Guides d'orientation : tout savoir sur une filière
groupe d'advisors

Témoignages École de Santé et du Secteur Social

Il existe 1001 façons de choisir sa filière, mais ce n'est pas toujours évident de s'y retrouver au milieu de toutes ces informations 🔎, et de savoir si on a fait le bon choix !

Les témoignages de nos Advisors sont là pour t'aider à y voir plus clair 💡.

Si tu veux en savoir plus sur leurs parcours, prends RDV avec eux 🤳 !

12 résultats correspondants :

Jeanne, 23 ans

Ostéopathie, Chiropractie

Aaaaaaah les écoles d’ostéopathie animale… Il en existe un paquet! Comment s’y retrouver? L’ostéopathie animale est régit par le code rural et de pêche maritime (CRPM) et est une pratique définit comme : une médecine manuelle, qui vise à comprendre les causes des symptômes du patient à partir d'une analyse des différents systèmes du corps humain dans leur ensemble. Il s'agit d'une approche dite « systémique » qui permet d’agir sur les troubles fonctionnels et sur les symptômes. Pour être ostéopathe animalier il faut passer par une école en 5 ans puis passer l’examen du CNOV (conseil national de l’ordre des vétérinaire) qui permet d’exercer légalement en France. Cela consiste en un examen théorique (QCM) et si vous le réussissez vous passez l’examen pratique où vous faites une séance d’ostéopathie devant un jury composé de vétérinaires et d’ostéopathes, vous pouvez tomber sur chien, cheval ou vache (animal tiré au sort). Si vous êtes déjà ostéopathe humain il existe des passerelles et des formations en 2 ans et vous devez ensuite passer l’examen du CNOV également. Les écoles doivent vous préparez au mieux à l’examen du CNOV qui est décisif pour exercer plus tard. Pour cela vous devez aborder au moins en théorie 5 animaux qui sont les chevaux, les chiens et chats, les chevaux et les lapins. N’hésitez pas à prendre rendez vous pour que je vous parle de mon école pour vous guidez dans vos choix. Je me ferais un plaisir de vous parler de mon quotidien à l’école, organisation des cours, cours pratique etc… Belle journée!!

Zoé, 21 ans

Puériculture

Une formation dans le domaine de la puériculture demande de la rigueur et de l'autonomie. Il faut avoir envie d'apprendre, de découvrir et de développer ses connaissances. Intégrer une formation dans le domaine de la puériculture, c'est accepter de bousculer ce que l'on sait ou croit savoir, c'est accepter de se remettre en question et de recevoir des critiques sur sa pratique. Travailler avec les enfants demande de la patience, de la tolérance, une grande gestion du stress, un sens de l'écoute, une importante prise d'initiatives... Bref, pour travailler avec les enfants, il faut surtout se connaitre soi-même, se faire confiance et faire confiance aux autres.

