Créer sa start-up sans pour autant abandonner les études supérieures ? C’est possible ! Devenez étudiant-entrepreneur grâce à la Brest Business School comme Ludovic.
Avec le développement du digital et de l’esprit “start-up nation”, de plus en plus d’étudiant.e.s veulent fonder leur entreprise. Afin de s’adapter à cette nouvelle demande, les écoles de commerce, comme la Brest Business School, développent des accompagnements qui permettent à leurs élèves de construire et de faire grandir leur projet entrepreneurial.
Ludovic, étudiant en troisième année de Bachelor en Management International à la Brest Business School (BBS), a décidé de se lancer dans la grande aventure de l’entrepreneuriat lors de son année de césure à l’étranger. Dans la suite de cet article, il nous en apprend plus sur son expérience, ainsi que sur les dispositifs offerts par BBS.
Comment devenir étudiant.e entrepreneur.e ?
Pour débuter ce témoignage, nous avons demandé à Ludovic de nous présenter son projet entrepreneurial. Ainsi, tu pourras découvrir dans cette partie l’une des façons de devenir étudiant.e entrepreneur.e.
Quels projets as-tu développés ?
J’ai créé deux entreprises, que je gère avec mes amis. Avec la première, nous accompagnons les PME dans la création de leur site web ou de leur application mobile, ainsi que dans la construction de leur branding, c’est-à-dire leur logo, et leur image de marque.
Notre seconde entreprise est spécialisée dans le marketing digital. Nous proposons des services en référencement naturel, ou autrement dit SEO, en gestion des réseaux sociaux et en marketing d’influence.
Comment sont nés et ont été développés ces projets ?
Au début de mon Bachelor, j’accompagnais des entreprises dans la gestion de leurs réseaux sociaux. J’avais le statut de freelance à ce moment. En échangeant avec un ami qui était aussi passionné de marketing digital, et qui travaillait également à son compte, nous avons eu l’idée de créer une société pour développer nos services. C’est comme cela qu’est né notre premier projet entrepreneurial !
Pour ce qui est de notre second projet, nous avions envie de diversifier nos activités et de développer une marque de vêtements. En créant le site web pour notre marque, nous nous sommes pris de passion pour cela. Nous nous sommes alors dit, pourquoi pas créer des sites internet pour d’autres marques ? L’aventure a alors démarré !
Puis, entre la deuxième et la troisième année de Bachelor, nous avons décidé de faire une année de césure, et de partir à Malte pour fonder nos deux entreprises. Cette destination est idéale, car le pays propose de nombreuses aides aux startupers.
Qu’est-ce que tes études t'apportent dans ce projet ?
Déjà, je peux réinvestir de nombreuses connaissances étudiées durant le Bachelor dans mon projet entrepreneurial. En effet, nous étudions des matières variées et très concrètes comme le droit, le management, la comptabilité, le marketing, la finance, la création d’entreprise, la géopolitique, la logistique... Et j’en passe !
Puis, nous effectuons beaucoup de projets de groupe. Dans la matière “création d’entreprise” notamment, nous pouvions choisir le projet qui nous plaisait et le développer. Ainsi, j’ai proposé à mon groupe de travailler sur une idée de start-up que je n’avais pas encore eu le temps de concrétiser. Cela m’a permis de faire mûrir l’idée, et d’avancer sur les premières étapes comme l’étude de marché.
Le Bachelor en Management International est un diplôme accessible directement après le Bac qui se prépare en trois ans. Le programme est spécialisé dans le management international. Les cours sont dispensés en anglais, de quoi améliorer concrètement ta pratique de la langue !
Cette filière t’intéresse ? Alors n’hésite pas à télécharger la brochure sur le site de l’école pour en apprendre plus. Si tu es convaincu.e et que tu souhaites intégrer le Bachelor, nous t’invitons à t’inscrire aux training days pour préparer le concours d’admission. Et maintenant à toi de jouer !
Les accompagnements de la Brest Business School pour les étudiant.e.s entrepreneur.e.s
Dans la suite de ce témoignage, Ludovic nous montre quels sont les avantages à effectuer une année de césure pour développer son projet d’entreprise. Nous te présentons ensuite quels sont les autres accompagnements pour les startupers offerts par la Brest Business School.
Durant le Bachelor en Management International, les apprenant.e.s doivent obligatoirement valider un départ à l’international. Pour cela, plusieurs options s’offrent à iels : le stage, l’échange en université partenaire, ou la césure.
Ludovic a fait le choix de la césure, l’occasion de développer débuter son aventure entrepreneuriale. Il nous parle de son expérience ci-dessous :
Ma césure à Malte m’a permis de travailler à plein temps sur mon projet entrepreneurial. J’ai pu nouer contact avec des entrepreneur.e.s spécialisé.e.s dans le marketing digital qui étaient sur place. J’ai énormément gagné en maturité et en responsabilités grâce à cette expérience.
Je conseille la césure à celles et ceux qui ont déjà un projet et qui ont besoin de temps pour le développer. Il faut aussi être prêt.e à s’investir à 100 % pour que cela fonctionne. Je pense enfin qu’il est intéressant d’être accompagné.e, et lancer son entreprise à plusieurs, car cela peut être difficile de faire les premiers pas seul.e !
