L'événementiel sportif, c’est bien plus qu'une simple organisation de matchs et de compétitions : c'est un domaine dynamique et passionnant, où le sport rencontre les émotions et le spectacle ! C’est un secteur qui fait à la fois rêver et qui impressionne les étudiant.e.s passionné.e.s de sport, car iels ne savent pas toujours quel chemin suivre pour y parvenir.
Il existe aujourd’hui des études qui permettent d’accéder aux métiers de l’événementiel dans le sport, offrant aux étudiant.e.s l'opportunité de plonger dans l'univers palpitant de la planification, de la gestion et de la promotion d'événements sportifs de grande envergure.
Dans cet article, nous allons te présenter la Sports Management School (SMS): une école dédiée au sport business, qui propose un programme spécialisé en événementiel sportif. Pour cela, nous avons fait appel au témoignage de Lucie, qui est étudiante en première année du MBA Management du Sport, et qui se prépare à intégrer la spécialisation event l’année prochaine. Elle a déjà acquis de nombreuses compétences en événementiel grâce à ses différentes expériences en stage et en alternance. Mais nous ne t’en disons pas plus ! Découvre toutes les informations dans la suite de l’article !
Travailler à l’organisation des Jeux Olympiques en alternance
Lucie suit son MBA Management du Sport en alternance entre la Sports Management School et l’organisation des prochains jeux olympiques : Paris 2024, en tant qu’assistante sports aquatiques. Elle nous présente ici son poste et ses missions au quotidien.
Tout d’abord, il faut savoir que les Sports Aquatiques à Paris 2024 regroupent 6 disciplines dont 5 olympiques et 1 paralympique : la natation, la natation artistique, le plongeon, le water-polo, la natation marathon puis la para natation. C’est donc une grande division au sein des Jeux Olympiques, et c’est l’un des sports le plus regardé ! Je suis donc très fière d’en faire partie.
En tant qu’assistante sports aquatiques, je participe à la gestion opérationnelle, au suivi des projets en cours, aux réunions hebdomadaires avec la sport manager, et à la gestion administrative. J’ai donc un poste transverse et des missions plutôt variées. Pour l’instant, nous sommes dans la phase de planification, j’ai donc un travail de bureau, mais à partir du mois d’avril, nous entrons dans une phase opérationnelle. Je serais donc amenée à me déplacer sur le terrain.
Ce que j’aime le plus dans cette alternance, c’est de pouvoir voir un aussi grand projet international se construire pas à pas. J’apprécie aussi le fait de faire partie d’une équipe très soudée autour d’un objectif commun. Enfin, je suis très fière de faire partie de cette organisation et de contribuer à la mise en place des JO.
Pour travailler dans l’événementiel sportif, je dirais qu’il faut faire preuve d’adaptabilité, savoir gérer la pression, et surtout être proactive ou proactif, car nous devons gérer beaucoup de sujets différents.
Les stages et l’alternance font partie intégrante de la stratégie de la Sports Management School ! Ceux-ci permettent aux étudiant.e.s d’appliquer leurs connaissances de manière concrète et d’accéder plus facilement aux métiers du sport business. L’école dispose d’ailleurs d’un grand réseau de partenaires, qui recrutent les apprenant.e.s. Si tu souhaites en apprendre plus sur les carrières des élèves de la Sports Management School, découvre les témoignages des diplômé.e.s.
Les études en événementiel sportif
Tu te demandes sûrement comment Lucie a fait pour intégrer Paris 2024 en alternance ? C’est pourquoi nous te présentons ici les études qui permettent d’accéder au domaine de l’événementiel sportif. Lucie nous explique ici son parcours scolaire :
Après le bac, j’ai intégré une licence en langues étrangères appliquées en spécialité anglais italien. Cependant, le système de la fac ne me convenait pas et la crise sanitaire m’a poussé à faire une introspection sur ma volonté de poursuite d’études.
Je me suis donc réorientée vers un DUT Techniques de Commercialisation. Durant ce DUT, j’ai pu faire partie d’une association étudiante et sportive, et j’ai ainsi mis un premier pas dans l’univers associatif, qui a commencé à m’intéresser. Pour valider mon diplôme, j’ai fait un stage au sein de la fédération tahitienne de triathlon, en tant que stagiaire communication et évènementiel. C’est là que j’ai eu une révélation et que ma passion pour le sport s’est développée. J’aime le sport, car il rassemble et procure des émotions uniques !