Irina, 21 ans

Psychomotricité

Lors de la séance de TP de rentrée, les formatrices nous ont dit "on n'arrive pas en psychomotricité par hasard..." Après une année passée au sein de ces études si particulières, je comprends maintenant mieux ce qu'elles voulaient dire... Je vous propose ainsi de vous partager mon parcours, ma découverte de la psychomotricité et l'organisation du cursus en général (avec les spécificités de l'IFP d'Orléans). Bonne lecture ! 1. Une découverte plutôt tardive de la psychomotricité (mais comme on dit souvent mieux vaut tard que jamais !) Depuis toute petite, je rêve de faire un métier pour apaiser les souffrances des gens, pour trouver des solutions à leurs problèmes... C'est ainsi que de mes 8 ans jusqu'à mes 18 ans j'étais décidée à devenir psychologue. Mais ces dix années ont filé, et du jour au lendemain je me retrouve en terminale à devoir valider mon choix final. C'est à ce moment précis que tout se trouve chambouler en moi, que tout y compris ce rêve devient incertain... C'est alors que je tombe par hasard sur le métier de psychomotricien en naviguant sur mon PC... Je comprends que c'est un professionnel de santé du paramédical, axé sur la place du corps et son image dans les différents troubles. Je comprends qu'il essaye de ré instaurer les liens corps-esprits, pour rétablir une harmonie au sein du patient... J'ai alors un flash de moi en train d'exercer ce métier (alors que je n'en savais pas encore grand chose oui je sais !). Je commence des recherches plus poussées, et l'IFP d'Orléans devient mon nouvel objectif. A l'époque, on pouvait faire une fac de sciences (science de la vie/chimie) pour avoir plus de chance d'entrer à l'IFP. Ayant besoin de plus de temps pour réfléchir à ce projet, et ayant toujours envie de découvrir l'ambiance de l'Université, je décide donc d'entrer en L1 sciences de la vie/ chimie à Orléans. Après une année intense marquée par le confinement, je valide la double L1 et je suis acceptée à l'IFP d'Orléans : c'est le début d'une nouvelle aventure pour moi ! 2. Pourquoi le métier de psychomotricien me correspond ? Tout simplement car il me permet de pouvoir être dans le soin, ce fameux "care", en abordant les patients de façon globale. J'aime le fait qu'on prenne en compte aussi bien l'importance du support organique de l'Homme, son corps (pôle neuromusculaire), que son psychisme/esprit (pôle cognitif), et enfin la part émotive, sensible (pole psycho-affectif). Ainsi c'est un métier riche d'outils, de techniques, où notre créativité, notre imagination nous accompagne dans chaque prise en charge. Ainsi, les psychomot' aiment beaucoup jouer ! Ce que je trouve également intéressant en psychomotricité, c'est le côté ludique qu'on met en place, quelque soit l'âge du patient d'ailleurs. On essaie de valoriser leurs ressources et leurs capacités au maximum. Cela se retrouve dans la relation de confiance et de co-construction qu'on établit avec le patient : on n'oublie jamais que ce dernier a toujours quelque chose à apporter dans le processus thérapeutique. 3. L'organisation des études en psychomotricité Tout comme le métier, le cursus est riche (on ne s'ennuie jamais !) et se compose de trois grands temps d'enseignement : - les cours théoriques (qu'ils traitent de psychomotricité en tant que tel, de psychologie, psychiatrie, etc...) - les TP (travaux pratiques) qui permettent d'expérimenter corporellement certains concepts théoriques, de se former à certaines techniques (relaxation, toucher thérapeutique, bilans psychomoteurs...), d'appréhender des cas cliniques, et enfin d'apprendre à mieux se connaitre ! - les stages. En 1ère année ils visent à observer le développement psychomoteur (normal) de 0 à 6 ans. Ils deviennent cliniques à partir de la deuxième année. On pratique alors sur différentes populations et dans différentes lieux en 2ème et 3ème année. Le cursus se passe donc en 3 ans, avec la validation d'un DE (ou diplôme d'état) à la fin. 4. Les plus de l'IFP d'Orléans On y est 25 par promo, ce qui permet de se former au mieux, de manière presque personnalisée finalement. On peut poser toutes les questions qu'on a en tête, à tout moment. On se connait tous et toutes, et l'entraide est très présent entre nous. Tout au long de l'année, on est accompagné de manière individuelle via des entretiens pédagogiques pour voir si on se sent toujours bien au sein de la formation, du métier, dans notre vie en général... Si on a des doutes, ou si on rencontre des difficultés les formatrices sont là pour nous écouter et nous aiguiller au mieux. Côté vie étudiante, le BDE (bureau des étudiants) est très organisé et assez actif ! Des évènements nous sont très régulièrement proposés... pour ceux qui aiment s'amuser et sortir en parallèle des études c'est l'idéal ! Ces particularités permettent de créer une vrai ambiance de travail, plutôt chaleureuse et détendue. 5. Mon ressenti sur ma 1ère année de DE Au final, je ne regrette pas d'avoir quitté la fac ! Ni la psycho ! Je sais maintenant qu'il m'aurait manqué quelque chose en psychologie : cette approche globale de la psychomotricité, le plaisir et l'utilité des médiations corporelles. Avant je n'aimais pas du tout le sport, je n'aimais pas bouger mon corps, je me laissée accaparer par les vicissitudes de mon esprit. Aujourd'hui, l'image que j'ai de mon corps et de moi a changé et c'est en partie grâce à mes études. En psychomotricité, on ne se forme par seulement à un métier, on apprend à se développer personnellement. Je suis également heureuse de toutes les expériences que j'ai vécu en seulement un an... Le souvenir de l'équithérapie par exemple résonne encore en moi... tout comme les TP d'expression corporelle pour ne citer que quelques exemples. Côté travail et résultats, j'avais peur de ne pas réussir à suivre, notamment en anatomie ou en neurophysiologie (n'ayant pas fait médecine avant). Mais finalement en s'y mettant, en fournissant un minimum d'efforts (inhérents au principe des études), et avec la patience des enseignements et des systèmes d'entraide (entre étudiants dans la promo + cours en plus pour revenir sur certaines notions) on y arrive (même en sortant du bac d'ailleurs) ! Vous l'aurez compris mes études me passionnent et m'aident à m'épanouir... J'espère que ce témoignage vous aura parlé, appris des choses, peut être même intrigué... Si vous vous posez encore des questions, n'hésitez pas à me contacter via la plateforme, je serais enchantée de prendre le temps de vous écouter ! ;)

