l’Université de Nantes en pensant avoir un bagage pour rejoindre des formations axées sur l’entomologie. Puis j’ai finalement été conquise par la cartographie, un domaine formidable que j’ai découvert pendant ma 2ème année de licence. Le stage de 3ème année m’a permit de découvrir la cartographie en tant que métier. Et bien sûr, j’ai plongé dedans tête baissée. J’ai validé ma licence et rejoint le Master de Cartographie et Gestion de l’Environnement dans cette même université. J’en suis déjà ravie. Que de belles découvertes pour mon avenir, une formation complète qui est ouverte à de nombreux domaines de l’environnement.

Océane, 24 ans

Information et communication

Réaliser une licence en information communication en alternance a été la meilleure chose que j'ai pu faire ! J'ai pu mettre en pratique tout ce que j'avais appris pendant mon DUT. L'alternance est une très bonne option. Tu apprends, tu mets en pratique ce que tu as appris, et tu prends confiance en toi. Intégré dans l'entreprise, tu dois donner le meilleur de toi-même afin de prouver que tu n'est pas seulement "l'alternante" mais que tu es désormais un membre de l'entreprise ! Puis, ce n'est pas rien de sortir diplômée ET dotée d'expérience !

Kiara, 21 ans

Sciences pour la santé

Il y a seulement 3 ans, tu étais perdu. Depuis toujours, tu t’étais fixé un objectif de vie. Être vétérinaire et parcourir les campagnes pour aller à la rencontre des éleveurs et soigner leurs animaux. Tout en sachant la difficulté des études, tu donnes le meilleur de toi-même en cours pour parvenir à intégrer une classe préparatoire en BCPST. En Terminale, lors du choix d’orientation, c’était très clair, tu veux être vétérinaire, mais à quel prix ? Tes professeurs sont partagés à l’idée de t’envoyer en classes préparatoires. Pendant le confinement, tu t’interroges sur ton avenir, tu doutes de tes capacités, tu cherches des métiers plus « accessibles ». Tu as alors l’idée de te réorienter dans un secteur similaire comme l’ostéopathie animale, assistant vétérinaire… Mais finalement, tu as l’impression que ça ne mène à rien parce que tu sais au fond de toi ce que tu veux. Un soir, tu craques. Tu prends ton ordinateur et tu commences à faire toutes les recherches possibles et inimaginables sur les études vétérinaires à l’étranger. C’est là que tu recommences à avoir de l’espoir. L’Europe t’offre tellement d’opportunité d’être vétérinaire. Et là, tu t’interroges « mais pourquoi je n’y ai pas pensé plus tôt ? », « pourquoi personne ne m’a dit que c’était possible ? », « pourquoi la France rend ces études tellement inaccessibles avec si peu de place. » Tu commences à en parler à ta famille. Allez étudier à l’étranger après le BAC, dans un pays inconnu, devenir complètement indépendante du jour au lendemain. C’est impressionnant mais aussi très excitant. Tu as peur que ce soit un rêve encore irréalisable, mais tu ne veux pas baisser les bras ! Tous les jours, tu remplis un tableau Excel pour le présenter à ta famille ; avec chaque école en Europe, leurs prix, le nombre d’études à faire, le prix de la vie, le moyen de s’y rendre (avion, voiture…). Tu te rends compte que tout ça est très utopique. C’est là que tu penses à la plateforme Study Advisor. Une case de ton tableau contient maintenant ton avis sur l’école selon le témoignage de différentes personnes. Une fois avoir réuni les informations, tu les compares entre elles. Tu as une préférence pour une école en Espagne, l’université CEU Cardinal Herrera qui propose un cursus en français les 2 premières années. Elle te semble parfaite ! le problème ? LE PRIX. Le prix te fait peur, tu ne veux pas imposer ça à tes parents… Tu hésites même à leur en parler. Tu décides de prendre contact avec encore plus de personnes pour avoir encore plus d’avis. Tu tombes sur une personne qui avait la même peur que toi. Elle te rassure et te dit que beaucoup de personnes ne peuvent pas s’offrir des études aussi chères et l’option du prêt étudiant est parfois inévitable. Tu te questionnes alors si tu veux être vétérinaire au prix d’être endetté de plus de 70 000 euros à la fin de tes études. Tous tes espoirs de pouvoir intégrer ces écoles s’effacent peu à peu. Avant d’abandonner, tu en parles à ta famille… Ils se rendent compte de l’importance pour toi de faire ce métier et te conforte à l’idée que si c’est ce que tu veux, il faut que tu le fasses. Tu commences à créer ton dossier pour postuler dans l’école de tes rêves, tu fais une lettre de motivation qui te ressemble et qui montre l’importance pour toi d’être vétérinaire. Et là, tu attends. Tu essayes de te préparer à toute possibilité, être déçu, contente, triste, euphorique… Mais en attendant, tu ne peux pas rester sans plan B. Nous sommes seulement en janvier, tu dois te concentrer sur la BAC S pour essayer de viser les classes préparatoires. Le moment tant attendu arrive, tu as la réponse de ton mail et tu lis « nous regrettons de vous informer que vous n’avez pas été présélectionné pour l'année académique 2020-2021 à l'Université CEU Cardenal Herrera. » Maintenant, tu ranges ta déception dans un tiroir et tu passes au plan B en continuant tes recherches dans une école véto à l’étranger. (à l’époque, je ne savais pas que je pouvais postuler pour le cursus anglais et espagnol !!). Un jour comme les autres, en terminale, au mois de Mars, tu reçois un appel ou il y a affiché un numéro commençant par +34 avec écrit « Valence ». Tu ne comprends pas et le temps que tu réfléchisses si tu dois sortir pour prendre l’appel ou pas, tu n’as pas pu répondre. Le même numéros rappel 5 minutes plus tard. Tu n’hésites pas et tu demandes de sortir pour décrocher. Tu parles avec une personne de l’administration qui s’excuse car il y a eu une erreur dans la réponse de ta présélection. Tu lui demandes de répéter parce que tu as du mal à y croire…. Tu rentres en classes en étant super perturbé et la prof te demande si tout va bien. Tu lui dis que tu vas être vétérinaire. Aujourd’hui je suis en troisième année vétérinaire et je n’en reviens toujours pas. Le temps passe si vite. Les études sont difficiles mais ce sont que des cours aussi passionnant les uns que les autres. C’est la première fois de ma vie que j’étudie avec envie. Je sais que je n’aurais jamais pu rêver mieux. Je remercie ma famille de m’avoir soutenu dans ce projet. N'abandonne pas tes rêves. AIE CONFIANCE EN TOI...

