Le lycée prend fin et l'Université vous tend les bras mais comment faire face à ce nouveau milieu et aux nouvelles méthodes de travail qu'il comprend ?
A l'Université, les cours sont divisés entre les cours d'amphithéâtre (ou cours magistraux) et les travaux dirigés (dits TD).
- Les cours magistraux sont donnés dans des amphithéâtres, souvent de plusieurs centaines de places, par les professeurs d'université. Ce sont des cours théoriques où les étudiants doivent prendre des notes. En général, du fait du nombre d'étudiants, il n'est pas possible de poser des questions pendant ces cours.
- Les TD ont lieu une fois par semaine dans chaque matière auxquelles sont associés des TD. Ils se déroulent en petits groupes (de 30 ou 40) en classe et sont dirigés par des chargés de TD qui sont généralement des étudiants en thèse, spécialistes de la matière. Chaque TD porte sur une notion de cours vue en amphithéâtre. Les étudiants doivent préparer la séance préalablement à cette dernière chaque semaine en travaillant la partie du cours magistral et en faisant le ou les exercices demandés. Durant les séances de TD, les notions de cours sont en général reprises et il est possible de poser toutes les questions que l'on souhaite. De plus, le ou les exercices sont corrigés et expliqués pendant la séance. Ce sont, pour résumé, des séances d'application pratique du cours.
Face à une telle organisation des cours, il convient d'appliquer deux conseils pour réussir sa première année à l'Université.
D'une part, même si cela peut paraitre évident, il faut aller en cours. En effet, le fait que les cours ne soient pas obligatoires peut pousser certains étudiants à ne pas se forcer à y aller, préférant sûrement dormir le matin ou sortir. Cependant, même si rater un ou deux cours ne vous fera pas rater votre année, le risque est de prendre l'habitude de ne plus y aller ou de ne plus aller à certains cours. C'est une des meilleures manières de ne pas valider la matière en question car aller en cours d'amphithéâtre c'est déjà faire la moitié du travail car on synthétise le cours dans nos notes et on s'assure d'avoir un cours complet et compréhensible.
D'autre part, il faut s'avoir s'organiser dans son travail: l'idéal est d'utiliser les journées ou demi-journées où il n'y a pas cours pendant la semaine pour commencer à travailler ses TD ou reprendre ses notes de cours sans attendre le week-end. Il est possible de travailler chez soi ou en bibliothèque universitaire. Je conseille fortement de se faire des emplois du temps de travail personnalisés pour chaque semaine.
En appliquant ces quelques conseils et en étant rigoureux dans son travail, vous mettez alors toutes les chances de votre côté pour réussir votre première année à l'Université !
Après un bac S, et souhaitant devenir ingénieur, plusieurs voies se sont offertes à moi: la classe préparatoire (mpsi ou pcsi), la prépa intégrée ou, un peu moins courant, le DUT. Je ne souhaitais pas entrer en DUT car je trouvais les programmes trop "spécifiques" à un domaine en particulier, je ne voulais pas m'enfermer dans une spécialité dès le début. On m'avait toujours décrit la classe préparatoire comme la voie royale pour obtenir de bonnes écoles d'ingénieurs très cotées, seulement après plusieurs échanges je me suis rendue compte que cela représentait beaucoup de sacrifices. Il faut généralement travailler énormément pour espérer avoir l'école que l'on souhaite, l'emploi du temps y est également très chargé. Et enfin, en me renseignant j'ai découvert que certaines écoles proposaient des cycles préparatoires intégrés, c'est à dire que l'on fait bien 2 ans de préparation, mais pas de concours à la fin, puisque l'on reste dans notre école, en cycle ingénieur cette fois. Cela me semblait être la meilleure option, le cursus reste général, et pas de stress, pas de concours, pas d'incertitude. Aujourd'hui je suis donc en première année au cycle préparatoire de l'INSA de Rouen en Normandie, et je ne regrette pas ce choix! Pour ceux qui recherchent l'excellence, J'ai constaté que dans beaucoup de prépas, si on n'étudie pas en classe étoile, les écoles auxquelles on accède ne sont pas mieux classées que celles à prépa intégrée, bien au contraire. Il existe de très bonnes écoles d'ingénieurs à prépa intégrée, comme l'UTC ou l'INSA de Lyon qui sont classées parmis les meilleures auprès des Mines ou Centrale. Le cycle préparatoire dans lequel je suis me permet de continuer d'avoir une vie en dehors de l'école, de faire du sport, de sortir avec mes amis et ça c'est vraiment un plus! Enfin pour ceux qui sont un peu moins "théorie" et qui aiment la pratique, en cycle préparatoire on peut (et c'est même souvent une obligation) faire des stages dès la première année, en tant qu'ouvrier, pour découvrir le monde de l'entreprise. Le travail à fournir n'est pas aussi conséquent qu'en prepa puisqu'il ne s'agit pas d'être le meilleur à un concours, mais de réussir ses études. Beaucoup de travaux de groupe sont organisés, ce qui favorise la création de lien entre les élèves et nous apprend le travail d'équipe. En bref, je suis vraiment contente d'avoir fait ce choix , j'espère que ce témoignage vous aura été utile! À bientôt.