Aléna, 22 ans

Médecine (diplôme d'État)

Le Diplôme d'Etat de Conseiller en Economie Sociale Familiale m'a permis d'avoir une expérience de stage plus complète qu'en BTS. Il m'a également permis de prendre en compte la différence entre être Technicien en ESF (avoir les apports théoriques) et Conseiller en ESF (avoir l'approche de terrain, l'aspect "social"). J'ai également découvert les différents métiers disponibles avec le DE CESF (autre que CESF).

Pauline, 21 ans

Infirmier

Bonjour à toutes et à tous, je tenais à faire un "flash back" sur mon année de terminale; année assez stressante entre Parcoursup, le bac (et le confinement qui est venu se mettre au milieu). Toute l'année j'ai entendu que "en sortant d'un baccalauréat économique et social, je ne pourrai jamais être admise en IFSI avec ce baccalauréat". Est venue l'épreuve de Parcoursup; la boule au ventre parce que j'avais mis une seule alternative à cette formation, pour ne pas rester en stand-by pendant un an et enrichir mes connaissances, mais qui ne m'intéressait que peu. Puis à la mi mai, j'ai été admise, certes sur liste d'attente, dans toutes les IFSI que j'avais demandé; et aucun de mes professeurs ne m'a cru. Alors vraiment, à l'approche des examens conjointement à la plateforme Parcoursup; croyez en vous!

Erell, 24 ans

Orthoptie

Qu'est-ce que l'orthoptie ? L'orthoptie est la "kiné" des yeux: L'orthoptiste va s'occuper de prendre en charge des patients de tout âge atteints de strabismes (patients qui louche), de pathologies oculaire (Myopie, Hypermétropie, DMLA, Cataracte) ou encore de pathologie des paupières et des différentes structures de l'oeil (Cornée, rétine.....). Il peut également s'occuper de la rééducation oculaire de patients strabiques et prendre en charge des patients atteints de troubles scolaires, pathologies DYS..... (Il interviendra très souvent dans ce cas au sein d'une équipe pluridisciplinaire avec des Orthophonistes (logopèdes), ergothérapeutes, psychomotriciens, l'enseignant.... Au cours de mon premier stage, j'ai eu l'opportunité d'assister a des prises en charges de rééducation strabiques ainsi que des prises en charges d'enfants dyspraxiques avec difficultés scolaire. Pour mon deuxième stage, pendant 1 mois j'ai observé divers domaines de l'orthoptie et j'ai eu la chance d'assister à des opérations en bloc opératoire (chirurgies de paupières et chirurgies de strabismes) c'était top ! Où peut-il travailler ? Il travaillera soit en cabinet libéral soit en hôpital. Que faire après ? Une fois diplômé en Orthoptie, tu peux directement exercer ton métier à l'issue de tes études ou te spécialiser dans divers domaines (neurologie, neuro-ophtalmologie....). Je pense peut-être me spécialiser en neuro-ophtalmologie pour m'occuper d'enfants dys ainsi que de patients ayant des pathologie neuro-ophtalmologiques. Faire ses études en Belgique, diplôme reconnu en France ? Mon inscription en Belgique a été très facile et rapide: il a juste fallu que je m'inscrive en remplissant un dossier (il n'y a pas de concours contrairement à la France). Suite à cela, l'école te rappellera à une certaine date qu'il ne faudra pas louper (confirmation de ton inscription: l'école a appelé mes parents très tard la nuit, je ne cache pas que se sont mes parents et non moi qui a répondu ahah). Cet appel est très important puisque chaque année dans chaque promos il y a 50% des élèves qui sont français et 50% des élèves qui sont belges et pour faire parti de ses 50% d'élèves français, il faut passer par cet appel. De plus, le diplôme est reconnu en France ! Je te parlerai de cette filière plus en détail et répondrai à toute tes questions avec plaisir au cours d'un appel ;)