Andréa, 22 ans

Psychologie

Actuellement, je suis en 3ème année d'une Licence de Psychologie à l'Institut National Universitaire Champollion, à Albi. Ce que j'ignorais avant d'entrer à la fac, c'est l'étendue des possibilités et des opportunités qui peuvent construire notre parcours étudiant. Je vais centrer mon témoignage sur les stages et autres expériences à valoriser durant les 3 années de Licence. En première année, j'avais une idée assez fixe de ce que je voulais poursuivre après la licence, j'ai donc centré mon attention sur ce "vœux", y compris dans mes travaux universitaires. J'ai eu ensuite mon premier job étudiant en travaillant au McDonald's juste avant l'été. Cette première expérience, bien que banale, peut mettre en valeur des compétences chez moi. En seconde année, je me suis concentrée sur mes passions personnelles, j'ai donc pris un enseignement d'ouverture tourné sur l'écriture et j'ai commencé mon travail (toujours actuel) de tutrice de français. Ces activités ont éveillé en moi des envies nouvelles, celles de l'enseignement. En même temps, j'ai effectué une mission de bénévolat pendant 2 mois auprès d'un centre d'appels qui lutte contre la maltraitance des personnes âgées et handicapées. J'ai également suivi différents MOOCs certifiants sur une plate-forme lors de mes temps libres. N'ayant pas pensé plus tôt à mes envies d'enseignement, j'ai loupé l'opportunité de m'inscrire dans le Parcours VPE de ma licence, ce parcours permet d'aborder des notions du Master MEEF, Master auquel je souhaite candidater. Je me retrouve alors actuellement en 3ème année de Psychologie, avec un stage en Addictologie qui sera effectué à partir de janvier 2022. J'ai alors décidé d'avoir un entretien avec la conseillère d'orientation de mon université, et au-delà de mettre en valeur mes expériences, elle m'a guidée pour que je trouve une expérience à faire dans l'enseignement. J'ai alors commencé à chercher une nouvelle mission de bénévolat à effectuer dans une école. Après quelques péripéties, je vais finalement effectuer un stage en Formation Ouverte (disponible dans mon université, sous conditions pour moi) dans une école afin d'observer et de m'interroger sur une problématique en lien avec l'enseignement. Qu'il s'agisse de jobs, de stages, de bénévolat ou encore de cours en ligne, une multitude d'options existent pour valoriser votre parcours et vous mettre en avant. Les notes, bien qu'importantes, sont loin d'être les seuls éléments pris en compte dans une candidature en Master. C'est un dernier semestre chargé de deux stages à effectuer, d'un mini mémoire à rédiger et de mes cours à l'université, que je suis prête à vivre à fond avec l'envie de poursuivre mes études.