À mon retour, j’ai donc décidé d’intégrer un bachelor en sport business après l’obtention de mon DUT, puis j’ai intégré la Sports Management School au niveau BAC+4, en MBA management du sport. J’ai choisi cette école, car elle propose l’opportunité de se spécialiser en événementiel sportif en BAC+5, et son MBA est reconnu comme l’un des meilleurs Master.
Pour accéder au monde de l’événementiel, la Sports Management School (SMS) propose donc le MBA événementiel sportif. Celui-ci permet aux élèves d’être capables de construire un événement, de le budgétiser, puis de communiquer et trouver des partenaires. Mais il est accessible à partir du niveau BAC+4. Il faut donc au préalable avoir validé un niveau Bachelor, qu’il est possible de suivre à SMS. Il s’agit du Bachelor Management du Sport, accessible en postbac, et qui permet de découvrir l’univers du sport business.
Nous souhaitons maintenant te présenter le contenu de la formation en Sport Management suive par Lucie. Découvre ci-dessous les matières enseignées grâce à son témoignage :
En MBA management du sport, j’étudie le sponsoring, le droit du sport, la communication, la création d’agence, le droit des médias, la géopolitique et l’histoire du sport, la comptabilité, le merchandising, le marketing, les paris sportifs, ou encore les relations presse. C’est donc un programme plutôt varié, qui nous permet d’explorer tous les aspects du management du sport et de découvrir vers quelle spécialisation nous aimerions nous tourner en BAC+5. Parmi elles, on retrouve l’événementiel comme nous en avons déjà parlé, puis les médias, le marketing sportif, et le management commercial & sponsoring sportif.
Si la formation t’intéresse, et que tu souhaites la rejoindre, consulte le processus de candidature sur le site de l’école ! De plus, saches que des journées portes ouvertes sont organisées régulièrement et sont l’occasion de visiter le campus, puis de rencontrer et d’échanger avec des étudiant.e.s et le personnel pédagogique. Alors n’hésite pas à t’inscrire !
Nous espérons que le témoignage de Lucie et cet article auront permis de t’éclairer au sujet de l'événementiel sportif et des études qui permettent d’y accéder. Si tu as encore des doutes ou des questions, tu peux prendre rendez-vous dès maintenant avec nos Advisors étudiant.e.s à la Sports Management School.
Je suis ravi de partager mon expérience d'étudiant en Bachelor généraliste en école de commerce. J'ai choisi cette voie car je voulais acquérir une solide base de connaissances en gestion et en commerce, tout en explorant différentes spécialités. Tout au long de mon programme, j'ai été exposé à une grande variété de sujets tels que la finance, le marketing, la stratégie d'entreprise, la comptabilité, la gestion des ressources humaines et la gestion de projet. Chaque cours était enseigné par des professeurs expérimentés qui ont fourni des perspectives uniques sur les sujets abordés. Outre les cours, j'ai également eu la chance de participer à plusieurs activités parascolaires et projets. J'ai rejoint le club de débat, où j'ai pu améliorer mes compétences en communication et en argumentation, ainsi que le club de marketing, où j'ai travaillé sur des projets réels avec des entreprises locales. L'école de commerce a également offert de nombreuses occasions de réseautage, notamment des événements de carrière, des séminaires et des conférences. Ces occasions m'ont permis de rencontrer des professionnels de différents secteurs et d'en apprendre davantage sur les opportunités de carrière dans le domaine des affaires. Dans l'ensemble, mon expérience a été extrêmement positive. J'ai acquis une solide formation en gestion et en commerce, j'ai participé à des activités stimulantes et j'ai eu la chance de rencontrer des professionnels de différents secteurs. Je suis convaincu que les compétences et les connaissances que j'ai acquises me seront utiles tout au long de ma carrière dans les affaires.
