"Moi c'est Margaux, je suis diplômée d'un bac +5. J'étais pourtant en échec scolaire avant de découvrir la formation en alternance, c'est ce qui m'a réconcilié avec les études !"
Lorsque l'on choisit un diplôme, il y a plusieurs possibilités de suivre la formation :
1) A temps plein
2) En alternance
En choisissant l'alternance, tu suivras les mêmes enseignements qu'en formation initiale (formation à temps plein).
Le diplôme obtenu sera le même et offrira les mêmes possibilités de poursuite d'études et les mêmes débouchés en termes de métier. Il n'y a que le rythme qui va changer.
L'avantage de choisir la formation en alternance est d'apprendre la théorie à l'université et passer à la fois du temps en entreprise pour appliquer la pratique. Elle permets donc de mettre en application les acquis théoriques. Mais ce ne sont pas les seuls avantages, il y a aussi le fait de gagner en compétences, d'obtenir une expérience professionnelle pour se vendre auprès des entreprises, d'être rémunéré, d'obtenir la gratuité de la formation...
En bref il n'y a à mon sens que des avantages, c'est l'avenir.
Je t'invite à pendre rendez-vous avec moi si tu as des questions ou bien si tu souhaites obtenir plus d'informations.
A bientôt, Margaux.
Au sortir de la terminale, les contours de mon orientation restaient encore flous. J'avais tenté le concours commun des IEP sans trop me préparer à l'épreuve, espérant m'en sortir sans avoir trop travailler les sujets au préalable. Bien entendu, cette expérience s'est soldé par un échec. Je n'ai pourtant pas pour autant renoncé à mon objectif d'entrer au sein de la formation Sciences Po. Cette formation représentait à mes yeux une opportunité de bénéficier d'un enseignement pluridisciplinaire, stimulant intellectuellement et ouvrant sur le monde (j'ai été particulièrement séduite par la 3ème année à l'étranger obligatoire) . N'ayant aucun domaine spécifique dans lequel je voulais axer mes études, tout comme n'ayant aucune vocation à exercer tel ou tel métier, j'ai donc décidé de poursuivre cet objectif : réussir le concours commun aux IEP. En recherchant les diverses formations qui permettaient de préparer à ce concours, j'ai découvert celle de l'Université de Lille. L'Université de Lille proposait une classe préparatoire aux concours des IEP adossé à une licence soit d'Histoire, de Littérature ou de Philosophie. Cette formation étant limité en nombre de place, les candidats étaient acceptés sur dossier et lettre de motivation. Alors que les premières réponses d'APB (ancêtre de parcoursup) sont tombées, je me suis retrouvée en liste d'attente sur cette formation. A défaut d'avoir connu parcoursup, j'ai connu la période d'incertitude resultant de la "première phase" qui nous laisse désorienté et anxieux quant à notre avenir. Néanmoins, j'ai finalement eu la chance d'être accepté dans cette formation. Rapidement, la qualité des enseignements dispensés nous ont permis d'acquérir un savoir et une méthodologie efficace, qui me servent encore aujourd'hui dans mes études. Nous étions répartis en 3 classes avec de petits effectifs, permettant de mettre en place un véritable accompagnement des élèves par les enseignants. Cette année en classe préparatoire, m'a permis d'élaborer de nouvelles méthodes de travail, plus particulièrement celle de travail de groupe. La solidarité et l'entraide sont de mise au sein de la formation, se préparer au concours est une activité qui s'exerce en groupe, en se stimulant les uns des autres, en débattant ensemble. Ainsi, je considère cette formation comme un atout, un atout pour l'ouverture culturel qu'elle nous procure, un atout pour l'enseignement dont elle nous dispense et la méthodologie qu'elle nous pousse à appliquer. Les matières abordées concernent les matières du concours, à savoir histoire, anglais, espagnol, culture générale... auxquelles s'ajoutent celle de la licence choisie. Bien évidemment, on ne peut parler de cette formation sans parler de la rigueur et de l'assiduité au travail qu'elle implique. Néanmoins, son modèle reste calqué sur celui de l'Université, c'est-à-dire que le travail demandé est avant tout du travail personnel nécessitant recherches et lectures. Par conséquent, il y a peu de "devoir maison" car l'on considère que le travail est avant tout un investissement personnel.