Anaïs, 23 ans

Ostéopathie, Chiropractie

Les études d'ostéopathie sont pour moi les études parfaites pour lier professionnalisme et théorie . En effet avant je voulais être vétérinaire mais mes résultats scolaires ne me l'on pas permis . Ces études on pour moi été une réelle vocation grâce à stages d'immersion dans des écoles . Pour moi l'ostéopathie est un métier très complet , il est difficile de s'ennuyer . Si vous cherchez un métier épanouissant n'hésitez pas !

Chloé, 29 ans

Santé

L'EHESP est une très bonne école. Comparativement à la fac, c'est une vraie plus value d'y suivre son master : une équipe éducative compétente et investie, avec des intervenants et enseignants-chercheurs tous experts de leur sujet. Un réseau fort, des promos soudées autour des projets. Dans les masters, on retrouve des profils d'élèves différents permettant d'avoir des échanges riches. Le prestige de l'école par la suite aide pas mal dans la recherche d'un emploi. Et petit bonus : la Bretagne !! Ahhh quelle belle région...

Ely, 25 ans

Sage-femme

Pouvoir aider à donner la vie est un moment merveilleux ! C'est un véritable bonheur d'accompagner un couple dans un des moments les plus importants de leur vie. Chaque couple a sa propre histoire de vie et c'est gratifiant de pouvoir être présente et de les aider. Travailler en Salle de Naissance apporte beaucoup d'adrénaline. Même si les horaires sont parfois difficiles (gardes de 12h de jour comme de nuit) je suis toujours motivée pour aller travailler ! Quand je travaille en suite de couches, j'ai le plaisir d'accompagner les mères et leurs bébés dans leurs premiers pas ensembles. C'est le moment idéal pour aborder plein de sujets et faire de la prévention. C'est vraiment un métier de passion !

Léa, 23 ans

Psychomotricité

Je suis en première année de psychomotricité et tellement heureuse d'avoir atterri dans cet institut ! Les cours sont intéressants, complets et la quantité est largement gérable. En plus du théorique, nous avons pas mal de pratiques (eutonie, relaxation, escalade, rythme...). C'est très varié, cela nous permet de découvrir diverses disciplines et pratiques pour notre future profession. C'est donc des études sur 3ans très agréable et divertissante. Ensuite, plus on avance dans les années, plus nous avons des heures de stages dans tous les établissements accueillants des humains valident ou non (crèche, maternel, établissement spé, EHPAD et pleins d'autres). De plus, nous sommes une petite école (3 promos de 50 personnes). Ainsi on est comme une petite famille dans laquelle on rencontre des gens géniaux ! Nous sommes pas dans une école comme les autres, c'est un cocoon de bienveillance et de respect. Nous sommes plus dans la compétition de la PACES/PASS (concours) ou autres spécialités de la santé, c'est désormais que de l'entraide. Les profs sont des professionnels qui ne viennent pas seulement enseigner : ils sont là pour nous instruire mais également nous aider à mieux nous connaitre intérieurement. Si vous aimez aider les autres et faire pleins d'activités aussi différentes les unes des autres, n'hésitez pas à vous informez sur ce diplôme d'état plus qu'intéressant :) A bientôt peut être...