Je suis rentrée en PACES en septembre 2019. Mon objectif était clair : me buter au travail pour réussir le concours et aller en deuxième année de médecine. Le mois de septembre s'est plutôt bien passé, j'avais des notes correctes pour mon premier tuto (= concours blanc si vous préférez) et j'étais très motivée. Cependant, dès octobre j'ai eu une grosse chute de motivation et j'avais énormément de mal à travailler, en outre à cause de raisons personnelles et d'une remise en question certaine sur mon orientation. Je me posais beaucoup de questions, je n'étais plus réellement sûre de vouloir continuer là-dedans, tout devenait flou dans ma tête. Je voyais mes amis bosser comme des dingues, suivre les cours à la perfection tandis que moi je ne trouvais même plus la force de venir à la fac. J'ai donc commencer à parler à des gens en deuxième année, à regarder des vidéos sur YouTube et à me remettre en question pour savoir si je m'étais trompée dans mon orientation ou si c'était simplement par manque de motivation face à la difficulté du concours. J'ai fini par comprendre que médecine n'était vraiment pas une filière pour moi. Avec mon niveau en terminale et sortant d'un bac S, la solution pour mes profs était évidente : faire médecine. Depuis petite j'y pensais et je dois bien avouer que ça me faisait rêver. Malheureusement, je n'étais clairement pas motivée pour les bonnes raisons. En effet, ce qui m'intéressait dans la filière médicale... c'était le salaire à la clé ! Ouais je sais, c'est vraiment pas dingue comme motivation, mais au début je ne m'en rendais pas compte du tout. C'est lorsque que je me suis dis "Si le salaire n'était pas aussi élevé, est-ce que tu te tuerais à la tâche pour passer 11 ans de ta vie à étudier ?". La réponse était, sans l'ombre d'un doute pour ma part, "non". Je me rendais petit à petit compte que je n'avais pas du tout la fibre médiacle, je n'étais tout simplement pas faite pour ça. Je continue à croire, encore auourd'hui, que médecine est une véritable vocation, et tout le monde ne peut pas devenir médecin, clairement pas. J'ai donc cherché à trouver un nouveau projet d'orientation au plus vite (juste avant le premier concours de décembre) afin de ne pas perdre plus de temps. Les recherches étaient vraiment compliquées, je n'avais au final jamais réfléchi à un autre métier, et c'est comme si je reprenais tout à 0. C'était la panique à bord ! Après énormément de recherches, j'ai fini par me poser et me dire "Quel train de vie tu veux avoir ?". Au final, la gloire ne m'intéressait pas, je voulais simplement gagner suffisamment d'argent pour mener une vie simple, qui me permettrait d'économiser pour faire des beaux projets. Je voulais un métier qui me permettrait de rentrer tous les soirs à la maison et surtout d'avoir une vie de famille. J'ai alors recherché des études dans lesquelles je pensais me sentir à l'aise, et j'ai tout de suite penser aux maths. C'était ma matière fétiche au lycée, j'adorais vraiment ça. Sur Parcoursup, j'ai trouvé une licence "Mathématiques et Informatique". C'est vrai que je n'avais jamais songé à l'informatique avant, mais cette idée ne m'était pas exclue. Je me suis donc renseignée sur les débouchés, et il y a beaucoup de masters suite à une licence infomartique qui m'ont interpellés. J'étais excitée et impatiente à l'idée de découvrir cette filière, et j'ai été acceptée pour la rentrée de 2020. Désormais, je suis épanouie, et si vous voulez savoir comment se passe mon premier semestre dans cette licence, je vous invite à aller voir mon autre témoignage à ce sujet !
Lorsque j'étais en classe préparatoire TB les professeurs nous répétaient souvent que les professeurs étaient moins présents à la faculté . C'est faux, mais il ne faut pas hésiter à aller leurs poser des questions. De plus beaucoup de tutorats sont mis en place facilitant l'apprentissage. Je suis passé de CPGE à la licence pensant que la licence serai plus simple. Je me suis trompé la aussi. Les difficultés ne sont pas les mêmes mais sont tout autant présente. En CPGE la principale difficulté est le rythme tandis que en faculté c'est d'apprendre à s'organiser et à réviser tout seul pour être prêt pour les partiels. En CPGE on est encadré avec des examens régulier ce qui permet une obligation d'apprentissage régulière. En licence personne ne vous dira comment et quand apprendre vos cours, mais c'est aussi plus de liberté permettant de s'organiser comme l'on souhaite. En CPGE on est enfermé dans ce système, on mange prépa, on dors prépa. Je ne dirai pas que les cours sont plus dur en CPGE que en licence ils sont juste enseigné d'une manière différente. A vous de savoir la quelle vous convient le mieux et quelle ambiance vous convient le mieux. Je suis disponible pour vous aider.
— Notre rédacteur
N’hésite pas à le contacter pour discuter avec elle
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