Temps de lecture : 2 minutes
Un Conseiller en Economie Sociale Familiale, CESF est un travailleur social au même titre qu’un éducateur spécialisé ou un assistant social par exemple.
Quelles missions ?
Le CESF est considéré comme un expert de la vie quotidienne. Il a principalement pour mission d’accompagner les personnes dans les actes de la vie quotidienne (accès aux droits, conseil sur le quotidien (entretien, logement, gestion budgétaire, …), dans l’insertion sociale et professionnelle, tout en mettant en valeur leurs potentialités et en favorisant leur autonomie.
Il faut noter cependant que ses missions dépendent de l’endroit où exerce le CESF.
Ou peut-il exercer ?
Il peut exercer ses fonctions auprès de multiples publics (personnes en difficultés, personnes étrangères, personnes en situation de handicap, personnes âgées, …) dans diverses institutions, publiques ou privées (par exemple les Foyer de Jeunes Travailleurs (FJT), les Centre d’Hébergement et de Réinsertion Sociale (CHRS), les Centre de Soins, d’Accompagnement et de Prévention en Addictologie (CSAPA), Caisse d’Allocation Familiales (CAF)... et bien d’autres !).
Quel plan d’étude ?
Afin d’être CESF, il faut posséder le Diplôme d’Etat de Conseiller en Economie Sociale Familiale qui est un diplôme de niveau II (équivalent licence).
Ce diplôme s’obtient en 1 an d’étude après un BTS Economie Sociale Familiale (en 2 ans) ou par une validation des acquis d’expérience.
CESF, mais pas que…
Le DECESF donne accès au métier de CESF mais aussi à d’autres.
Pour plus de renseignements sur les métiers ou sur la formation, n’hésite pas à prendre rendez-vous !
La PSI allait dans la continuité de la PCSI, la pression des concours en plus ! Une de mes erreurs a été de ne pas prendre suffisamment de temps pour me renseigner sur les différentes écoles, je n'avais donc pas d'objectif particulier, seulement d'obtenir la meilleure école possible. J'ai refait cette année car insatisfait de mes résultats aux concours la première fois. J'ai finalement été admis à l'école Centrale de Marseille ! Un bon point a été l'accompagnement de l'équipe pédagogique.
La prépa.. c’est un cursus très stigmatisé. On pense toute suite à des professeurs qui mettent la pressions, à une compétition présente en classe, ou encore à la difficulté de l’apprentissage. Moi, je suis en prépa intégré, on pense que c’est plus facile. Ce n’est pas toujours le cas, mais ce qui est sûr c’est qu’il est grand temps d’enlever les multiples stigmatisations que l’ont fait sur cette filière. La prépa c’est quelque chose qui est compliqué, dans l’apprentissage. On doit apprendre une masse de chose assez importante, tout le temps. C’est fatiguant moralement, mais pas impossible. Néanmoins, les professeurs ne sont pas des martyrs mais des soutiens à toutes épreuves. Ils sont là pour nous épauler. Et que dire de cette compétition.. qui est inexistante ! En prépa intégré tout le monde cherche à s’aider, à surmonter les difficultés tous ensemble. C’est une grande cohésion de groupe. Alors la prépa intégré fut le meilleur choix que j’ai pu faire dans ma vie !
Bonjour, Je suis actuellement en khûbe, c'est à dire en troisième année de classe préparatoire littéraire au lycée pierre de Fermat, et je crois que c'est le bon moment pour faire un petit bilan. Après le bac je voulais tout faire, tout découvrir... et donc la fac ne me semblait pas être une option viable, puisqu'elle ne me permettrait pas de poursuivre toutes ces envies. J'ai choisi la prépa après que mes professeurs me l'ai conseillé, et je ne suis pas déçu.e! Après presque trois ans, même l'ENS est hors de portée pour moi (je pense), j'ai bâti une solide culture, littéraire, philosophique, historique qui a affiné ma perception du monde, de l'autre et de moi même. Je suis aujourd'hui plus mûr.e et plus sûr.e de moi. La prépa, c'est vrai, ce sont d'interminables heures de travail, le soir, le matin, entre les cours, entre midi et deux... mais c'est aussi une soirée gauffre dans la salle de base de l'internat en regardant good morning England, sortir boire un coup de temps en temps et danser jusqu'au bout de la nuit, c'est se passionner et se révolter, c'est surtout et avant tout, se trouver. Alors, même si il y a des bas (surtout en khûbe...), la prépa est un formidable espace dans lequel j'ai trouvé des professeurs bienveillants et prêts à nous soutenir, nous écouter et nous ouvrir les portes du monde littéraire, et ça, ça les amis... ça vaut de l'or!
— Notre rédactrice
N’hésite pas à la contacter pour discuter avec elle
— Notre rédactrice
N’hésite pas à la contacter pour discuter avec elle