Lorsque j’ai terminé le lycée en STMG avec une option en comptabilité, j’étais encore en pleine exploration de ce que je souhaitais vraiment faire. Comme beaucoup, j’ai décidé de suivre un DUT Gestion des Entreprises et des Administrations (GEA) pour rester dans une voie qui me semblait familière. Cependant, au fil du temps, j’ai réalisé que laChoisir sa voie et s’épanouir dans ses études : Conseils et témoignage d’une experte en marketing digital comptabilité et la gestion n’étaient pas ma passion. Cette première expérience m’a appris une leçon précieuse : il est essentiel de prendre son temps pour trouver sa voie, et surtout, ne pas hésiter à changer de direction si une filière ne nous correspond pas. La santé mentale est primordiale, et il ne faut jamais se forcer à persévérer dans un domaine qui nous pèse.
C’est finalement le marketing digital qui a attiré mon attention, en partie grâce à des membres de ma famille qui travaillaient déjà dans ce domaine. Ce milieu m’a paru bien plus créatif et dynamique que la comptabilité, et je n’ai pas été déçue ! Cependant, je tiens à être honnête : le secteur du marketing digital est compétitif et peut sembler saturé. Alors si c’est une orientation qui vous attire, soyez prêt(e) à vous spécialiser et à investir dans des compétences précises qui feront de vous un profil recherché. Trouver une alternance ou un stage dans une entreprise qui vous plaît vraiment peut aussi être un tremplin, souvent pour un CDI par la suite.
Après cinq années d’alternance, j’ai eu besoin de faire une pause. Je suis donc partie cinq mois en Asie pour me ressourcer, une expérience qui m’a permis de revenir avec des idées fraîches et un esprit plus apaisé. C’est totalement normal de faire des pauses pour prendre soin de soi ! On est jeunes, et ce moment de la vie est le plus propice pour prendre du recul sans trop de contraintes.
En discutant avec moi sur StudyAdvisor, vous pourrez obtenir des conseils adaptés, que ce soit pour une réorientation ou pour optimiser votre parcours en marketing digital. Mon parcours est là pour vous montrer qu’il est possible de changer, de prendre des risques, et surtout, de se faire confiance. N’hésitez pas à prendre rendez-vous, je serais ravie de partager mon expérience avec vous et de vous aider à trouver la voie qui vous correspond !
Je faisais partie de ces élèves qui réussissaient sans pour autant faire beaucoup d'efforts. 17 en HGGSP, 15 en HLP, 14 en SES, 20 au grand oral. Pourtant j'ai raté ma 1e année de droit en travaillant de 8h du matin à 3h. J'ai vécu ce qu'on appelle couramment une dépression sans même m'en rendre compte. J'ai enchainé les partiels avec les rattrapages en échouant toujours et encore et sans jamais voir de progrès en un an. Alors j'ai pris les devants et j'ai quitté la fac publique pour le privé. J'ai eu des vraies réponses à mes questions, un vrai suivi et surtout beaucoup de soutien. Aujourd'hui je réussi les exercices, les examens et je m'épanouis dans les études.
Bonjour à toutes et à tous, je tenais à faire un "flash back" sur mon année de terminale; année assez stressante entre Parcoursup, le bac (et le confinement qui est venu se mettre au milieu). Toute l'année j'ai entendu que "en sortant d'un baccalauréat économique et social, je ne pourrai jamais être admise en IFSI avec ce baccalauréat". Est venue l'épreuve de Parcoursup; la boule au ventre parce que j'avais mis une seule alternative à cette formation, pour ne pas rester en stand-by pendant un an et enrichir mes connaissances, mais qui ne m'intéressait que peu. Puis à la mi mai, j'ai été admise, certes sur liste d'attente, dans toutes les IFSI que j'avais demandé; et aucun de mes professeurs ne m'a cru. Alors vraiment, à l'approche des examens conjointement à la plateforme Parcoursup; croyez en vous!
Je suis arrivée en licence de psychologie sans vraiment savoir quoi faire. En fait, suite à mon échec en PACES, j'étais complètement déboussolée. J'ai donc chercher quelque chose à faire de ma vie, qui ne me mettrai pas autant de pression que la PACES, et qui me permettrai d'avoir accès à un métier qui me conviendrai. J'ai donc choisi la psychologie, et suis partie de mon île (la Guadeloupe), pour étudier en Métropole. J'avais peur au début, car, sortant d'une filière technologique qui rassemble la santé et le social, je pensais avoir énormément de lacune vis à vis des cours qui seraient plutôt littéraires. Cependant, cette année m'a montré que rien est impossible avec du travail. De plus, la psychologie n'est pas, comme je le pensais, que pour les profils littéraires, mais elle peut rassembler plusieurs types de profils.
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N’hésite pas à la contacter pour discuter avec elle
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