Aurélie, 22 ans

Psychologie

Ici nous allons évoquer la Licence en Psychologie et je vais essayer de déconstruire l'idée qu'on se fait en France des études de psycho. Effectivement, il est plutôt simple de rentrer dans une formation de Psychologie (Licence) même si je n'ai pas suivi ce processus pour rentrer dans un département de psycho. Les études de psycho sont connues pour être des études "faciles". Déjà la facilité pour certains n'aura pas la même la signification pour d'autres et est à recontextualiser en fonction des autres formations. Oui les classes préparatoires sont plus "difficiles" que les formations en Licence mais les compétences à acquérir ne sont pas les mêmes, par rapport à la psycho en tout cas. Ça sera "facile" si vous avez des facilitées dans la vie, si vous arrivez à vous adaptez à toutes formations et si vous aimez ce que vous voyez. Cela est assez subjectif. Les études de psycho sont connues pour être des études où les étudiants travaillent peu. Oui et non encore une fois. Cela dépend du profil de la personne même si la L1 en psycho est assez accessible pour tout le monde. Le niveau (comme dans toutes formations) monte progressivement et la L3 va vous demander beaucoup d'investissement et de rigueur dans votre travail surtout avec la réalisation d'un mémoire (appelé TER ou autre). Effectivement, vous pouvez passer de niveau en niveau en validant de peu votre année mais cela va proposer problème par la suite dans le cadre des sélections pour les Masters en Psychologie. J'en parlerai dans un autre article. Enfin, j'insiste pour dire qu'il y a des débouchés dans cette filière. Quand je m'étais renseignée concernant cette formation et ses débouchés, on m'avait répondu qu'il y en avait peu voire pas du tout de débouchés alors que cela est faux. Il y a de l'emploi à la clé en tant que Psychologue officiel et après à vous de voir qu'elle approche et spécialité vous voudriez proposer à vous futurs patients. Enfin, La Psychologie ce n'est pas "analyser" les gens et savoir lire dans leur esprit. Les psychologues ne sont pas des êtres mystiques ;) Comme le font les médecins ou les kinés par exemple, les thérapeutes en psychologie propose une prise en charge et une manière d’appréhender le patient différente des autres professions de santé. Oui, on peut dire que c'est une sorte de "thérapeute de l'esprit" même si cette "appellation" est vraiment une partie infime de ce que peut proposer la psychologie. Certains praticiens peuvent proposer une approche psychologique davantage basée sur les neurosciences et d'autres davantage axées sur la psychanalyse ou sur la composante sociale.

Valentine, 21 ans

Psychologie

Ma première année de psychologie a été très enrichissante pour moi, que ce soit en matière de connaissances, d'ouverture d'esprit, de compréhension de notre monde mais également sur le plan personnel. La première année nous donne les bases théoriques à connaitre avant d'entrer dans le vif du sujet. Le premier semestre, nous avons étudié les théories, les psychologues de l'époque, les définitions, les méthodologies etc. Au deuxième semestre, nous avons étudié des textes, réalisé plusieurs comptes-rendus, rédigé un cadre théorique sur une expérience donnée, en bref, beaucoup plus de pratiques et donc plus de travaux oraux. Nous étions tous solidaires les uns avec les autres et chacun a donné le meilleur de lui même ! Si la psychologie vous intéresse et que vous avez plusieurs questions, n'hésitez pas à me contacter !

Betty, 28 ans

Psychologie

Depuis enfant, je voulais devenir psychologue. Face à la pression des enseignants qui voyaient un autre avenir pour moi (droit, lettres) j'ai cédé et je suis partie en licence de droit. J'ai fait trois années sans que ça ne me plaise. Arrivée en l3, j'ai compris que c'était vraiment pas fait pour moi et que je ne pouvais aller au bout de la validation de la licence. Tout mon entourage excepté mes parents me poussaient à valider la licence, alors que j'étais à bout de forces, à deux doigts du burn out et sachant pertinemment que je ne ferai jamais de métier dans le droit. Alors j'ai arrêté juste avant les partiels de fin de licence  sans valider la licence que tout le monde me disait de valider que c'était dommage d'avoir fait trois ans pour rien. Et je sais que si je validais la licence, j'allais demander un master en droit  Non ce n'était pas rien, j'ai énormément appris en trois ans, sur moi, sur mes capacités, sur ce que je voulais et ce que je ne voulais plus. J'ai donc choisi de suivre mon premier rêve: celui de devenir psychologue.  Et me voilà maintenant en master 2 de psychologie, après 8 ans d'études , et enfin un domaine qui me passionne.  N'écoutez pas les gens et suivre votre instinct, vous et personne d'autre ne sait mieux que vous ce qui est le mieux pour vous.  Valider ma licence m'aurait mise sur la voie du master de droit et je me serais ennuyée.  N"hésitez pas à prendre rendez-vous avec moi ! Suivez votre instinct ❤