La Brest Business School dispose d’un incubateur qui permet à celles et ceux qui le souhaitent de développer un projet entrepreneurial. Pour cela, les compétences des enseignant.e.s ainsi que du centre de recherche sont mis à disposition. Les start-ups incubées bénéficient de soutien dans la gestion, la logistique ou la recherche de partenaires.
Pour en apprendre plus sur l’incubateur, tu peux visionner la vidéo “Incubateur Brest Business School” sur la chaîne YouTube de l’école.
Toi aussi, tu as une idée de start-up et tu souhaites bénéficier de cet accompagnement ? Alors n'hésite pas à soumettre ton idée pour en parler !
Tu le sais déjà sûrement, mais pour se lancer dans un projet entrepreneurial, il est primordial de se constituer un réseau solide ! À la Brest Business School, les étudiant.e.s entrepreneur.e.s peuvent compter sur la force du réseau de l’école, qui regroupe de nombreuses entreprises partenaires, plus de 60 entreprises crées grâce à l’incubateur, plus de 10 000 étudiant.e.s alumni diplômé.e.s et 135 intervenant.e.s professionnel.le.s.
Tu souhaites étudier en école de commerce et te lancer dans un projet entrepreneurial ? Alors la Brest Business School est faite pour toi ! Découvre tous les programmes de l’école et vient échanger autour de ton projet lors des prochaines journées portes ouvertes.
En attendant, n’hésite pas à consulter les autres témoignages sur notre blog, et prendre rendez-vous avec un advisor qui se fera un plaisir de te donner des conseils sur ton orientation !
La licence de droit science politique m’a beaucoup plu! Hésitant entre une profession juridique et une profession tournée vers le journalisme ou les sciences politiques, cette formation a été un bon compromis! Elle m’a fourni un solide socle de connaissances essentielles en droit ainsi que des connaissances complémentaires dans les matières relevant des relations internationales et des régimes politiques, qui apportent un autre regard sur le monde. En L1, j’avais d’ailleurs des difficultés à assimiler la méthode juridique qui était rigoureuse. Ainsi, les matières de sciences politiques m’ont permis d’être au-dessus de la moyenne et de valider mes semestres! A la fin de ma licence, plusieurs débouchés s'offraient à moi! Que ce soit des masters en droit privé, droit administratif ou sciences politiques. Ce qui est rassurant et laisse le temps de choisir son orientation au terme des trois années de licence.
Le master droit privé et sciences criminelles à la faculté Catholique de Lille est une formation que je conseille fortement! Pour ceux qui souhaitent se destiner à la préparation des examens et concours pour devenir magistrats, greffiers, avocats ou notaires, ce master est idéal. Il permet l’étude d’un large panel de matières balayant le droit privé et le droit pénal. Elle offre également des cours de culture générale et des entraînements à la note de synthèse dès le M1! La note de synthèse qui est la bête noire des élèves préparant les concours et laquelle n’est pas forcément étudiée dans tous les masters de droit!
Après avoir passé un bac ES - Economie & Social -, me voilà, plongé dans mon rêve d'adolescent : la filière Sage-Femme. Aussi loin que je puisse me souvenir, ce travail a toujours été une vocation en moi. Certain.e.s auraient préféré la médecine générale, d'autres la pédiatrie... Mais l'entre-deux, quand le médical se mêle à l'accompagnement, l'écoute, la bienveillance, la douceur : c'est la filière Sage-Femme qui se démarque. Chaque année d'apprentissage me fait aimer davantage mon futur métier. Mes projets fleurissent à foison : ouvrir un cabinet ? Faire du domicile ? Exercer en hôpital ? Il faut continuer d'avancer et écouter ses désirs pour le savoir. En Sage-Femme, tout est possible. Tu peux te spécialiser ; décider de consacrer une partie de ta vie à l'hôpital, et l'autre en libéral. Tu peux te contenter de ton diplôme, ou bien les collectionner : échographie, gynécologie, conseiller.e en lactation... Le panel de spécialisation est presque infini. Tu verras que ce métier est un assemblage de plusieurs : soins infirmiers, psychologie, sociologie, gynécologie... Et non pas que des accouchements ! Personnellement, ce que je trouve le plus beau dans ce travail, c'est participer à l'accompagnement des familles qui se construisent. Qui se reconstruisent. Qui apprennent. Qui aiment, qui chérissent... C'est commencer avec elles, un chemin si long à l'avenir. Les guider dans leur rôle de parents, qui durera - nous l'espérons -, toute leur vie. Et me voilà, à 21 ans, en troisième année déjà. Dans un autre pays, apprenant des choses tout à fait différentes du mien. France et Belgique sont voisins, pourtant les modalités sont tout aussi variables ; et c'est ce qui m'enrichi davantage. Etudes en Belgique, stages en France. Diplôme reconnu dans toutes l'UE. Quelle sera la suite ? ;)
— Notre rédacteur
N’hésite pas à le contacter pour discuter avec elle
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