Hello à tous ! Je vais vous faire mon petit témoignage sur ces premiers mois en DUT Gestion des Entreprises et des Administrations. Alors je ne peux parler que de ce que je connais donc je vais vous parler de celui de Grenoble, même si je pense que pour beaucoup de DUT c'est la même chose. Ce qu'il faut savoir c'est que le DUT ce n'est ni comme une prépa ni comme la FAC. On est beaucoup plus encadré, on doit justifier des absences comme au lycée. Nos horaires sont assez chargés quand même (on est pas en vacances), généralement on fait 8h-17h. Enfin bon rien de très embêtant. Le rythme de travail est un peu moins lourd que pour les classes préparatoires bien évidemment mais ne te repose pas sur tes lauriers il va falloir bosser quand même. Globalement c'est une formation qui est très généraliste et qui permet encore de se chercher un peu. Ce qui n'est pas négligeable. Alors si tu aimes le droit, l'économie, la comptabilité, cette formation est peut être faite pour toi. Renseigne toi, va aux Journées Portes Ouvertes ou contacte un Advisor. En espérant vous avoir aidé !
Au sortir de la terminale, les contours de mon orientation restaient encore flous. J'avais tenté le concours commun des IEP sans trop me préparer à l'épreuve, espérant m'en sortir sans avoir trop travailler les sujets au préalable. Bien entendu, cette expérience s'est soldé par un échec. Je n'ai pourtant pas pour autant renoncé à mon objectif d'entrer au sein de la formation Sciences Po. Cette formation représentait à mes yeux une opportunité de bénéficier d'un enseignement pluridisciplinaire, stimulant intellectuellement et ouvrant sur le monde (j'ai été particulièrement séduite par la 3ème année à l'étranger obligatoire) . N'ayant aucun domaine spécifique dans lequel je voulais axer mes études, tout comme n'ayant aucune vocation à exercer tel ou tel métier, j'ai donc décidé de poursuivre cet objectif : réussir le concours commun aux IEP. En recherchant les diverses formations qui permettaient de préparer à ce concours, j'ai découvert celle de l'Université de Lille. L'Université de Lille proposait une classe préparatoire aux concours des IEP adossé à une licence soit d'Histoire, de Littérature ou de Philosophie. Cette formation étant limité en nombre de place, les candidats étaient acceptés sur dossier et lettre de motivation. Alors que les premières réponses d'APB (ancêtre de parcoursup) sont tombées, je me suis retrouvée en liste d'attente sur cette formation. A défaut d'avoir connu parcoursup, j'ai connu la période d'incertitude resultant de la "première phase" qui nous laisse désorienté et anxieux quant à notre avenir. Néanmoins, j'ai finalement eu la chance d'être accepté dans cette formation. Rapidement, la qualité des enseignements dispensés nous ont permis d'acquérir un savoir et une méthodologie efficace, qui me servent encore aujourd'hui dans mes études. Nous étions répartis en 3 classes avec de petits effectifs, permettant de mettre en place un véritable accompagnement des élèves par les enseignants. Cette année en classe préparatoire, m'a permis d'élaborer de nouvelles méthodes de travail, plus particulièrement celle de travail de groupe. La solidarité et l'entraide sont de mise au sein de la formation, se préparer au concours est une activité qui s'exerce en groupe, en se stimulant entre nous, en débattant ensemble. Ainsi, je considère cette formation comme un atout, un atout pour l'ouverture culturel qu'elle nous procure, un atout pour l'enseignement dont elle nous dispense et la méthodologie qu'elle nous pousse à appliquer. Les matières abordées concernent les matières du concours, à savoir histoire, anglais, espagnol, culture générale... auxquelles s'ajoutent celle de la licence choisie. Bien évidemment, on ne peut parler de cette formation sans parler de la rigueur et de l'assiduité au travail qu'elle implique. Néanmoins, son modèle reste calqué sur celui de l'Université, c'est-à-dire que le travail demandé est avant tout du travail personnel nécessitant recherches et lectures. Par conséquent, il y a peu de "devoir maison" car l'on considère que le travail est avant tout un investissement personnel. A défaut de "devoir maison", des concours blancs ont lieu très souvent en fin de semaine. Si à la fin de l'année tout le monde n'a pas eu la chance de réussir les concours, l'apport de cette formation reste non-négligeable et continue à nous aider quelque soit notre orientation. J'ajouterais que le fait de partir loin de chez soi pour les études, n'est certes pas facile au départ, mais permet de se construire de façon autonome et indépendant plus rapidement. Loin de souffrir de solitude dans une ville que je ne connaissais pas, cette année à l'Université de Lille m'a permis de me construire comme personne autonome et de faire de très belles connaissances.
— Notre rédactrice
N’hésite pas à la contacter pour discuter avec elle
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