Joy, 30 ans

Psychologie

J'ai effectué ma licence de Psychologie à l'université de Nice (UFR Lettres, Arts et Sciences Humaines) de 2012 à 2016. La licence est l'un des diplômes auxquels on peut prétendre après l'obtention du baccalauréat, elle se déroule sur 3 ans et chaque année comporte 2 semestres. Voici d'après moi les avantages et les inconvénients (à savoir que certains points ne sont pas communs à toutes les facultés !) : Avantages : - on peut accéder à la licence avec simplement l'obtention du bac (même sans mention) ; - on se spécialise dans un domaine (en l'occurence dans mon cas la psychologie) ; - les premières années on a peu d'heures de cours (de mémoire en L1 j'avais en moyenne 18 heures de cours par semaine), il faut donc apprendre à être très autonome et organisé car une grosse partie du travail se fait en dehors des heures de cours ; - c'est général ce qui veut dire que l'on peut explorer différentes facettes de la psychologie pour trouver ce qui nous plaît et nous spécialiser ensuite en master ; - depuis 2019, la sélection s'est généralisée à la fin de la licence (avant elle était à la fin de la première année de master), ce qui permet, en cas de refus, de se réorienter plus vite et plus facilement (en théorie), il est bien sûr possible de repostuler l'année suivante ; - la licence est l'occasion de rencontrer de nouvelles personnes, des étudiants venant d'horizons divers, c'est très enrichissant ! Inconvénients : - ça reste très général dans le domaine choisi (par exemple, en licence de psychologie à Nice, on avait des cours comme : histoire de la psychologie, statistiques, psychopathologie, psychologie cognitive, psychologie sociale, neurobiologie, psychanalyse, psychologie du travail, anthropologie, sociologie, philosophie, etc.) - il faut être organisé, méthodique et autonome ; - l'administration de la fac est une catastrophe ; - il y a énormément d'étudiants, en L1 nous étions 750 pour 20 places en moyenne par master, ce qui veut dire qu'une sélection s'opère au cours de chaque année, environ 1/3 des étudiants abandonnent au cours du premier semestre de la L1, ensuite la sélection se fait à partir de la moyenne. À Nice, il faut avoir au moins 10 sur la moyenne de l'année (semestre 1 + semestre 2 se compensent), mais dans d'autres facs il faut avoir la moyenne à chaque semestre ; - il n'y a pas de stage obligatoire pour valider la licence, néanmoins c'est fortement conseillé pour 1) pouvoir accéder au master et 2) gagner en compétences pratiques !! Sauf que les stages sont très difficiles à trouver pour plusieurs raisons : les étudiants en master sont prioritaires ; il y a plus d'étudiants en psychologie que de psychologues accueillant des stagiaires ; pas tous les psychologues ne prennent de stagiaires ; au-delà de 308h de stage cumulées le stage doit être rémunéré ; certaines facs exigent que les garants aient au moins 3 ans d'expérience pour reconnaître le stage ; - il y a des partiels à chaque semestre concentrés sur une même période (ce qui est assez intense en termes de rythme et de stress). Mes conseils : - se rapprocher de ses camarades pour travailler, partager les infos, se sentir soutenu ; - il y a généralement des groupes Facebook qui sont créés pour chaque promo, très utile pour avoir toutes les infos, demander les cours auxquels on n'a pas pu assister et développer des relations (ce sont peut-être des futurs collègues !) ; - lire beaucoup (des livres mais aussi des articles scientifiques) et s'intéresser à des sujets qui ne sont pas forcément développés en cours (pour cela la Bibliothèque Universitaire sera votre meilleure amie) ; - ne pas hésiter à entrer en contact avec des étudiants de la promo supérieure pour avoir des tips (notamment pour les sujets de partiels et pour les lieux de stages !) ; - ne pas hésiter à aller au BAPU (bureau d'aide psychologique universitaire) si l'on se sent trop en difficulté, trop sous pression, trop isolé, trop vulnérable. Vous y trouverez de l'aide et en plus c'est gratuit ! Toi qui me lis, profite bien de tes années d'études et n'hésite pas à naviguer sur ce site pour te faire une idée de ce que sont les études supérieures ! Amuse-toi bien :)

Saïdou, 22 ans

Langues étrangères appliquées (LEA)

La fac de langue me plait beaucoup sachant que je me considére quasiment trilingue et donc je suis une personne qui est attiré par les langues en particuliers l’anglais et l’espagnol finalement je peut aussi dire que la filière est un peu complète car elle se compose de l’économie du droit mais aussi du français (tout dépend du niveau accordé suite au test de français ) ceux qui veulent donc désormais un entretien téléphonique avec moi aller voir mon profil pour prendre rdv