Toi qui lis ce post, toi qui te dis que tu n'y arriveras pas... Toi qui te dis avec le bac qui approche que là dans l'immédiat, tu es perdu(e)? Toi qui te rends compte que tu n'es pas dans la bonne voie? Oui c'est bien à toutes ces personnes là que je vais m'adresser dans mon témoignage. Eh bien, par quoi commencer... Titulaire d'un bac S à 16 ans, j'étais un peu perdue et je ne savais pas vraiment vers quoi m'orienter, si j'avais eu la chance d'avoir rencontrer cette plateforme avant, je n'aurais pas fait les mêmes erreurs. Rendez vous compte de cette chance. Enfin bref, poussée par le corps professoral, je me suis lancée en première année de médecine... Quelle erreur... Ce n'était absolument pas fait pour moi, pas fait pour mon caractère, c'est un autre univers... Ensuite j'ai découvert ma double licence biologie informatique qui m'a permit de m'épanouir mais ce n'était pas encore moi... Je ne me reconnaissais pas là dedans. J'ai alors découvert qu'il était possible d'intégrer des écoles d'ingénieur directement en 4ème année (ou 2ème année du cycle ingénieur pour les puristes :)). Et là j'ai découvert ma vocation. On a beau être une minorité de filles (25% dans toute l'école), on a tout à fait notre place dans l'école. Là je vais me concentrer juste un instant sur les filles mais sachez que vous êtes capables, les écoles d'ingénieur ne sont pas exclusivement réservées aux garçons. Dans mon école, on se déplace même dans les écoles pour que les filles se rendent compte que c'est une réelle opportunité qu'elles doivent saisir si elles le souhaitent. J'ai trop de fois entendu des filles au lycée qui me disait, je ne pourrais jamais me lancer dans une école d'ingénieur en informatique par exemple parce que les garçons leur disent qu'elles veulent aller là bas uniquement pour draguer... Enfin bref, tout cela me choque tout particulièrement. L'opportunité de s'épanouir dans ses études doit être présente pour chacun d'entre nous! Je vous souhaite d'être heureux et de trouver votre vocation peut être en école d'ingénieur si c'est ce que vous souhaitez, et sachez qu'à n'importe quel moment ou presque, vous pouvez les rejoindre! Renseignez vous!!!
Bonjour à tous, je m'appelle Lola, et je suis actuellement étudiant en journalisme. Aujourd'hui, je partage avec vous un aperçu de mon parcours au cœur du monde passionnant de la presse et de la communication. Tout a commencé avec une fascination pour les histoires. Les histoires de personnes, de lieux, d'événements. Le journalisme m'a appelé, m'a attiré avec la promesse de donner une voix à ceux qui n'en ont pas, de raconter des récits qui méritent d'être entendus. C'est cette passion qui m'a conduit à plonger tête première dans les études de journalisme. Les cours ont été, sans aucun doute, captivants. Des enseignants qui sont eux-mêmes des professionnels chevronnés, partageant non seulement des théories, mais aussi leurs expériences du terrain. Les défis étaient présents à chaque coin de rue, que ce soit en rédaction, en reportage sur le terrain ou même en conception graphique. Mais chaque défi a été une opportunité d'apprentissage. Les délais sont sacrés dans le monde du journalisme. Rédiger un article dans un délai serré, réaliser un reportage sur le vif, sentir l'adrénaline monter avant une interview cruciale - tout cela fait partie du quotidien. C'est une pression stimulante qui pousse à donner le meilleur de soi-même. L'un des aspects les plus enrichissants a été les pratiques sur le terrain. Sortir de la salle de classe et se retrouver sur le terrain, à la rencontre de personnes réelles, à fouiller des sujets intrigants. C'est là que la théorie se transforme en réalité. Le journalisme évolue avec la technologie, et c'est passionnant. Apprendre à utiliser les outils numériques, maîtriser l'art de la vidéo, comprendre les médias sociaux - c'est une aventure qui intègre le meilleur de l'ancien et du nouveau. Ce qui m'a vraiment marqué, c'est l'esprit de communauté. Les collègues deviennent une sorte de famille journalistique. On se soutient, on s'encourage mutuellement, et ensemble, on grandit en tant que futurs conteurs de l'actualité. En somme, les études de journalisme sont une aventure en constante évolution. C'est un parcours où l'on apprend, où l'on se confronte, où l'on grandit. Si vous avez une passion pour raconter des histoires, pour être le témoin de l'Histoire, alors le journalisme est un chemin qui vous ouvrira des horizons insoupçonnés. En somme, les études de journalisme sont une aventure en constante évolution. C'est un parcours où l'on apprend, où l'on se confronte, où l'on grandit. Si vous avez une passion pour raconter des histoires, pour être le témoin de l'Histoire, alors le journalisme est un chemin qui vous ouvrira des horizons insoupçonnés.
— Notre rédactrice
N’hésite pas à la contacter pour discuter avec elle
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